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Un boycott du gaz russe serait-il une bonne nouvelle pour le climat?

24 mai 2022
Accroche

Dans le troisième épisode de notre podcast, le spécialiste du gaz russe Marc-Antoine Eyl-Mazzega explique pourquoi Europe et Russie sont si dépendantes l’une de l’autre.

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Vers une ère métallisée : renforcer la résilience des industries par un mécanisme de stockage stratégique de métaux rares

Date de publication
31 mai 2022
Accroche

La décarbonation de nos économies, les défis de renforcement de la résilience des chaînes de valeur industrielles, de la réindustrialisation notamment par les technologies bas-carbone et digitales, et la fin d’une période de pétrole et de gaz bon marché accélèrent l’avènement d’une ère de dépendances accrues vis-à-vis des métaux dans un contexte de compétition nouvelle et croissante pour l’accès aux ressources. 

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Le défi de l'expansion des énergies renouvelables dans l'UE à l'horizon 2030 : mobilisation pour une mission presque impossible

Date de publication
16 mai 2022
Accroche

Il ne reste que huit ans pour multiplier par près de trois la capacité totale actuelle d'énergie éolienne et solaire installée dans l'Union européenne (UE), soit environ 600 gigawatts (GW) supplémentaires, et atteindre ainsi les objectifs très ambitieux de 2030. Cela nécessite une mobilisation dont l'ampleur est immense – au cours d’une période de crises et d'incertitudes sans précédent.

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France Culture
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Guerre en Ukraine : le dilemme énergétique de l'Union Européenne

25 avril 2022
Accroche

La guerre en Ukraine et les sanctions prises contre la Russie ont plus que jamais mis en lumière la dépendance européenne au gaz russe. L'Europe peut-elle saisir cette opportunité pour décarboner son énergie ?

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Les nouvelles ambitions européennes en matière d’énergies renouvelables : implications pour le système électrique à l’horizon 2030

Date de publication
12 avril 2022
Accroche

Les crises climatiques et géopolitiques appellent à une accélération de la mise en œuvre du Pacte vert européen autour de deux chantiers prioritaires : la réduction des consommations énergétiques et l’investissement dans les solutions bas-carbone. Le déploiement rapide et massif des énergies renouvelables est un défi industriel sans précédent pour le système électrique européen.

L'avenir de la politique énergétique et climatique de la France

30 mars 2022
Accroche

Pour que la France atteigne ses objectifs climatiques et garantisse une sécurité d’approvisionnement énergétique, Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), formule cinq recommandations :

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Accélérer la transition énergétique en France : s’inspirer des bonnes pratiques de nos voisins européens

Date de publication
24 mars 2022
Accroche

La réussite de la transition énergétique est d’abord un enjeu de bonne gouvernance, celle-ci devant reposer sur l’expertise et la délibération collective.

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Réduire d'urgence la demande d'énergie : l'impératif de mener de front des actions sur l'offre et la demande

Date de publication
17 mars 2022
Accroche

Face à l'agression de l'Ukraine, les pays européens ont pris des sanctions économiques et financières contre la Russie. 

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L'indépendance énergétique des États-Unis peut-elle sauver une Europe en crise?

09 mars 2022
Accroche

Les exportations américaines peuvent-elles remplacer le gaz russe?

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Le Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières (MACF) de l'UE : une pièce du puzzle de la décarbonation de l'industrie

Date de publication
09 mars 2022
Accroche

Le Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières (MACF) œuvre en faveur d’un meilleur alignement entre les intérêts climatiques et commerciaux de l’Union européenne (UE). Néanmoins, un volet complémentaire de politiques domestiques et extérieures sera nécessaire pour soutenir la décarbonation des industries énergo-intensives européennes et mondiales.

Europe - Russie : l'interdépendance énergétique est-elle une fatalité ?

Date de publication
14 avril 2014
Accroche

2006, 2009 et 2014. Trois années clés pour la politique gazière de l’Union européenne (UE), qui rappellent que l’énergie reste un élément déterminant des relations politiques entre l’Union et la Russie. L’UE importe près de 70% du gaz qu’elle consomme, dont 27% en provenance de Russie. La Russie exporte vers l’UE 55% de son pétrole, 85% de son gaz. L’interdépendance énergétique entre la Russie et l’UE reste une évidence.

Le Ghana : une démocratie pétrolière en devenir

Date de publication
21 décembre 2011
Accroche

" While we think oil will help, we don’t want to pin all our hopes on it. We believe this is the time for Ghana to take off. But we can only do that through fiscal prudence, by encouraging productive investment and by working hard. "

Ces propos tenus par le président John Atta-Mills résument l’ambivalence de la population autant que celle des autorités ghanéennes face à une manne pétrolière que d’aucuns qualifient d’aubaine. L’avènement d’une rente pétrolifère est synonyme de croissance économique, de développement infrastructurel ou encore de rentrées de devises étrangères.

L'énergie en 2040 selon Exxon-Mobil

Date de publication
21 mars 2012
Accroche

Dans la forêt des scénarios noirs ou roses qui hantent nos cauchemars ou nos rêves d’avenir, la publication récente du scénario 2040 d’Exxon-Mobil mérite quelque attention.

La difficile équation énergétique de la nouvelle présidence au Ghana

Date de publication
20 décembre 2012
Accroche

Le président ghanéen par intérim John Dramani Mahama [1] est devenu le 9 décembre 2012 le successeur de John Atta-Mills [2], décédé en juillet dernier. Or Mahama, qui passe pour un maître de la communication, aura besoin de ses talents de pédagogue pour faire oublier les nombreux ratés de la précédente présidence Atta-Mills en matière d’énergie.

L'énergie photovoltaïque: un outil de développement efficace pour les économies subsahariennes

Date de publication
26 février 2013
Accroche

Les coûts de production de l’électricité en Afrique subsahariennesont parmi les plus élevés au monde alors que le taux d’électrification y est le plus faible au monde : environ 30% en moyenne au début 2011, avec environ 60% pour les centres urbains et moins de 15% pour les zones rurales -. Toutefois, le faible développement actuel des infrastructures électriques de transport et de production ainsi que le fort taux de croissance de la demande en électricité du continent indiquent que de profonds changements dans les modes de gestion de ce secteur auront lieu dans les années à venir.

La Communauté de l'Energie : un bilan cinq ans après

Date de publication
20 décembre 2010
Accroche

Il y a cinq ans, le Traité fondateur de la Communauté de l'énergie était signé à Athènes. Cette Communauté a été mise en place spécifiquement pour l’Europe du Sud-Est. Cette organisation a vu le jour en partant du principe que l’énergie constituait l’une des clés de la reconstruction de la région mais également un moyen d’intégration régionale et un premier pas vers l’adhésion à l’UE. Le Traité est entré en vigueur le 1er juillet 2006 pour dix ans. L’on constate, dans les évolutions de cette Communauté de l’énergie une tendance à s’élargir.

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On a très peu de visibilité sur le programme énergétique de Donald Trump

14 novembre 2016
Accroche

On sait que Donald Trump est pro-pétrole et pro-charbon et qu’il veut dénoncer l’Accord de Paris pour le climat. Mais de nombreuses inconnues demeurent quant à son programme énergétique pour les États-Unis, souligne Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, interrogée par le BIP.

Quelle politique énergétique peut-on attendre de Donald Trump qui succédera en janvier à Barack Obama à la présidence des États-Unis ?

Donald Trump a annoncé énormément de choses, notamment sur l'énergie, pas toujours cohérentes. On a peu de visibilité sur son programme, alors qu'Hillary Clinton aurait largement été dans la continuité d'Obama. On a beaucoup de mal à voir ce qu'il va mettre en place et à analyser les conséquences de son élection. Mais si l'on suit les signaux qu'il a donnés pendant sa campagne, ce n'est pas de bon augure pour la COP22. La principale « victime » de ce changement, ce sera l'environnement qui ne sera plus une priorité. ll va peut-être chercher à en faire un symbole avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Au plan domestique, Obama, surtout pendant son dernier mandat, avait pris des mesures de réduction des émissions de CO2. Trump a annoncé qu'il allait détricoter tout cela mais, dans les faits, la politique environnementale américaine est menée bien plus au niveau des États qu'au niveau fédéral. Au plan fédéral, la grande mesure a été la prolongation en 2016 pour cinq ans du crédit d'impôt sur l'investissement dans le solaire et l'éolien.

L'Accord de Paris pour le climat, signé fin 2015 à la COP21, est entré en vigueur le 4 novembre. Quelles seraient les conséquences du retrait des États-Unis ?

L'article 28 de l'accord prévoit que le retrait n'est possible qu'après quatre ans en tout. Donald Trump ne pourra donc en sortir qu'en 2020, presque à la fin de son mandat. ll a déjà dit que les États-Unis ne participeraient plus aux financements climatiques. L'accord n'a été possible qu'avec le soutien des États-Unis et de la Chine. C'était plus un accord politique censé donner le signal pour que les investissements bas-carbone suivent. Si l'on perd le leadership américain, on risque de perdre cette impulsion politique et cela remet beaucoup de choses en question. ll va falloir trouver un nouveau leader. Les regards se tournent vers la Chine.

Donald Trump veut supprimer l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et le Clean Power Plan en faveur d'une électricité décarbonée. Quelles seraient les conséquences ?

L'EPA est I'organisme de contrôle de la politique climatique au niveau fédéral. Sachant qu'il n'y aura plus de contre-pouvoir au Congrès, à majorité républicaine, Donald Trump va clairement essayer de déssaisir l'agence de ses prérogatives. ll va aussi essayer de détricoter le Clean Power Plan, déjà très mal en point. Mais l'analyse de l'IFRI a montré qu'il fallait plutôt voir ce programme comme venant confirmer la tendance de transition énergétique, qui est déjà là. C'était surtout censé apporter plus de stabilité réglementaire pour les acteurs.

Le président élu peut-il relancer le charbon, comme il l'a promis, alors que le gaz et les énergies renouvelables ont beaucoup progressé aux États-Unis ces dernières années ?

On ne s'attend pas a un virage complet en faveur du charbon parce que les fondamentaux économiques d'aujourd'hui penchent plus en faveur de la transition énergétique qu'il y a quelques années. Les politiques de transition énergétique mises en place aux États-Unis dernièrement s'appuyaient beaucoup sur les fondamentaux du marché qui ne vont pas changer. Or la politique de sortie progressive du charbon est liée au fait que le charbon a perdu en compétitivité face au gaz naturel, grâce au développement des gaz de schiste. Il y aura donc peut-être moins d'obligations au niveau politique mais, dans le fond, le système énergétique américain s'est déjà transformé, avec plus de gaz et plus de renouvelables, parce que les renouvelables sont devenues plus compétitives. De grandes entreprises américaines fleurissent dans le secteur et créent des emplois. La dynamique du marché est favorable aux renouvelables. Trump est pro-fossiles, pro-charbon. ll dit qu'il va de nouveau créer des emplois, mais l'industrie des renouvelables, en particulier le solaire, crée énormément d'emplois aux États-Unis, peut-être même plus que le charbon. Donald Trump a un discours un peu contradictoire sur les renouvelables : à la fois, il voit dans les ENR un outil de promotion de l'indépendance énergétique et une source d'emploi et, de l'autre côté, il veut supprimer les subventions. Mais il pourrait ne plus mettre en place des mesures de l'EPA, par exemple, et ce serait à chaque État de décider de sa politique environnementale, de ses subventions.

Donald Trump veut augmenter la production de pétrole des États-Unis. Que peut-il faire ?

Donald Trump a très peu de marge de manœuvre dans le pétrole. C'est un marché international. Il n'aura aucun impact sur les prix car ce sont les cours du brut qui décident comment les producteurs de schistes vont exploiter leurs ressources. Je vois peu d'impact direct. En revanche, il pourrait renoncer à l'accord de mars dernier avec le Canada sur la réduction des émissions de méthane de l'industrie pétrolière et gazière. Des grands projets d'infrastructure, comme le pipeline transfrontalier Keystone XL, avec le Canada aussi, vont clairement revenir. Dans les faits, le secteur du pétrole et du gaz est déjà dans une position très favorable par rapport au secteur charbonnier. Trump veut favoriser la production par le biais de réduction d'impôts, mais s'il prend des mesures de soutien beaucoup plus agressives pour augmenter la production de pétrole de schiste, les cours vont baisser. La dynamique est très internationale. Les États-Unis ont très peu de marge de manœuvre pour faire remonter les prix, au contraire.

Drump va-t-il révoquer l'accord nucléaire avec l'Iran, comme il l'a promis ?

Il me semble tout à fait possible qu'il dénonce l'accord nucléaire avec l'Iran. Mais, encore une fois, on a très peu de visibilité car il a eu un discours très peu cohérent, vu de l'extérieur, sur l'Iran, sur l'OPEP. ll avait un discours très anti-OPEP et très vigoureux à l'égard de l'Arabie saoudite, mais, de l'autre côté, son expert pétrole a demandé à la Russie et à l'OPEP de s'entendre pour baisser la production. Remettre en cause l'accord avec l'Iran aurait un impact sur ses relations avec la Russie et avec l'Arabie saoudite, ainsi que sur la situation au Moyen-Orient. L'élection de Donald Trump est une nouvelle donne dans les relations internationales et dans la politique américaine de ces dernières années par rapport à la Russie, à l'Iran, à l'Arabie saoudite, à la Syrie...

 

 

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Les Etats-Unis passent à l’industrie bas-carbone

18 avril 2016
Accroche

La chercheuse de l’Ifri Carole Mathieu vient de publier une note intitulée L’industrie électrique américaine au défi de la transition bas-carbone. Pour préparer son avenir énergétique, la première puissance économique mondiale doit selon elle faire évoluer le rôle « des entreprises historiquement responsables de l’approvisionnement électrique ».

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L'espoir d'une indépendance énergétique retrouvée en Egypte

11 avril 2016
Accroche

Le Bulletin de l'Industrie Pétrolière reprend la Note de l'Ifri de Benjamin Augé publiée en février 2016.

Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).

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Japon: la révolution de l'ouverture du marché de détail

01 avril 2016
Accroche

Le 1er avril, 77 millions de ménages japonais et 7,5 millions de petites  entreprises auront, pour la première fois, le choix de leur fournisseur d’électricité. C’est la fin de plus d’un demi-siècle pendant lequel le marché était détenu par dix grands opérateurs régionaux.

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Prix du pétrole : une chute historique... et des conséquences

16 janvier 2016
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Julien Nocetti analyse les conséquences pour la Russie de la baisse des cours des hydrocarbures.

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La Russie face à la chute des cours du pétrole

04 février 2016
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Le PIB de la Russie a baissé de 3,7% en 2015 sous l'effet de la chute des cours du pétrole et des sanctions économiques occidentales liées à la crise ukrainienne. « Le sujet de l'instabilité du marché pétrolier est vital pour l'économie russe », a confirmé cette semaine le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, réagissant à l’éventualité d’un dialogue entre la Russie et les pays membres de l’OPEP. Nous avons interrogé sur ce sujet Aurélie Bros, chercheur à l’Institut de l’énergie de la Higher School of Economics de Moscou et chercheur associé au centre Russie/NEI de l’IFRI.

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Le Nigeria contraint à la diversification

31 janvier 2016
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Après une année 2015 difficile, le début 2016 s’annonce encore plus périlleux pour la première économie d’Afrique. Le Nigeria creusera encore un peu plus son déficit cette année avec un nouveau budget de 28 milliards d’euros alors que les recettes n’atteindront que 17,9 milliards d’euros.

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Le retour du nucléaire au Japon va-t-il freiner la flambée des prix de l'énergie?

09 août 2015
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Malgré la catastrophe de Fukushima, en 2011, deux réacteurs de la centrale de Sendai, qui avait aussi été touchée par le tsunami, ont été redémarrés mardi.

 

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The Baltic Forum 2013

25 octobre 2013
Accroche

Significant changes in global and regional energy supply and demand, as well as their influence on the political decision-making determine the need to restore proper expert analysis of problems and development perspectives.

Traffic streams, especially energy resource transit, are directly subordinate to the changes in the relations between the countries of the world. Logistics cannot be considered in isolation from the international security and energy policy.

The ensuring of Euro-Atlantic security to the countries and country groups in the surrounding turbulent world is one of the most important and topical issues for joint consideration.

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