Guerres et conflits armés
La géographie et les modalités des guerres et conflits armés évoluent au gré du système international. Si les guerres irrégulières et les conflits asymétriques perdurent, les guerres de haute intensité se multiplient tandis que les crises prennent de nouvelles formes sous l’effet des menaces hybrides.
Sujets liés

Guerre en Ukraine : face à Trump, comment Poutine dicte le rythme des négociations de paix
Le président russe avance très lentement ses pions sur l’échiquier diplomatique de la paix. Le temps joue en sa faveur, tout comme l’arrivée récente de Donald Trump dans l’équation.

Syrie : la chute du clan Assad
Le 8 décembre 2024, le dictateur syrien Bachar Al Assad a fui son pays et s'est réfugié avec tout son clan chez son allié russe. Pendant le règne de celui que les Syriens appellent le « Boucher de Damas », plus de 500 000 personnes ont été tuées, plus de 100 000 ont disparu et plus de 6 millions de Syriens ont été contraints à l'exil.

Recep Tayyip Erdogan se sait indispensable pour les Occidentaux, car la Turquie se trouve au confluent de bon nombre des grands enjeux géopolitiques actuels.
citée par Marc Semo dans Challenges

L’entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, un rendez-vous très attendu aux résultats très limités
Le cessez-le-feu en Ukraine évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Replay - Ukraine : quelles garanties de sécurité ?
(Conférence du 19 mars 2025) À l'occasion de la parution du nouveau numéro de Politique étrangère (n° 1/2025) et de son Contrechamps sur les garanties de sécurité pour l'Ukraine, l'Ifri et la Société de Géographie sont heureux de s'associer pour vous proposer une conférence avec les deux auteurs de ce Contrechamps.

« La désinformation, c'est une guerre sous le seuil de la conflictualité »
La chercheuse Amélie Férey a décrypté le vocabulaire des guerres hybrides actuelles, dont l'escalade verbale de Trump et Vance envers Zelensky le 18 février dernier est une illustration criante. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée expliquent comment les mots sont devenus une arme puissante.

L'Europe est-elle capable de se réarmer ?
Face à la menace russe et au désengagement américain, l'Europe avance à marche forcée pour assurer sa propre défense sur le continent.

Guerre en Ukraine : la France a-t-elle vraiment refusé toute voie diplomatique avec la Russie depuis trois ans, comme l’affirme LFI ?
Depuis une semaine, les leaders insoumis martèlent le même discours : Paris n’a fait qu’envoyer des armes à Kyiv, sans jamais favoriser, comme eux le réclament, une fin négociée de la guerre.
Trump : le grand chamboule-tout
« Tôt ou tard, Vladimir Poutine devra venir à la table des négociations ». C'est en ces termes que le premier ministre britannique, Keir Starmer, a démarré aujourd'hui son sommet par visioconférence avec vingt-cinq dirigeants alliés de l’Ukraine. Si Volodymyr Zelensky a accepté sans conditions un cessez-le-feu de trente jours, le maître du Kremlin semble en effet vouloir faire durer les choses. Poutine a prévenu qu’il restait des « questions importantes » avant un cessez-le-feu, au grand dam de Donald Trump qui veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite. Sur le terrain, les troupes russes ont maintenant l'avantage après avoir repris des territoires contrôlés par l'Ukraine dans la région russe de Koursk.
Poutine : "La Russie soutient la trêve"
L’accord de cessez-le-feu conclu mardi entre l’Ukraine et les États-Unis attend toujours l’aval russe alors que sur le front, la trêve semble encore loin, notamment dans la région russe de Koursk, en partie envahie par l’armée ukrainiens depuis août 2024 et que les Russes sont en train de reprendre. C’est dans ce territoire frontalier de l’Ukraine que Vladimir Poutine a effectué une rare visite sur le terrain mercredi soir.
La Mission des Nations unies au Congo ou l’exemplaire inutilité des Casques bleus
Lors du conflit du M23 en 2012-2013 en République démocratique du Congo (RDC), les Nations unies avaient pris l’initiative diplomatique (en faisant signer l’accord d’Addis-Abeba) et militaire (en organisant une contre-offensive coordonnée avec l’armée congolaise). Depuis la résurgence de ce conflit en 2022, les Nations unies qui ont toujours plus de 10 000 Casques bleus déployés dans l’est de la RDC ne jouent plus aucun rôle.
Transparence du champ de bataille : retrouver les clés de la manœuvre
Fin 2023, le général Zalouzhny évoquait les raisons du blocage tactique expérimenté en Ukraine, décrivant sans la nommer la situation de "transparence" du champ de batailler dans laquelle "nous voyons tout ce que fait l'ennemi et lui voit tout ce que nous faisons".
Les effectifs de l'armée russe après deux ans et demi de guerre en Ukraine
En plus d’une victoire militaire en Ukraine, les dirigeants russes souhaitent constituer d’importants effectifs militaires en vue d’un éventuel conflit avec l’OTAN dans l’espace Baltique et la péninsule de Kola. Les prévisions actuelles comptent sur une augmentation des effectifs militaires russes d’environ 350 000 hommes, pour atteindre un total de 1,5 million de soldats et d’officiers. Dans le contexte du conflit qui se déroule actuellement en Ukraine, cet objectif ne peut être atteint sans une nouvelle vague de mobilisation massive.
La frappe dans la profondeur : un nouvel outil pour la compétition stratégique ?
Atteindre la profondeur du dispositif ennemi pour l’affaiblir et faciliter l’obtention d’un résultat opérationnel ou stratégique est un objectif majeur des armées. Quels sont les moyens nécessaires pour mener des frappes dans la profondeur dans un double contexte de haute intensité et de renforcement des défenses adverses ?

Les mots, armes d'une nouvelle guerre ?
Les Mots armes d’une nouvelle guerre rappelle une vérité souvent oubliée : les mots tuent. Ils préparent l’action militaire et lui donnent un sens. Alors que chaque événement retentit désormais dans le monde entier, répercuté de smartphone en smartphone ou d’ordinateur en ordinateur, tout acte de guerre tend à devenir un acte de communication, et inversement. Les états-majors l’ont aujourd’hui bien compris et se saisissent de cette guerre des récits faite d’armes immatérielles pour intimider des ennemis, rassurer ou galvaniser des opinions publiques chauffées à blanc par le flot d’images reçues sur les réseaux sociaux.
Russian Strategic Thinking and Culture Before and After February 24, 2022: Political-Strategic Aspects
Rédigé par Dimitri Minic, l'article scientifique "Russian Strategic Thinking and Culture Before and After February 24, 2022: Political-Strategic Aspects" a été publié dans "Russia’s war against Ukraine : Complexity of Contemporary Clausewitzian War" par le département de la guerre de l'Université Nationale de Défense d'Helsinki en 2024.
EUDIS, HEDI, DIANA : que se cache-t-il derrière trois acronymes de l'innovation de défense ?
En Europe, alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine montre peu de signes d'apaisement, un écart persistant subsiste entre les besoins en matière de sécurité et les dépenses de défense. Conformément à un engagement de 2006, inscrit lors du sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014, les membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) doivent consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut (PIB) national à la défense, dont 20 % doivent être investis dans l'équipement ainsi que la recherche et le développement. En 2024, seuls 23 Alliés sur 32 devraient atteindre ou dépasser cet objectif, bien qu'il s'agisse d'une amélioration notable par rapport aux trois pays en 2014. Ce total inclut les États-Unis (US), qui consacrent 3,38 % de leur PIB à la défense, représentant près de 70 % de l'ensemble des dépenses de défense des membres de l'OTAN.

Ramses 2025. Entre puissances et impuissance
Jamais on n’a décompté autant de puissances pouvant, dans leur espace de jeu, dérégler les équilibres internationaux ; jamais les puissances dominantes n’ont semblé aussi impuissantes à parer à la fragmentation du monde.
Israël-Gaza après le 7 octobre
Le conflit à Gaza met aux prises deux acteurs en crise interne : des Palestiniens sans représentation crédible et des Israéliens politiquement très clivés. Les solidarités avec l’un et l’autre camp s’ordonnent internationalement de manière nouvelle, avec les poids inédits des opinions et d’instances internationales qui affectent le rapport de force global. Seule une mobilisation internationale pourra rendre possible une solution à deux États, unique sortie crédible pour un conflit séculaire.
La guerre d'Ukraine vue de Berlin
L'effort de Berlin pour adapter son appareil de défense s'avère plus coûteux que prévu, avec des limites capacitaires et humaines. Le positionnement allemand sur le soutien à l'Ukraine, entre l'aspiration au leadership européen pour l'aide militaire et des hésitations sur la livraison de certaines armes, peut désorienter certains partenaires, dont la France.
Guerre en Ukraine : face à Trump, comment Poutine dicte le rythme des négociations de paix
Le président russe avance très lentement ses pions sur l’échiquier diplomatique de la paix. Le temps joue en sa faveur, tout comme l’arrivée récente de Donald Trump dans l’équation.

« La désinformation, c'est une guerre sous le seuil de la conflictualité »
La chercheuse Amélie Férey a décrypté le vocabulaire des guerres hybrides actuelles, dont l'escalade verbale de Trump et Vance envers Zelensky le 18 février dernier est une illustration criante. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée expliquent comment les mots sont devenus une arme puissante.

L’entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, un rendez-vous très attendu aux résultats très limités
Le cessez-le-feu en Ukraine évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.

Guerre en Ukraine : la France a-t-elle vraiment refusé toute voie diplomatique avec la Russie depuis trois ans, comme l’affirme LFI ?
Depuis une semaine, les leaders insoumis martèlent le même discours : Paris n’a fait qu’envoyer des armes à Kyiv, sans jamais favoriser, comme eux le réclament, une fin négociée de la guerre.
Trump : le grand chamboule-tout
« Tôt ou tard, Vladimir Poutine devra venir à la table des négociations ». C'est en ces termes que le premier ministre britannique, Keir Starmer, a démarré aujourd'hui son sommet par visioconférence avec vingt-cinq dirigeants alliés de l’Ukraine. Si Volodymyr Zelensky a accepté sans conditions un cessez-le-feu de trente jours, le maître du Kremlin semble en effet vouloir faire durer les choses. Poutine a prévenu qu’il restait des « questions importantes » avant un cessez-le-feu, au grand dam de Donald Trump qui veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite. Sur le terrain, les troupes russes ont maintenant l'avantage après avoir repris des territoires contrôlés par l'Ukraine dans la région russe de Koursk.

Cessez-le-feu en Ukraine : Poutine "n'acceptera pas sans conditions extrêmement drastiques"
Alors que l'Ukraine et les États-Unis ont signé un accord, Vladimir Poutine reste silencieux sur leur proposition de cessez-le-feu. Selon Dimitri Minic, chercheur au Centre Russie/Eurasie, le président russe n'acceptera qu'à des conditions "drastiques".
Poutine : "La Russie soutient la trêve"
L’accord de cessez-le-feu conclu mardi entre l’Ukraine et les États-Unis attend toujours l’aval russe alors que sur le front, la trêve semble encore loin, notamment dans la région russe de Koursk, en partie envahie par l’armée ukrainiens depuis août 2024 et que les Russes sont en train de reprendre. C’est dans ce territoire frontalier de l’Ukraine que Vladimir Poutine a effectué une rare visite sur le terrain mercredi soir.
Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron réunit les chefs d’état-major occidentaux favorables à un déploiement militaire
Le président de la République et les chefs d’état-major des pays désireux d’envoyer des troupes en Ukraine, tenteront, mardi, de préciser les contours d’une éventuelle force de maintien de la paix, y compris le nombre de soldats à déployer.
Comment la Pologne cherche-t-elle à bâtir l’armée terrestre la plus puissante d’Europe ?
Partout en Europe, les nations reprennent les armes. Le président américain Donald Trump et ses orientations suscitent des craintes quant à un retrait militaire des États-Unis du continent, tandis que la Russie a déjà pris le contrôle de 20 % du territoire ukrainien. Mais la Pologne n’a pas attendu les pressions du nouveau président américain pour accroître son armement.
Guerre en Ukraine : « Pour la Russie, l’Europe est devenue la principale menace »
INTERVIEW. En pleine crise ukrainienne, Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie de l’Ifri (Institut français des relations internationales), analyse les relations entre l'Union européenne et la Russie.

Syrie : la chute du clan Assad
Le 8 décembre 2024, le dictateur syrien Bachar Al Assad a fui son pays et s'est réfugié avec tout son clan chez son allié russe. Pendant le règne de celui que les Syriens appellent le « Boucher de Damas », plus de 500 000 personnes ont été tuées, plus de 100 000 ont disparu et plus de 6 millions de Syriens ont été contraints à l'exil.

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La chercheuse Amélie Férey a décrypté le vocabulaire des guerres hybrides actuelles, dont l'escalade verbale de Trump et Vance envers Zelensky le 18 février dernier est une illustration criante. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée expliquent comment les mots sont devenus une arme puissante.

L'Europe est-elle capable de se réarmer ?
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Replay - Ukraine : quelles garanties de sécurité ?
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Trump : le grand chamboule-tout
« Tôt ou tard, Vladimir Poutine devra venir à la table des négociations ». C'est en ces termes que le premier ministre britannique, Keir Starmer, a démarré aujourd'hui son sommet par visioconférence avec vingt-cinq dirigeants alliés de l’Ukraine. Si Volodymyr Zelensky a accepté sans conditions un cessez-le-feu de trente jours, le maître du Kremlin semble en effet vouloir faire durer les choses. Poutine a prévenu qu’il restait des « questions importantes » avant un cessez-le-feu, au grand dam de Donald Trump qui veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite. Sur le terrain, les troupes russes ont maintenant l'avantage après avoir repris des territoires contrôlés par l'Ukraine dans la région russe de Koursk.
Faut-il signer une trêve avec la Russie ?
Un cessez-le-feu de 30 jours, accepté par Kiev lors de la rencontre américano-ukrainienne à Jeddah, pourrait-il être conclu entre l’Ukraine et la Russie ? « À présent, la balle est dans le camp de Poutine » a déclaré Olaf Scholz. Après trois années de guerre, une victoire pour qui ?

Cessez-le-feu en Ukraine : Poutine "n'acceptera pas sans conditions extrêmement drastiques"
Alors que l'Ukraine et les États-Unis ont signé un accord, Vladimir Poutine reste silencieux sur leur proposition de cessez-le-feu. Selon Dimitri Minic, chercheur au Centre Russie/Eurasie, le président russe n'acceptera qu'à des conditions "drastiques".
Poutine : "La Russie soutient la trêve"
L’accord de cessez-le-feu conclu mardi entre l’Ukraine et les États-Unis attend toujours l’aval russe alors que sur le front, la trêve semble encore loin, notamment dans la région russe de Koursk, en partie envahie par l’armée ukrainiens depuis août 2024 et que les Russes sont en train de reprendre. C’est dans ce territoire frontalier de l’Ukraine que Vladimir Poutine a effectué une rare visite sur le terrain mercredi soir.

Effort de guerre : qui va payer ?
Face à la menace russe, la France doit trouver des milliards sans augmenter les impôts, retarder l’âge de la retraite ni compromettre la transition écologique. Un casse-tête budgétaire.

Que négocie-t-on avec Vladimir Poutine ?
Suite à la conférence de presse du 28 février entre D. Trump et V. Zelensky, le Collimateur tente de comprendre avec Dimitri Minic (Ifri) la nature et les perspectives des négociations russo-américaines sur l’Ukraine.
Ukraine : 3 ans de guerre et maintenant ?
La guerre en Ukraine dure depuis maintenant trois ans. Quel avenir pour l'Ukraine et sa population ? Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse la résilience ukrainienne jusqu'à une paix juste et durable, les volontés russes, l'avenir des négociations et donc de l'Ukraine.
L'Ukraine à front renversé
La situation de la guerre en Ukraine a changé ces derniers jours suite à la conférence de Munich, les déclarations de Donald Trump et de son administration, la rencontre entre Washington et Moscou à Riyad... L'Ukraine se retrouve à front renversé : d'une aide américaine au rapprochement russo-américain. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice au Centre Russie/Eurasie, analyse ce renversement de situation.
Trump attaque le "dictateur" Zelensky
Les déclarations de l'administration américaine à l'égard de Volodymyr Zelensky ont provoqué de fortes réactions sur la scène internationale. L'Ukraine est face à l'incertitude face au rapprochement russo-américain. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse les réactions russes et les conséquences sur les négociations.
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