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Proche-Orient

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Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.

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Vue aérienne de la célèbre et historique ville côtière méditerranéenne: Byblos, Liban
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Le Figaro Magazine

Conflit Israël - Hamas: pourquoi Emmanuel Macron s'est-il rendu en Jordanie?

25 octobre 2023
Accroche

FOCUS - Emmanuel Macron s'est entretenu le 25 octobre avec Abdallah II, le roi de Jordanie, pays clé dans la résolution du conflit Israël et le groupe islamiste palestinien.

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Quotidien La Libre Belgique

Alliés des Occidentaux, proches du Hamas: à quoi joue la Qatar à Gaza?

27 octobre 2023
Accroche

Hôte du bureau politique du Hamas, principal financier de Gaza, le Qatar joue un rôle fondamental d’intermédiaire entre le groupe terroriste et l’Occident. Allié fiable ou dangereux opportuniste ?

”La seule façon de trouver une solution pacifique à Gaza, c’est de garder les canaux de communication ouverts” insistait mercredi à Doha le cheikh Mohammed al-Thani. Le Premier ministre du Qatar sait précisément de quoi il parle et prêche au passage pour la chapelle de l’Émirat, car le principal canal de communication dans ce conflit, c’est lui.

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Israël-Hamas : la bataille de l’émotion ?

26 octobre 2023
Accroche
La guerre de l’image, de la communication entre Israël et le Hamas. Depuis le 7 octobre, le monde est plongé dans un flot ininterrompu d’images : civils morts sous les bombardements, crimes filmés par leurs bourreaux, visages d’otages attendus par leur familles… Des images que les deux camps exploitent pour remporter la bataille de l’opinion.
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Vers un embrasement du Moyen-Orient ?

16 octobre 2023
Accroche

L’opération « Déluge d’Al-Aqsa » lancée par le Hamas a brutalement focalisé l’attention sur un  Moyen-Orient en chaos. Elle constitue pour la population israélienne un choc sans précédent. Les comparaisons avec le 11-Septembre, Pearl Harbor ou la guerre du Kippour témoignent de l’ampleur du traumatisme subi.

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Guerre Hamas-Israël : « un réveil tragique » pour les pays arabes

25 octobre 2023
Accroche

Coincés entre leurs opinions publiques et l’amorce d’un rapprochement, les pays voisins de l’État hébreu se trouvent « dans une position délicate », explique Denis Bauchard, conseiller pour l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient à l'Ifri. 

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Guerre Israël/Hamas : les États-Unis sont-ils encore le gendarme du monde ?

24 octobre 2023
Accroche
Le Talk de franceinfo se penche sur le conflit qui oppose le Hamas et Israël et revient sur la place qu’occupe les États-Unis dans cette guerre. Ludo Pauchant reçoit Heloïse Fayet, chercheuse à l’Institut Français des Relations Internationales et Frédéric Encel, docteur en géopolitique.
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Entre Daech et le Hamas, « les différences sont majeures »

25 octobre 2023
Accroche
La chercheuse Héloïse Fayet revient sur la proposition d’Emmanuel Macron de bâtir une coalition internationale contre le Hamas, à l’instar de celle qui combat les djihadistes de l’organisation État islamique.
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France : la diplomatie de l'équilibre ? Emmanuel Macron en Cisjordanie et en Jordanie

24 octobre 2023
Accroche

Dans le cadre du regain de tensions entre Israël et le Hamas, Emmanuel Macron entame une tournée au Proche-Orient.

Les répercussions du conflit israélo-palestinien en France

25 octobre 2023
Accroche

Marc Hecker, directeur de la recherche et de la valorisation à l'Ifri, s'exprimait devant la Commission de la défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale, mardi 24 octobre 2023.

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Les États-Unis au centre du jeu diplomatique mondial

23 octobre 2023
Accroche

Proche-Orient, Ukraine : le monde peut-il se passer de l'Amérique ? « Biden peut-il contenir la guerre ? » : c'est la question que posait le magazine américain « Newsweek » sur la guerre entre le Hamas et Israël. S'il est sans doute prématuré d'y répondre, il est possible de dresser un bilan provisoire de la visite du président américain à Tel-Aviv le 18 octobre  dernier. 

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Syrie : "Il y a à la fois une victoire et un affaiblissement de Bachar el-Assad"

08 décembre 2016
Accroche

Le régime de Bachar el-Assad est sur le point de reprendre la ville d'Alep, quelles en seront les conséquences ? Pour analyser la situation, Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l'Ifri était invité de l'émission "On va plus loin", présentée par Sonia Mabrouk sur Public Sénat. 

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Certains candidats veulent se rapprocher de Vladimir Poutine et de Bachar Al-Assad

11 octobre 2016
Accroche
Avec la perspective du retour de la droite au pouvoir en 2017, on peut s’interroger sur la possibilité, certains pensent la probabilité, d’une inflexion de notre politique étrangère, en particulier vis-à-vis de la Syrie et de la Russie. En effet, la plupart des candidats à la primaire de la droite, comme François Fillon et Nicolas Sarkozy, semblent être sur cette ligne.
 
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"Des missiles russes tirés sur la Syrie depuis la mer Caspienne"

07 octobre 2015
Accroche

Moscou a annoncé l’intensification de ses frappes sur la Syrie, avec notamment l’entrée en action de navires de guerre stationnés en mer Caspienne. Une opération qui mêle frappes aériennes et tirs de missiles de croisière sur près de 1 500 km et qui est « synchronisée avec les actions de l’armée syrienne au sol », selon les autorités russes.

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Israël-Palestine : une conférence inutile ?

02 juin 2016
Accroche

Ce vendredi s'ouvre à Paris, à l'initiative de la diplomatie française, une Conférence Internationale visant à relancer le processus de paix entre Israël et la Palestine. L'Amérique de Barack Obama avait jeté l'éponge. La France de François Hollande (il s'agit plutôt d'une démarche pensée et voulue par Laurent Fabius lorsqu'il était en charge du Quai d'Orsay) reprend le flambeau et relève le défi. L'analyse de Dominique MOISI, conseiller spécial à l'ifri, parue dans Ouest-France.

 

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« La Russie est en train de se livrer à une démonstration de force globale »

16 février 2016
Accroche

Thomas Gomart (Directeur de l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI).) Historien et spécialiste de la Russie, Thomas Gomart vient de publier un rapport pour l’Institut de l’Entreprise sur « Le retour du risque géopolitique : le triangle stratégique Russie, Chine, Etats-Unis ».


Que cherche à démontrer la Russie en Syrie ?

La Russie cherche à transformer le plus rapidement possible son intervention militaire en bénéfice diplomatique. Elle est intervenue depuis le mois de septembre, créant un effet de surprise, et modifie le rapport de force sur le terrain en remettant en selle le régime alaouite. Elle a réussi à relancer un processus diplomatique à Vienne à l’automne pour le Moyen-Orient et voudra reproduire cela dans les relations euro-atlantiques. Du point de vue russe, Syrie et Ukraine sont correllés de manière très étroite. Dans les deux cas, il s’agit d’un recours à la guerre limitée pour façonner l’ordre international. La diplomatie russe veut montrer que les Occidentaux se sont trompés.


Tous les moyens sont bons ?

A Paris, après les attentats du 13 novembre, on a pensé pouvoir s’entendre avec les Russes. Le problème est que la Russie est en train de se livrer à une démonstration de force globale qui s’observe en Syrie, en Ukraine, mais aussi dans le déploiement de forces navales et aériennes pour tester la solidité de l’Otan. La Russie veut exploiter le vide produit par le retrait américain d’Europe et du Moyen-Orient. Elle accentue le désarroi européen en soutenant des partis anti-establishment, comme le Front National en France, ou en renforçant les flux migratoires avec ses interventions. Un phénomène dont elle se sent elle-même victime, car elle a accueilli un million de personnes après les événements en Ukraine. Les Russes sont contre le multiculturalisme. Il pensent plus en termes de coexistence de civilisations qu’en termes de métissage.


La montée des tensions entre Ankara et Moscou devient très dangereuse ?

La situation est explosive entre la Russie et la Turquie et par voie de conséquence entre la Russie et l’Otan. La cohésion de l’Otan peut être en effet plus facilement testée avec la Turquie qu’avec les pays Baltes. Les leaderships d’Erdogan et de Poutine sont comparables et les deux régimes ont aussi leurs similitudes en termes d’organisation civilo-militaire. La Russie pointe les contradictions fondamentales de la Turquie, c’est à dire l’ambivalence du soutien d’Erdogan aux Frères musulmans comme le fait qu’il combat les Kurdes avant de combattre l’Etat Islamique. Les Russes sentent l’embarras très fort des capitales européennes et américaine vis-à-vis d'Erdogan.


Risque-t-on un conflit beaucoup plus étendu ?

L’histoire montre que les logiques d’alliances peuvent être un facteur déclenchant. C’est une situation très dangereuse. Nous sommes dans une fin de mandat américain, avec des leaders européens très en retrait, dont Angela Merkel affaiblie par la question des réfugiés. La crise en Syrie a permis à Moscou de se remettre dans un dialogue direct avec Washington, ce qui est l’obsession de Vladimir Poutine. La question est de faire redescendre la tension.


Dimitri Medvedev a reparlé de guerre froide. Est-ce approprié ?

La Russie renoue avec un travail d’influence et de propagande très systématique, qui est couplé à sa démonstration de force. Elle veut forger sa propre narration sur les affaires internationales. Ce n’est pas une nouvelle guerre froide dans le sens où il y a une volonté russe de s’intégrer dans l’économie mondiale et que la capacité d’entraînement de la Russie sur un bloc reste faible. Mais il y a des éléments de confrontation idéologique avec, par exemple, le rapprochement avec la Chine sur le concept de capitalisme d’Etat. Il y a une volonté d’accélérer la « désoccidentalisation » du monde. L’utilisation de cette formule par Medvedev traduit le durcissement idéologique de Moscou. Poutine fait le choix de la guerre limitée, quand son économie est en pleine récession. C’est un choix très russe de donner plus d’importance à sa dépense militaire que ne l’autorise son potentiel économique. L’empreinte de la Russie n’a cessé de se rétrécir sur la scène internationale depuis 40 ans, et c’est sans doute pourquoi elle est si démonstrative.

Virginie Robert

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"Cessation des hostilités" en Syrie : espoir ou leurre?

12 février 2016
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La "cessation des hostilités" en Syrie sur laquelle sont tombés d'accord les Etats-Unis et la Russie cette nuit est-elle crédible ? Thomas Gomart, directeur de l'Ifri, estime qu'avec l'accord entre les États-Unis et la Russie concernant la Syrie, "la Russie parvient indiscutablement à ses buts et arrive à obtenir quelque chose en termes diplomatiques"... "Le conflit est polymorphe. Ce que permet la Syrie à la Russie, c'est de rétablir une relation presque spéciale avec Washington, alors même qu'elle a été isolée après l'annexion de la Crimée" poursuit Thomas Gomart. "On est à un moment très particulier où la Russie fait preuve d'une démonstration de force, non seulement en Syrie mais au delà"...

 

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Terrorisme, réfugiés, PKK : Erdogan face au défi sécuritaire

15 janvier 2016
Accroche

Table ronde d'actualité internationale en partenariat avec Libération : Terrorisme, réfugiés, PKK : Erdogan face au défi sécuritaire. Avec Dorothée Schmid, Emre Demir et Marc Sémo.

 

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Si Poutine s'enlise en Syrie...

09 décembre 2015
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En l'espace de quelques semaines, Moscou a déjà atteint l'un de ses objectifs : stopper le recul de l'armée syrienne, consolider Bachar al-Assad et relancer une dynamique du côté du pouvoir syrien, revenu dans le jeu diplomatique. Au-delà, l'objectif est géostratégique. "La Russie effectue une démonstration de force à destination des Européens, pour mieux leur prouver leur incapacité à projeter une armée au-delà de leurs frontières, observe Julien Nocetti, chercheur à l'Institut français des relations internationales (Ifri).

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La guerre en Syrie, un conflit international d'un nouveau genre

01 décembre 2015
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Pour Julien Nocetti, cette intervention [de la Russie] «sans mandat onusien mais “à la demande de l’État syrien” constitue, en outre, une forme de pied de nez aux Américains en matière d’interventionnisme». Il précise: «Le langage utilisé par Moscou pour justifier son opération militaire emprunte d’ailleurs à la terminologie utilisée par les Américains pour décrire leur invasion de l’Irak [en 2003]».

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Pourquoi Benyamin Netanyahou attribue-t-il la solution finale au grand mufti de Jérusalem ?

22 octobre 2015
Accroche

Devant le Congrès sioniste à Jérusalem mardi 20 octobre, le premier ministre israélien a accusé le grand mufti de Jérusalem pendant la Seconde Guerre mondiale, Haj Amin al-Husseini, d’avoir donné à Adolf Hitler l’idée d’exterminer les juifs d’Europe, lors d’une rencontre en novembre 1941.

Pour Dominique Moïsi, conseiller spécial de l’IFRI, Benyamin Netanyahou « joue avec le feu ».

 

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Vue aérienne de Byblos, Liban
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