
L'Europe toujours plus dépendante du gaz russe
Les exportations de Gazprom vers l'Europe ont battu un nouveau record. Un paradoxe alors que l'UE cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.
En Algérie, la fuite en avant du gaz de schiste

Comment la Pologne veut se libérer de Gazprom
Varsovie multiplie les investissements pour importer du gaz du Qatar ou de Norvège. Objectif : mettre fin au contrat d'approvisionnement avec le russe Gazprom dans cinq ans.
Europe : l’impossible alternative au gaz russe

Sonatrach fait le point
Sonatrach : des défis importants à relever
Sonatrach a créé une véritable oasis de compétences dans l’appareil étatique (...), mais elle a besoin du privé pour mettre en valeur son domaine conventionnel.»

Le gaz monte en puissance
Même si le charbon reste la première source pour produire de l'électricité, les industriels investissent dans des énergies moins polluantes.
Gaz "Moscou cherche à sécuriser ses parts de marché en Europe"
Diplômée de l’Université Paris Dauphine, auteur d’une thèse sur « la rente pétrolière et le développement économique des pays exportateurs de pétrole », au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières premières (CGEMP). Economiste à la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) entre 2007 et 2014, Marie-Claire Aoun se penche notamment sur l’intégration des marchés gaziers en Europe. Depuis 2014, elle est directrice du Centre de l’Energie de l’Ifri.
2017 : une année empreinte d’incertitudes pour l’industrie pétrolière et gazière
Aléas géopolitiques, solidité de l’accord OPEP-non OPEP sur la réduction de la production de pétrole, réaction des producteurs de pétrole de schiste aux États‑Unis, abondance de l’offre et prix bas du gaz, transition vers une économie bas-carbone… L’année 2017 s’ouvre sur de nombreuses incertitudes pour l’industrie du pétrole et du gaz, comme l’explique Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, qui ouvre le dossier Perspectives 2017 du BIP.

Le pétrole de schiste américain est de retour
La hausse du prix du brut au-dessus de 50 dollars redonne des perspectives aux producteurs des Etats-Unis.
À ce rythme, les hydrocarbures non conventionnels pourront bientôt dire merci à l'Opep. Depuis que l'organisation emmenée par l'Arabie saoudite s'est employée à redresser les cours du pétrole (lire ci-dessous) - désormais bien installés au-dessus de la barre des 50 dollars le baril -, les pétrole et gaz de schiste ont repris des couleurs aux États-Unis. La semaine dernière, la société Baker Hughes, référence en la matière, a recensé la remise en service de 27 rigs (appareils de forage) supplémentaires, portant le total à 624 plateformes employées pour ouvrir de nouveaux puits. Certes, le pic des I 930 rigs, enregistré en 2014, est encore loin mais l'industrie des shale oil et des shale gas a clairement retrouvé une dynamique...

En Europe, Gazprom va ajuster ses prix à la baisse afin de concurrencer le GNL américain
Dans une étude publiée récemment, l’Institut français des Relations Internationales (Ifri) analyse l’impact du GNL américain sur le marché gazier européen. Il s’agit notamment de savoir dans quelle mesure cette nouvelle donne va impacter la politique de Gazprom vis-à-vis des Européens. L’auteure de cette analyse, Sylvie Cornot-Gandolphe, souligne tout d’abord que les exportations US de GNL (qui ont démarré il y a peu de temps) arrivent dans un environnement très différent de celui envisagé il y a quelques années, lorsque les projets d’exportations ont été initiés. Trois paramètres sont, en effet, venus chambouler le marché : la baisse des prix du pétrole, la mise en service de nouvelles capacités de liquéfaction depuis 2014 et le ralentissement de la demande gazière en Asie. Conséquence : l’offre est maintenant excédentaire à l’échelle mondiale et cela devrait rester le cas au moins jusqu’aux environs de 2020.

Les exportations américaines de gaz naturel
Le Bulletin de l'Industrie Pétrolière reprend l'étude de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI) intitulée : « exportations américaines de gaz naturel : de nouvelles règles du jeu sur l'échiquier européen ». Cette étude analyse les conséquences des exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) américain vers l'Europe, en particulier sur la stratégie de la Russie, principal fournisseur de gaz de l'Union européenne.
Le monde face au trop-plein de pétrole
Xerfi Canal TV a reçu Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Energie de l’Ifri, pour parler de l'abondance pétrolière et de ses conséquences sur l'économie mondiale.
Une interview menée par Thibault Lieurade.

Rendez-vous de l'AFG
Le rendez-vous de l'AFG sur le thème de « la nouvelle géopolitique du gaz » s'est tenu le 2 juin dernier Un public nombreux s'était reuni pour suivre les échanges et debattre avec les intervenants autour de sujets majeurs tels que le contrôle de l'approvisionnement énergetique, les exportations en provenance des Etats-Unis, le retour sur la scène internationale de l'Iran ou les tensions entre l'Union européenne et la Russie.
Lire la totalité de l'article sur le site de Gaz d'Aujourd'hui

Rendez-vous de l'AFG
Le rendez-vous de l'AFG sur le thème de « la nouvelle géopolitique du gaz » s'est tenu le 2 juin dernier Un public nombreux s'était reuni pour suivre les échanges et debattre avec les intervenants autour de sujets majeurs tels que le contrôle de l'approvisionnement énergetique, les exportations en provenance des Etats-Unis, le retour sur la scène internationale de l'Iran ou les tensions entre l'Union européenne et la Russie.
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Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
Pour lire l'article dans sa totalité, consulter le site d'Energie Plus

Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
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Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pourattirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).

Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pour
attirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
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Le pétrole n'est pas près de s'éteindre
Si le XIXe siècle fut celui du charbon, le XXe a érigé le pétrole en ressource stratégique suprême. Mais la lutte contre le réchauffement climatique pourrait remettre en question son hégémonie. Premier volet de notre nouvelle série sur les énergies.
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