Total se renforce dans le gaz de schiste américain
Le groupe rachète la part de son partenaire Chesapeake dans un gisement texan qui reste rentable malgré le niveau du prix de l'or noir.
En Europe, Gazprom va ajuster ses prix à la baisse afin de concurrencer le GNL américain
Dans une étude publiée récemment, l’Institut français des Relations Internationales (Ifri) analyse l’impact du GNL américain sur le marché gazier européen. Il s’agit notamment de savoir dans quelle mesure cette nouvelle donne va impacter la politique de Gazprom vis-à-vis des Européens. L’auteure de cette analyse, Sylvie Cornot-Gandolphe, souligne tout d’abord que les exportations US de GNL (qui ont démarré il y a peu de temps) arrivent dans un environnement très différent de celui envisagé il y a quelques années, lorsque les projets d’exportations ont été initiés. Trois paramètres sont, en effet, venus chambouler le marché : la baisse des prix du pétrole, la mise en service de nouvelles capacités de liquéfaction depuis 2014 et le ralentissement de la demande gazière en Asie. Conséquence : l’offre est maintenant excédentaire à l’échelle mondiale et cela devrait rester le cas au moins jusqu’aux environs de 2020.
Les exportations américaines de gaz naturel
Le Bulletin de l'Industrie Pétrolière reprend l'étude de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI) intitulée : « exportations américaines de gaz naturel : de nouvelles règles du jeu sur l'échiquier européen ». Cette étude analyse les conséquences des exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) américain vers l'Europe, en particulier sur la stratégie de la Russie, principal fournisseur de gaz de l'Union européenne.
Le monde face au trop-plein de pétrole
Xerfi Canal TV a reçu Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Energie de l’Ifri, pour parler de l'abondance pétrolière et de ses conséquences sur l'économie mondiale.
Une interview menée par Thibault Lieurade.
Rendez-vous de l'AFG
Le rendez-vous de l'AFG sur le thème de « la nouvelle géopolitique du gaz » s'est tenu le 2 juin dernier Un public nombreux s'était reuni pour suivre les échanges et debattre avec les intervenants autour de sujets majeurs tels que le contrôle de l'approvisionnement énergetique, les exportations en provenance des Etats-Unis, le retour sur la scène internationale de l'Iran ou les tensions entre l'Union européenne et la Russie.
Lire la totalité de l'article sur le site de Gaz d'Aujourd'hui
Rendez-vous de l'AFG
Le rendez-vous de l'AFG sur le thème de « la nouvelle géopolitique du gaz » s'est tenu le 2 juin dernier Un public nombreux s'était reuni pour suivre les échanges et debattre avec les intervenants autour de sujets majeurs tels que le contrôle de l'approvisionnement énergetique, les exportations en provenance des Etats-Unis, le retour sur la scène internationale de l'Iran ou les tensions entre l'Union européenne et la Russie.
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Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
Pour lire l'article dans sa totalité, consulter le site d'Energie Plus
Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
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Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pour
attirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).
Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pourattirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
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Risques politiques et géopolitiques : La gouvernance du gaz en Israël
Enerpresse reprend la Note de l'Ifri diffusée en décembre 2015 et rédigée par Maïté de Boncourt.
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Les principales voies d'exportation du gaz israélien sont régionales
Depuis la découverte du champ gazier Leviathan, Israël ambitionne de devenir un nouvel acteur gazier, malgré de fortes pressions internes qui privilégient la sécurité énergétique du pays. Avec un marché mondial du GNL devenu excédentaire, Israël aura bien du mal à diversifier ses options d'exportation. Les principales voies d'exportation du gaz israélien seront sans doute régionales. Toutefois, les risques géopolitiques de la région subsistent. "La diplomatie gazière sera certainement une variable clé en 2016 dans la géopolitique régionale".
Lire l'intégralité de l'article sur www.enerpresse.com (réservé aux abonnés du BIP)
La gouvernance du gaz en Israël
reprise de la deuxième partie de la Note sur la gouvernance du gaz en Israël de Maïté de Boncourt, publiée par l'ifri en décembre 2015
L’Europe se divise cette fois sur le gaz russe
Une nouvelle pierre d’achoppement, une de plus, vient s’ajouter à l’édifice de la discorde qui déchire l’Europe de toutes parts. Et celle-là, personne ne l’a vraiment vue venir. Outre la crise de l’asile et la perspective d’un "Brexit", le Conseil européen de ce 17 et 18 décembre a dû se saisir de la stratégie énergétique de l’Union. Au cœur de la controverse : le Nord Stream II, un gazoduc qui permettrait d’augmenter les livraisons de gaz russe vers l’UE.
L'Alaska déçoit, Shell arrête ses forages pétroliers
Comment expliquer la décision de Shell de mettre un terme à sa campagne d'exploration pétrolière et gazière au large de l'Alaska? Reportage dans l'émission Inter soir de France Inter.
Nous ne sommes qu’au début de l’histoire pétrolière et gazière de l’Afrique de l’Est
Longtemps l’industrie du pétrole et du gaz a délaissé l’Afrique de l’Est au profit de l’Ouest du continent. Mais ces dernières années, des découvertes très prometteuses ont été réalisées dans cette zone qui bénéficie, en outre, d’un réel avantage : une situation géographique privilégiée par rapport au marché le plus porteur actuellement, l’Asie. Benjamin Augé, chercheur à l’IFRI, spécialiste de l’Afrique et des questions énergétiques, s’est penché sur ce cas.
L'entretien réalisé par Gabrielle Desanges pour le Bulletin de l'Industrie pétrolière(BIP) est disponible ci-dessous.
Gazprom pourra-t-il se passer de l'Ukraine ?
Les investissements dans Nord Stream et Turkish Stream visent à accéder directement au marché européen, sans passer par le territoire ukrainien. Mais les obstacles économiques, réglementaires et politiques sont multiples.
Brussels risks Russian ire with Gazprom antitrust case
article paru dans le Financial Times du 22 avril 2015
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