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Le conflit au Yémen : un nouveau paysage stratégique régional

23 août 2017
Accroche

François Frison-Roche, chargé de recherche au CNRS, analyse les enjeux géopolitiques du conflit au Yémen et ses conséquences sur la déstabilisation de la région.

Le conflit au Yémen comme matrice du terrorisme islamique

23 août 2017
Accroche

Si la montée en puissance de Daech depuis 2011 semblait corrélée d'un affaiblissement général d'Al-Qaïda, la branche yéménite du groupe terroriste, AQPA (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) a su s'installer durablement dans le pays. Actuellement au Yémen, les djihadistes de Daech se comptent par centaines, ceux d'AQPA par milliers.

Le conflit au Yémen : enlisement et portée régionale

03 juillet 2017
Accroche

Entretien avec l'envoyé spécial de l'ONU au Yémen : Ismail Ould Cheikh Ahmed (réalisé le 29 juin 2017 à l'Ifri).

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Madagascar face à la criminalité multiforme

Date de publication
21 mars 2017
Accroche

L’élection présidentielle à Madagascar en décembre 2013 a clôturé une séquence politique de relative paralysie institutionnelle depuis le coup d’État de mars 2009. L’héritage le plus lourd de cette crise est toutefois l’intensification d’une criminalité multiforme. Elle se traduit par des trafics de biens variés: ressources naturelles, espèces protégées ou non, produits illicites, minerais, bois précieux.  

 
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Les trajectoires de radicalisation religieuse au Sahel

Date de publication
28 février 2017
Accroche

La problématique de la radicalisation religieuse s’est imposée au rang des priorités des États du Sahel depuis le milieu des années 2000 sous l’effet conjugué de deux dynamiques dont il n’est pas aisé d’identifier précisément les liens. 

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Quand la Russie "trolle" les démocratie

09 janvier 2017
Accroche

Que dire des supposées tentatives de déstabilisations politiques venues de Russie ? Le Kremlin a-t-il trouvé dans cette nouvelle stratégie, un moyen pour peser sur le destin du monde ? Que veut la Russie et d'où lui viennent ses moyens techniques lui permettant d'effectuer ces attaques?

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Quelles règles pour la cyberguerre froide ?

02 janvier 2017
Accroche

Les diplomates occidentaux se mobilisent pour réguler les conflits dans le cyberespace. Avant qu’un Etat ou une organisation terroriste ne paralyse tout Internet.

Nouvelles menaces, nouveau métier. La montée en puissance des attaques sur le Net, dont le point culminant fut en 2016 l'ingérence d'hackers russes dans la présidentielle américaine, fait émerger la profession de cyberdiplomate, c'est-à-dire de diplomate chargé des négociations internationales sur la cybersécurité. Dans l'ombre, ces spécialistes s'activent pour tenter de réguler les cyberguerres désormais clairement ouvertes - mais jamais officiellement déclarées - entre les Etats-Unis, l'Europe, la Chine, la Russie, l'Iran, la Corée du Nord... Un de leurs objectifs prioritaires est de sanctuariser les « registrars », les annuaires d'adresses dont dépend le bon fonctionnement du Net.

Si ces serveurs étaient attaqués, tout l'Internet s'arrêterait, provoquant un effondrement de la plupart des activités humaines sur terre, mais aussi en mer et dans l'espace... « Notre objectif est tout simplement de faire en sorte que l'humanité puisse continuer à tirer bénéfice du cyberespace, malgré les menaces qui pèsent sur lui », résume Gustav Lindstrom, chargé du programme « nouveaux défis de sécurité » au GCSP (Geneva Centre for Security Policy), un think tank helvétique. « Internet est un bien commun de l'humanité, tout comme la haute mer, les régions polaires, l'atmosphère, l'espace..., rappelle un haut fonctionnaire européen. Il doit être géré et réglementé d'une façon particulière. »

 

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« La Russie perçoit nos faiblesses en matière informationnelle »

02 janvier 2017
Accroche

Julien Nocetti, chercheur au Centre Russie/NEI de l'Ifri, explique qu’Européens et Américains ont négligé les avancées de Moscou en ce qui concerne la «guerre de l’information» : le Kremlin a parfaitement saisi comment influer sur les opinions publiques occidentales pour «paralyser la prise de décision de l’adversaire».

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Comment la cyberguerre froide a parasité la campagne

18 décembre 2016
Accroche

Des groupes de hackeurs russes sont visés par la CIA pour avoir pesé sur le processus électoral. A un mois de son départ, Barack Obama met la pression sur le Kremlin.

Jusqu’au bout, la pesante atmosphère de «cyberguerre froide» aura imprimé son tempo à la séquence électorale américaine. Vendredi soir - à un peu plus d’un mois de l’entrée en fonction de Donald Trump et à quelques jours du vote des grands électeurs -, Barack Obama a encore durci le ton lors de sa conférence de presse de fin d’année. S’il n’est pas allé jusqu’à accuser directement le président russe d’avoir ordonné les cyberattaques qui ont émaillé la campagne, c’est tout comme : selon lui, les «plus hauts niveaux» de l’exécutif sont impliqués, et «pas grand-chose ne se passe en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine»… Quelques heures avant, Hillary Clinton avait pris moins de gants, reprochant au maître du Kremlin d’avoir «une dent» contre elle et d’avoir commandité les piratages pour «saper» la démocratie américaine.

Pendant des mois, les «fuites» touchant principalement le camp démocrate ont en effet donné à la campagne, déjà particulièrement violente, une toile de fond digne d’un roman d’espionnage.

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Les démocraties doivent-elles craindre les hackers russes ?

18 décembre 2016
Accroche

Barack Obama a récemment qualifié la Russie de "petit pays" à qui "personne ne veut rien acheter" et "qui n’innove pas". Nouvel épisode dans l’affrontement diplomatique qui accompagne la cyberguerre que se livrent les deux pays. La tentative russe, avérée selon les services secrets américains, de déstabiliser le processus électoral américain oblige à s’interroger sur cette stratégie :  "Les démocraties doivent-elles craindre les hackers russes ?"

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