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Royaume-Uni

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Le Royaume-Uni n'est pas sorti indemne du Brexit. Néanmoins, il continue de vouloir peser sur la scène internationale, comme l'illustre la thématique du "Global Britain" ou encore la signature de l'accord AUKUS.

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Brexit : suspense et convulsions

08 décembre 2018
Accroche

Le Royaume-Uni ne sait pas comment sortir de l'Europe, ni s'il le souhaite encore. On saura le 11 décembre prochain si l'accord de divorce, signé entre les 27 membres de l'UE et Theresa May, la Première ministre britannique, est approuvé par son parlement. Quels sont les enjeux et les scénarios?

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Angela Merkel et Mohammed VI: les ambitions contrariées d’une «politique migratoire bienveillante»

07 décembre 2018
Accroche

Le Maroc et l’Allemagne coprésident depuis mercredi le 11e Forum mondial sur la migration et le développement à Marrakech, préalable à la signature d’un Pacte onusien sur le sujet.

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Brexit, Electricity and the No-Deal Scenario: Perspectives from Continental Europe, Ireland and the UK

Date de publication
15 octobre 2018
Accroche

En matière d’énergie, et d’électricité en particulier, les négociations sur le Brexit ne feront que des perdants. À ce stade, le seul objectif raisonnable est de chercher à minimiser les pertes et les obstacles aux échanges.

Brexit : un flou persistant - RAMSES 2019

07 septembre 2018
Accroche

À l'approche de l'échéance de sortie, les conditions de cette dernière sont peu claires, tout comme les règles qui organiseront les futures relations entre le Royaume-Uni et l'Union européenne. Les contradictions britanniques laissent la main à Bruxelles, et les conséquences économiques, même limitées, se font déjà sentir.

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Entre crise politique et tentative de relance européenne : interrogations allemandes

Date de publication
03 septembre 2018
Accroche

Si la Grande coalition formée par la CDU-CSU (Union chrétienne-démocrate d'Allemagne–Union chrétienne-sociale en Bavière) a été reconduite à l’issue des législatives allemandes du 24 septembre 2017, et si Angela Merkel a été réélue chancelière pour un quatrième mandat successif, le pays est entré dans une période d’incertitude politique croissante. La formation du nouveau gouvernement a été particulièrement longue, marquée par le refus des libéraux d’entrer dans une coalition avec la CDU-CSU et les Verts, par les hésitations du SPD (Parti social-démocrate d’Allemagne) à revenir au pouvoir, et surtout par les divisions internes entre partis frères de la CDU et de la CSU, qui ont failli provoquer la chute du nouveau gouvernement trois mois à peine après sa formation.

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RAMSES 2019. Les chocs du futur

Date de publication
05 septembre 2018
Accroche

Pour sa 36e édition, trois questions majeures sont abordées dans le RAMSES 2019. Démographie : vieillissement, urbanisation, migrations, réchauffement climatique : comment faire vivre ensemble 9 milliards d'humains ? Chine : puissance économique, diplomatique, militaire, énergétique, technologique : quelles sont les forces et les limites de ce nouveau Grand ? Iran/Arabie Saoudite : ouvert sur de multiples fronts, le conflit entre ces deux Grands du Moyen-Orient peut-il dégénérer ?

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La Croix

La coalition allemande s’accorde sur l’immigration

06 juillet 2018
Accroche

L’accord politique sur l’immigration conclu lundi 2 juillet entre Angela Merkel (CDU) et son ministre de l’Intérieur, Horst Seehofer (CSU), était suspendu depuis plusieurs jours à l’approbation des sociaux-démocrates du SPD.

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La Croix

Angela Merkel attendue sur sa nouvelle politique migratoire

05 juillet 2018
Accroche

La chancelière allemande, obligée de durcir ses positions sur le sujet alors que la question des demandeurs d’asile menace la coalition gouvernementale, reçoit, jeudi 5 juillet, le premier ministre hongrois, fervent partisan de la fermeture des frontières.

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Allemagne : l'accord sur les migrants est loin de régler tous les problèmes de Merkel

02 juillet 2018
Accroche

Tout n'est pas réglé en Allemagne malgré l'accord lundi 2 juillet sur la question migratoire entre Angela Merkel et son ministre de l'Intérieur conservateur Horst Seehofer. "Les désaccords sont profonds et sur des questions qui vont beaucoup plus loin que l'aspect technique sur lequel ils ont trouvé un compromis ce soir. Et le compromis a été trouvé entre deux partis alors que la coalition allemande est composée de trois partis", explique Barbara Kunz, chercheuse à l'Institut français des relations internationales.

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Cinq thèses sur la « crise des réfugiés » en Allemagne

Date de publication
31 mai 2018
Accroche

Le terme « crise des réfugiés » ne fait pas l’unanimité en Allemagne ; en effet, on lui reproche de présenter les réfugiés comme étant responsables de la crise. Les événements qui sont intervenus depuis l’été 2015 devraient plutôt être qualifiés de « crise des autorités », eu égard au fait que l’Allemagne aurait pu anticiper l’augmentation massive du nombre de réfugiés. L’emploi du terme « crise des réfugiés » dans la présente note est axiologiquement neutre et reflète son utilisation désormais courante en politique, dans les médias et dans la littérature spécialisée.

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"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"

23 août 2016
Accroche

Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.

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Brexit : plus d'Allemagne en Europe

11 juillet 2016
Accroche

« Quand je veux parler à l'Euro-pe, qui dois-je appeler ? » se demandait l'ancien secrétaire d'État des États-Unis Henry Kissinger. « La question est désormais résolue, répondait après le référendum britannique, Nicholas Burns, un ancien diplomate américain de haut rang. Il faut appeler la Chancellerie d'Allemagne. ». Les conséquences du Brexit sont à terme plus importantes sans doute sur un plan géopolitique que strictement économique. Pour aller à l'essentiel, depuis le 23 juin 2016, il y a bien sûr moins de Grande-Bretagne en Europe, et probablement moins d'Europe dans le monde.

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"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
Accroche

Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

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Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?

06 juillet 2016
Accroche

« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».

Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».

Lire l'intégralité de l'article sur lacroix.fr

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La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe

27 juin 2016
Accroche

« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
Accroche

"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
Accroche

“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

Lire l'article.
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Brexit : les leçons d'un cataclysme

24 juin 2016
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Prendre la mesure du tremblement de terre qui vient de se produire consiste d’abord à en mesurer la gravité. Cela suppose ensuite ne pas y apporter de fausses et insuffisantes réponse. Triomphe de la peur portée par les populistes, défaite de la raison défendue sans talent et inspiration par les partisans du statut-quo, révolte des « petits » contre les « nantis », début de la désintégration d'une Europe victime de sa bureaucratisation et de son manque d'incarnation. Toutes ces explications contiennent une part de vérité et contribuent, chacune à sa manière, à expliquer le tsunami politique qui vient de se produire.
 
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Jour J-1 à Londres : Bruxelles retient son souffle

22 juin 2016
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Un Brexit ouvrirait la voie à deux ans de tractations, minimum. Et en attendant ?« C'est le grand flou », commente Vivien Pertusot, de l'Institut français des relations internationales à Bruxelles. Les eurodéputés britanniques continueront de siéger et de voter sur tout, hormis sur les négociations les concernant. « Et le commissaire britannique Jonathan Hill, en charge des services financiers, pourrait garder son poste jusqu'aux élections de 2019... Ubuesque ! »

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Et si la foudre tombait sur l’Europe?

15 juin 2016
Accroche

Plus qu’une grosse semaine avant le vote crucial des Britanniques sur le maintien ou non de leur pays dans l’Union européenne. Vivien Pertusot est le responsable, à Bruxelles, de l’Institut français des relations internationales (Ifri). Un «no» à l’Europe ne l’étonnerait pas. Il marquerait le point de départ d’une longue période d’incertitude, pour l’UE.

Lire l'entretien

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