Nucléaire : l’Iran entre coopération et défi
Ces derniers mois, l'Iran a augmenté son stock d'uranium enrichi sur son territoire. Théoriquement, selon un accord signé en 2015 entre l'Iran et les membres du Conseil de sécurité des Nations Unis, le taux d'enrichissement de l'uranium iranien ne devrait pas dépasser 3,6 %. Or l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) révèle qu'il est aujourd'hui enrichi à prêt de 84 %, à un rien des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Depuis mai 2018 et la sortie des Etats-Unis des accords de 2015 décidée par Donald Trump, les négociations avec Téhéran patinent et les Iraniens sont de plus en plus exigeants sur les contreparties à une limitation de leur activité nucléaire.
Guerre en Ukraine : la position du Japon vis-à-vis des armes nucléaires peut-elle évoluer ?
Dans le contexte de la guerre en Ukraine menée par la Russie, l'Union européenne a dû revoir sa politique de défense et de sécurité. Comment la France, seul membre de l'Union européenne possédant l'arme nucléaire, perçoit-elle les efforts en termes de désarmement ?
Prolifération et dissuasion, les deux faces d'une même pièce ?
L'invasion de l'Ukraine a ravivé, au sein du grand public, une crainte que l'on pensait d'un autre temps : celle d'une guerre nucléaire entre l'OTAN et la Russie. Dans cet épisode, Héloïse Fayet, coordinatrice du programme prolifération et dissuasion de l'Ifri, revient sur les fondamentaux théoriques et stratégiques qui sous-tendent cette crainte.
Désarmement nucléaire : en suspendant sa participation au traité New Start, la Russie "augmente le risque d'escalade"
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Femme, vie, liberté : révolution à l’iranienne
480 morts et 16 800 arrestations en deux mois. Tandis que le slogan "Femmes, Vie, Liberté" résonne dans l'hémicycle à quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, Téhéran passe un nouveau cap vers l’arme nucléaire annonçant produire de l’uranium enrichi à 60 %.
Nucléaire iranien : Avec un uranium enrichi à 60 %, l'accord pourrait « être mort »
Le gendarme du nucléaire sermonne, l’Iran riposte. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran entre l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et Téhéran. Face aux critiques sur « son manque de coopération », cette dernière a annoncé avoir commencé, ce mardi, la production d’uranium à 60 % et qu’elle allait limiter les visites des inspecteurs de l’agence onusienne sur son territoire. La décision del a République islamique inquiète la communauté internationale, qui n’a pas manqué de réagir. Mais alors qu’il fait face aux révoltes internes dues aux manifestations liées à la mort de Mahsa Amini, l’Iran semble déterminé à avancer sur le nucléaire. 20 Minutes fait le point avec Héloïse Fayet, chercheuse spécialiste des doctrines de prolifération nucléaire.
Vers un troisième âge de la menace nucléaire ?
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes depuis mars 2022, est exposée à des bombardements réguliers depuis le début de la guerre en Ukraine. Entre samedi 19 et dimanche 20 novembre 2022, une dizaine de frappes ont ciblé les blocs énergétiques quatre et cinq et ont causé des dégâts près de bâtiments dits spéciales qui abritent des dépôts de combustibles frais et usés. Les deux belligérants s’accusent d’être à l’origine de ces tirs.
Ukraine: faut-il craindre une attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet, chercheur à l'IFRI spécialisée en dissuasion nucléaire essaie d'évaluer le risque d'attaque nucléaire de la Russie.
La question est : quand les Etats-Unis décideront-ils de la fin de la partie ?
Ukraine. Le président et fondateur de l’Institut Français des relations internationales livre son analyse sur les conséquences pour l’Europe de la guerre et de sa dépendance américaine mais aussi sur les risques mondiaux, entre prolifération nucléaire et tensions en Indo-Pacifique.
Prolifération et dissuasion, les deux faces d'une même pièce ?
L'invasion de l'Ukraine a ravivé, au sein du grand public, une crainte que l'on pensait d'un autre temps : celle d'une guerre nucléaire entre l'OTAN et la Russie. Dans cet épisode, Héloïse Fayet, coordinatrice du programme prolifération et dissuasion de l'Ifri, revient sur les fondamentaux théoriques et stratégiques qui sous-tendent cette crainte.
Désarmement nucléaire : en suspendant sa participation au traité New Start, la Russie "augmente le risque d'escalade"
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Femme, vie, liberté : révolution à l’iranienne
480 morts et 16 800 arrestations en deux mois. Tandis que le slogan "Femmes, Vie, Liberté" résonne dans l'hémicycle à quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, Téhéran passe un nouveau cap vers l’arme nucléaire annonçant produire de l’uranium enrichi à 60 %.
Nucléaire iranien : Avec un uranium enrichi à 60 %, l'accord pourrait « être mort »
Le gendarme du nucléaire sermonne, l’Iran riposte. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran entre l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et Téhéran. Face aux critiques sur « son manque de coopération », cette dernière a annoncé avoir commencé, ce mardi, la production d’uranium à 60 % et qu’elle allait limiter les visites des inspecteurs de l’agence onusienne sur son territoire. La décision del a République islamique inquiète la communauté internationale, qui n’a pas manqué de réagir. Mais alors qu’il fait face aux révoltes internes dues aux manifestations liées à la mort de Mahsa Amini, l’Iran semble déterminé à avancer sur le nucléaire. 20 Minutes fait le point avec Héloïse Fayet, chercheuse spécialiste des doctrines de prolifération nucléaire.
Vers un troisième âge de la menace nucléaire ?
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes depuis mars 2022, est exposée à des bombardements réguliers depuis le début de la guerre en Ukraine. Entre samedi 19 et dimanche 20 novembre 2022, une dizaine de frappes ont ciblé les blocs énergétiques quatre et cinq et ont causé des dégâts près de bâtiments dits spéciales qui abritent des dépôts de combustibles frais et usés. Les deux belligérants s’accusent d’être à l’origine de ces tirs.
Ukraine: faut-il craindre une attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet, chercheur à l'IFRI spécialisée en dissuasion nucléaire essaie d'évaluer le risque d'attaque nucléaire de la Russie.
La question est : quand les Etats-Unis décideront-ils de la fin de la partie ?
Ukraine. Le président et fondateur de l’Institut Français des relations internationales livre son analyse sur les conséquences pour l’Europe de la guerre et de sa dépendance américaine mais aussi sur les risques mondiaux, entre prolifération nucléaire et tensions en Indo-Pacifique.
Le retour de la menace nucléaire
La guerre chaude est-elle de retour ? La menace nucléiare militaire, celle qui croyait amoindrie avec la chute de l'URSS, a ressurgi avec la déclaration de Vladirmir Poutine, le 27 février 2022, qui annonçait mettre en alerte la "force de dissuasion" russe. Où en est-on, six mois après le début de la guerre ?
Iran : Téhéran exige de nouvelles concessions des Etats-Unis concernant l'accord nucléaire
Après d'intenses négociations à Vienne début août, une proposition de texte a été effectuée par l'Union européenne, mais l'Iran souhaite des garanties supplémentaires de la part des Etats-Unis.
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