Rechercher sur Ifri.org

À propos de l'Ifri

Recherches fréquentes

Suggestions

Organisations internationales et multilatéralisme

Description

La rhétorique sur la crise du multilatéralisme est fréquente. Les organisations internationales (ONU, OMC, etc.) n'en demeurent pas moins importantes, tandis que d'autres forums (G20, BRICS, etc.) s'affirment.

Sujets liés

Image Taxonomie
Suisse; Genève; 9 mars 2018 ; Les rangées de drapeaux des États membres des Nations Unies devant l'Office des Nations Unies à Genève
Tout voir
Presse
Logo
les_echos_logo.jpg
Image principale médiatique

Bilderberg, la conférence la plus secrète du monde

07 juin 2018
Accroche

Le groupe Bilderberg se réunit à partir de jeudi pour trois jours à Turin, en Italie. Depuis 1954, ce club ultra-fermé reçoit des grands du monde politique et économique sans que rien ne filtre de leurs échanges, charriant fantasmes et théorie du complot.

Logo
ug_logo.jpg
Image principale médiatique

L'avenir de l'Union européenne face à la compétition entre les Etats-Unis et la Chine

06 juin 2018
Accroche

Vidéo de la conférence de Thierry de Montbrial, président de l'Ifri, à l'Université de Genève le 31 mai 2018. Prise en étau entre une Chine de plus en plus vindicative et des Etats-Unis sur la défensive, l’Union européenne paraît plus que jamais questionner sa place dans la diplomatie mondiale.

Logo
Les Echos

Téhéran dit se préparer à la fin de l'accord sur le nucléaire

05 juin 2018
Accroche

L'Iran a annoncé les prémisses d'une reprise de l'enrichissement d'uranium. Une manière de mettre la pression sur les Européens, au risque de franchir le point de non-retour.

Deux conceptions de la politique internationale ? Débat entre Thierry de Montbrial et Bernard-Henri Levy

29 mai 2018
Accroche

Captation vidéo de la conférence-débat entre Thierry de Montbrial et Bernard-Henri Lévy du mardi 29 mai 2018 à l'Ifri. Modérateur François d'Orcival.

Logo
logo_la_croix.png

La France cherche des « points d'accord » en Russie

24 mai 2018
Accroche

Depuis un an, le président français Emmanuel Macron a essayé de donner une nouvelle impulsion à la relation avec Vladimir Poutine. Sans taire les divergences sur l'Ukraine et la Syrie.

Logo
euronews_logo.jpg

Macron chez Poutine, malgré tout

24 mai 2018
Accroche

Leurs retrouvailles ont failli être annulées. Un an après leur première rencontre à Versailles, Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se retrouvent à Saint-Petersbourg dans les ors cette fois de la résidence impériale de Pierre le grand.

Logo
lobs_logo.jpg

Macron-Poutine à Saint-Pétersbourg, les enjeux du "match retour"

24 mai 2018
Accroche

Invité par Vladimir Poutine, Emmanuel Macron sera reçu ce jeudi soir à Saint-Pétersbourg. Le contexte international s'est tendu depuis leur dernière rencontre à Versailles.

Logo
NEW_logo_lexpress.png

Paris-Moscou, les montagnes russes

24 mai 2018
Accroche

La stratégie d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la Russie s'inscrit dans une continuité... très contrastée.

Logo
logo_la_croix.png

Poutine et Macron, acte II

23 mai 2018
Accroche

Emmanuel Macron s'est affiché en ami de Donald Trump, espérant peser sur le président américain, en vain. Avec Vladimir Poutine, il joue sur un autre registre, fastueux et historique, pour faire évoluer une relation compliquée, dont l'acte deux se joue jeudi à Saint-Pétersbourg.

Logo
reuters_logo.jpg

Macron en Russie pour le match retour face à Poutine

23 mai 2018
Accroche

Tatiana KASTOUEVA-JEAN : « Toute la difficulté du grand écart d’Emmanuel Macron, c’est de donner une illusion de force face à quelqu’un qui sait pertinemment quelles sont vos faiblesses. »

Logo
logo_leséchos

Quelles règles pour la cyberguerre froide ?

02 janvier 2017
Accroche

Les diplomates occidentaux se mobilisent pour réguler les conflits dans le cyberespace. Avant qu’un Etat ou une organisation terroriste ne paralyse tout Internet.

Nouvelles menaces, nouveau métier. La montée en puissance des attaques sur le Net, dont le point culminant fut en 2016 l'ingérence d'hackers russes dans la présidentielle américaine, fait émerger la profession de cyberdiplomate, c'est-à-dire de diplomate chargé des négociations internationales sur la cybersécurité. Dans l'ombre, ces spécialistes s'activent pour tenter de réguler les cyberguerres désormais clairement ouvertes - mais jamais officiellement déclarées - entre les Etats-Unis, l'Europe, la Chine, la Russie, l'Iran, la Corée du Nord... Un de leurs objectifs prioritaires est de sanctuariser les « registrars », les annuaires d'adresses dont dépend le bon fonctionnement du Net.

Si ces serveurs étaient attaqués, tout l'Internet s'arrêterait, provoquant un effondrement de la plupart des activités humaines sur terre, mais aussi en mer et dans l'espace... « Notre objectif est tout simplement de faire en sorte que l'humanité puisse continuer à tirer bénéfice du cyberespace, malgré les menaces qui pèsent sur lui », résume Gustav Lindstrom, chargé du programme « nouveaux défis de sécurité » au GCSP (Geneva Centre for Security Policy), un think tank helvétique. « Internet est un bien commun de l'humanité, tout comme la haute mer, les régions polaires, l'atmosphère, l'espace..., rappelle un haut fonctionnaire européen. Il doit être géré et réglementé d'une façon particulière. »

 

Logo
rtbf.jpg
Image principale médiatique

L'Etat du Monde en 2017 : prospectives

02 janvier 2017
Accroche

Peut-on croire raisonablement qu'il y aurait une mondialisation heureuse un jour alors que nous constatons le retour à un monde fragmenté, à un illibéralisme économique et politique.... Sommes-nous en présence d'un déséquilibre des puissances ? Le grand enjeu pour 2017 mais aussi pour les années à venir, c'est comment maintenir un monde raisonablement ouvert et avec des pays qui retrouvent toute leur diversité ?

Logo
logo_france_culture.jpeg
Image principale médiatique

Axe Paris-Moscou : vers un volte-face diplomatique français ?

26 décembre 2016
Accroche

2017 sera-t-elle l’année d’un nouvel axe Paris-Moscou ?

Logo
franceinfo.jpg

Comment la Russie tente de faire du Moyen-Orient sa chasse gardée

21 décembre 2016
Accroche

Pas de “concessions aux terroristes”. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a donné le ton face à son homologue turc, mardi  20 décembre. Les deux hommes se sont rencontrés au lendemain de l'assassinat de l'ambassadeur russe en Turquie. Après avoir tiré plusieurs coups de feu sur le diplomate lors d'un discours et devant les caméras toujours en marche, le terroriste a affirmé avoir agi pour venger les bombardements russes sur Alep. 

Pour le moment, cet assassinat n'a été revendiqué par aucune organisation jihadiste. Mais en permettant à Bachar Al-Assad de reprendre la ville syrienne, Moscou est devenu une cible de choix pour les groupes terroristes implantées parmi les rebelles. Malgré ces menaces et la pression diplomatique de la France et des Etats-Unis, le Kremlin ne faiblit pas. Bien au contraire : la Russie est plus que jamais un acteur de premier plan dans la région. Franceinfo explique comment Moscou tente de damer le pion aux puissances occidentales au Moyen-Orient.

En se présentant comme le seul rempart contre le terrorisme

Cet assassinat risque-t-il de compromettre le réchauffement des relations entre la Russie et la Turquie ? Les chefs d'États des deux pays ont assuré du contraire. Pour Vladimir Poutine, cet acte terroriste est "une provocation destinée à perturber la normalisation des relations russo-turques et le processus de paix en Syrie." De son côté, Recep Tayyip Erdogan a assuré que la coopération des deux puissances "ne sera pas entravée par cette attaque".

Mevlüt Mert Altintas, le policier turc qui a tiré sur le diplomate russe, a affirmé avoir voulu se venger de Moscou pour son implication en Syrie. Mais son acte pourrait avoir l'effet contraire. Le discours du Kremlin - comme celui de Bachar Al-Assad - consiste à présenter la Russie comme le dernier rempart contre les groupes terroristes à l'œuvre en Syrie et en Irak. Et le fait que la diplomatie russe ait été directement visée par cette attaque pourrait appuyer cet argumentaire.

Plusieurs think tanks occidentaux, comme l'Institute for the study of war ont montré que les frappes russes en Syrie visent principalement la rébellion et non les positions de l'Etat islamique.

Logo
logo_l_orient_le_jour.jpg
Image principale médiatique

La Conférence sur la gouvernance mondiale dénonce la vague d’isolationnisme

21 novembre 2016
Accroche

« Le temps n'est plus de rêver à une mondialisation naïve », met en garde le président de l'IFRI, à qui l'on doit la tenue de cette neuvième édition de la WPC au Qatar. Comme à l'accoutumée, c'est à l'élaboration d'un choix très diversifié de thèmes et de domaines que s'est attelé l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la houlette de son fondateur et président Thierry de Montbrial, en vue de préparer le programme de la 9e édition de la Conférence sur la gouvernance mondiale (World Policy Conference, WPC) qui s'est tenue cette année à l'hôtel Sheraton de Doha, au Qatar.

Logo
lexpress.png

La France devait-elle recevoir Poutine comme si de rien n'était?

12 octobre 2016
Accroche

François Hollande a hésité avant de trancher. "Je me pose encore la question" de savoir s'il faut recevoir M. Poutine. "Est-ce que c'est utile?", s'interrogeait le président français lundi soir, sur la chaîne de télévision TMC. 

Le patron du Kremlin devait en effet inaugurer, le 19 octobre, dans le cadre d'un visite privée, un "centre spirituel et culturel orthodoxe russe" abritant une église, une école et les services culturels de l'ambassade, ainsi qu'une exposition organisée par la Fondation Vuitton sur la collection du mécène russe Sergueï Chtouchkine.

Le report de cette visite résulte du télescopage de deux agendas incompatibles. "D'un côté, explique Tatiana Kastouéva-Jean, responsable du Centre Russie à l'IFRI. La construction, décidée en 2007, dans un contexte complètement différent, d'une cathédrale orthodoxe à Paris qui devait être un couronnement du soft power [diplomatie d'influence, ndlr] russe, du rayonnement du 'monde russe' au-delà des frontières. De l'autre, la crise diplomatique actuelle marquée par un pic du hard power russe, avec les bombardements d'Alep." 

Logo
diplomatie_francaise.jpg

Les ambitions de Vladimir Poutine (et son influence) vont bien au-delà de la Syrie

11 octobre 2016
Accroche

Finalement, il ne viendra pas. Alors que François Hollande déclarait il y a quelques jours se "poser la question" de recevoir Vladimir Poutine mercredi prochain, en raison des "crimes de guerre" commis par le régime de Bachar al-Assad à Alep avec le soutien de l'aviation russe, l'homme fort du Kremlin a mis fin au suspense.

Ce mardi 11 octobre, Vladimir Poutine a décidé d'annuler sa visite du 19 octobre, programmée de longue date dans le cadre de l'inauguration à Paris du "Centre spirituel et culturel orthodoxe russe". L'Elysée lui avait proposé une "réunion de travail" sur la Syrie avec François Hollande, qui devait lui dire des "vérités", mais sans l'accompagner à cette inauguration.

Un désaccord qui illustre le dialogue de sourds actuel entre la Russie et la France, et plus largement avec les Occidentaux, trois jours après que Moscou a opposé son veto à une résolution française sur un cessez-le-feu à Alep au Conseil de sécurité de l'Onu. Et confirme que même isolé, Vladimir Poutine donne toujours le tempo.

Logo
Deutsche_welle.png

Juncker, l'optimiste

14 septembre 2016
Accroche

Sécurité, investissement, aide à l'Afrique: des annonces ont été faites par le président de la Commission européenne. Pour Hans Stark : Jean-Claude Juncker ne pratique pas la langue de bois et " plutôt que d'aller trop loin dans l'autoflagellation, Juncker a voulu donner de l'espoir aux Européens".

Logo
capture_franceculture.jpg

A l’occasion du G-20, le ressac de l’économie chinoise est-il durable ?

02 septembre 2016
Accroche

Premier exportateur mondial, deuxième PNB mondial, la Chine accuse depuis quelque temps une croissance moindre. Comment interpréter cette évolution ?

Logo
logo_reuters.png

"La Françafrique est "derrière nous", dit Ayrault sur le Gabon"

02 septembre 2016
Accroche

La France est partenaire des pays africains mais n'a pas vocation à s'intégrer dans leurs affaires internes, à déclaré vendredi Jean-Marc Ayrault sur fond de crise électorale au Gabon, ancien pilier de la "Françafrique". 

Lire l'article

Soutenez une recherche française indépendante

L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

Conférence Ramses 2024
Crédits image de la page
Les rangées de drapeaux des États membres des Nations Unies devant l'Office des Nations Unies à Genève
© Bascar/Shutterstock