Organisations internationales et multilatéralisme
La rhétorique sur la crise du multilatéralisme est fréquente. Les organisations internationales (ONU, OMC, etc.) n'en demeurent pas moins importantes, tandis que d'autres forums (G20, BRICS, etc.) s'affirment.
Sujets liés

Un monde sans boussole ?
Comme chaque mois de septembre, l'ifri sort son ouvrage collectif RAMSES. On y retrouve cette année une cinquantaine de contributeurs autour de trois dossiers sur les enjeux mondiaux pour 2020 et notamment "Les mers dangeureuses", "L'Amérique latine en fusion" et "Le multilatéralisme a-t-il un avenir ?".
China’s Ambiguous Positions on Climate and Coal
Les données sur la consommation d’énergie de la Chine pour 2018 reflètent l’ambiguïté de l’attitude de Beijing à l’égard du changement climatique.
« Les États-Unis et la Chine ont tous deux des postures impériales! »
L’Ifri (Institut français des relations internationales) fête cette année ses 40 ans. Deuxième think tank au monde, son influence ne cesse de s’étaler à toutes les échelles. Rencontre avec Thierry de Montbrial, son fondateur et président, qui analyse pour Forbes les grands enjeux planétaires.

Il était une fois le multilatéralisme
Apparue au XVIIIe siècle, cette idée ne se concrétise qu’après la première guerre mondiale. Ce vieux rêve, remis en cause notamment par l’arrivée de Donald Trump aux Etats-Unis, est pourtant plus nécessaire que jamais.

Quels sont les principaux enjeux géopolitiques actuels ? Vidéo pour l'Institut Veolia
Quels sont les principaux enjeux géopolitiques actuels ? Quel est rôle pour l'Union européenne sur la scène internationale ? Comment le contexte géopolitique actuel impacte t-il les entreprises multinationales ?
RAMSES 2020. Un monde sans boussole ?
Pour sa 37e édition, trois questions majeures sont abordées dans le RAMSES 2020. Les mers dangereuses : commerce, câbles, transits énergétiques, mouvements militaires, dangers écologiques... : de l'Asie au Moyen-Orient, les mers sont les nouveaux espaces de manoeuvre et d'affrontement de tous les acteurs de la planète globalisée. L'Amérique latine en fusion : quel avenir pour une Amérique latine malmenée entre expériences "de gauche" et populisme "de droite", bouleversée par les flux migratoires, ravagée par les trafics de drogue et confrontée à un voisin imprévisible ? Le multilatéralisme a-t-il un avenir ? Commerce international, désarmement, sanctions, environnement... : comment sauver un multilatéralisme contesté de toutes parts par les affirmations de puissances ?
RAMSES 2020 : Perspectives de Thierry de Montbrial. Vidéo
Thierry de Montbrial, fondateur et président de l'Ifri, livre ses Perspectives, dans le cadre de la publication de RAMSES 2020.
Dossier RAMSES 2020 : Le multilatéralisme a-t-il un avenir ?
Contesté par les États-Unis de Trump, par le retour d'anciennes puissances (Russie) et l'affirmation croissante de nouvelles (Chine), miné par l'action d'acteurs régionaux de moins en moins contrôlables, sous quelles formes le multilatéralisme peut-il renaître, et quels domaines doit-il privilégier : commerce, gestion des crises, environnement, désarmement ?
Economie, commerce, affaires internationales: le G7 est-il encore utile ?
Le sommet du G7, qui s'est déroulé à Biarritz, sera clôturé ce lundi. L'heure est alors au bilan. Cette année, le format s'est amélioré notamment avec l'invitation des pays africains. D'ailleurs, pour la France, ce sommet a un enjeu majeur pour la création de convergence et de coalition en cas de turbulence du système international. Peut-on dire que le sommet a été une réussite ? Quid des enjeux climatiques et du dossier iranien ?

Commerce international - Raviver l'intérêt pour une approche multilatérale fondée sur des règles
Le commerce international est un des thèmes qui constitue la véritable raison d’être du G7, à côté des questions de sécurité internationale et de politique énergétique.
Syrie : rebondissements diplomatiques
Comment les déclarations du G20, des pays européens et la proposition russe éloignent-elles la possible intervention militaire?
Syrie: les raisons de l'obstination de Poutine
A la veille du vote du Congrès américain sur une intervention militaire contre la Syrie, la Russie a encore une fois martelé son soutien au régime de Bachar el-Assad en marge de la réunion du G20 qui se clôturait vendredi 6 septembre à Saint-Pétersbourg. Vladimir Poutine a réitéré son rejet d’une offensive sans un mandat de l’Onu, faisant état, en parallèle, d'une «opinion» selon laquelle les vidéos d'enfants tués lors des bombardements chimiques seraient une «compilation réalisée par des bandits liés à al-Qaida» —un pied de nez à l’argument et aux preuves présentées par les Etats-Unis et la France pour justifier leur recours à la force en Syrie.
Syrie/G20: Y aura t-il une victoire diplomatique pour le président Poutine ?
Après une poignée de mains diplomatique entre le président Poutine et le président Obama, à l’arrivée de ce dernier à Saint-Pétersbourg hier, le G20 s’est ouvert dans un climat russo-américain plombé par le dossier syrien.
Syrie, Snowden, homophobie... à quoi joue Vladimir Poutine avant le G20?
À Saint-Pétersbourg, l'ambiance sera tendue pour la photo de famille du G20 qui s'ouvre ce jeudi 5 septembre. Les sorties du président russe ont effectivement le don d'irriter les autres pays, et en particulier les États-Unis, compte-tenu du lourd passif entre les deux nations. A tel point que Barack Obama a "sévi" début août: il a annulé sa rencontre avec Poutine, initialement prévue en marge du sommet. Du jamais vu depuis plusieurs dizaines d'années.
A quoi joue Poutine ?
A quoi joue Poutine?
Avec: La journaliste Russe Ioulia Kapoustina; Thomas Gomart, directeur du centre Russie à l'Ifri (Institut français des relations internationales); Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde"; et Ksenia Bolchakova, correspondante d’Europe 1 en Russe.
La diplomatie russe à l'épreuve des tensions actuelles
Table ronde d'actualité internationale, en partenariat avec Libération: la diplomatie russe à l'épreuve des tensions actuelles. Nous allons parler ce matin de la diplomatie russe à l’épreuve ces derniers mois. D’abord sur le dossier syrien, mais aussi, plus récemment, avec l’affaire Snowden qui continue d’empoisonner les relations russo-américaines.
La diplomatie numérique
Les diplomates s'invitent sur les réseaux sociaux deux ans après le scandale WikiLeaks qui avait fait hurler les chancelleries. Qu'est-ce que cela change aux relations entre Etats? Peut-on parler de diplomatie numérique? Que reste-il des secrets d'Etats? On posera toutes ces questions à Thomas Gomart de l'Ifri.
De la diplomatie numérique
Depuis les « printemps arabes », la diplomatie numérique (digital diplomacy) est à la mode. De quoi s’agit-il au juste ? De la continuation de la diplomatie traditionnelle par d’autres moyens et/ou d’une rupture fondamentale dans le rapport séculaire entre États et sociétés ? En 2002, le Département d’État créait une taskforce sur l’eDiplomacy. Dix ans plus tard, la diplomatie numérique américaine est conduite par cent cinquante personnes à Washington, relayées par neuf cents personnes dans les missions à l’étranger, faisant ainsi des États-Unis le leader mondial de la diplomatie numérique. À l’échelle des réseaux diplomatiques traditionnels, cette capacité leur assure une avance durable. À l’échelle d’Internet, elle est, en revanche, limitée au regard des forces non étatiques en présence.
Russia's diplomacy is more active than it was ten years ago
Since December 2011 there is a real convergence between the perception of President Vladimir Putin and the perception of Russia, especially, in the Western media.
That leads to several comments. The first is the feeling that there is now a new, much more concentrated power in the Kremlin, and that to some extent leads to the question about the very difficult challenge for Russia to build balanced institutions. And there is the perception that, on this particular point, Russia has not made progress. And this is the main area of concern as seen from outside.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.
