Économie
L'économie est un attribut essentiel de la puissance et une composante majeure des relations internationales. Alors que les tensions géopolitiques augmentent, les interdépendances économiques restent fortes.
Sujets liés

Les migrations entre le Mexique et les États-Unis : "más de lo mismo" ou fuite en avant ?

Alors que Trump s’apprête à renforcer les contrôles à la frontière avec le Mexique et expulser massivement les immigrés illégaux, le Mexique s’interroge sur les conséquences économiques de cette politique migratoire, et s’attend à devoir négocier cette question en lien avec les tarifs douaniers engagés par l’administration Trump.
Classement des think tanks : la France sort de l'ombre
Article de Jean-Michel Gradt paru dans Les Échos.
"La France, pays colbertiste, est allergique aux think tanks". Avec la mondialisation, la révolution 2.0 et la fin de la guerre froide, cette assertion -sans doute valable hier- est en passe de se périmer rapidement. C'est du moins ce qui ressort du dernier "Global Go-To Think Tanks Index 2015" que publie l'université de Pennsylvanie...
Le partenariat transpacifique (TPP): un accord avant tout géopolitique
Au moment de la signature du traité transpacitique (TPP), John Seaman (Centre Asie, Ifri) et Thomas Porcher (Paris School of Business) reviennent sur l'aspect géopolitique de cet accord et les relations tendues entre les Etats-Unis et la Chine.
Le partenariat trans-pacifique, plus qu'un accord de libre-échange
Pour John Seaman, chercheur au Centre Asie de l'Ifri, le partenariat transpacifique (TPP) vise à restructurer l’environnement régional de la Chine.

Ce que le TTP va changer dans le commerce mondial
Le TTP (accord de libre-échange transpacifique) vise à libéraliser le commerce et les investissements entre douze Etats du Pacifique : les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, le Pérou, le Chili, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, la Malaisie, Singapour, le Brunei, le Viêt Nam et le Japon. Douze Etats, qui regroupent 800 millions de personnes et représentent 40% de l'économie mondiale. Seule la Chine ne fait pas partie de l'accord.

Le Nigeria contraint à la diversification
«We try to save every month». L'épargne au coeur du positionnement de l'entre-deux des «ni riches ni pauvres» en Afrique du Sud
En Afrique du Sud postapartheid, où consommer est à la fois un acte de citoyenneté pour les populations noires autrefois opprimées et une façon d’affirmer son identité, l’épargne semble occuper les marges des pratiques sociales. Pourtant, chez la petite classe moyenne noire émergente des milieux urbains, elle a une place stratégique dans l’économie du ménage et, parce qu’elle est le signe d’une capacité de projection vers le futur, elle est même au coeur de l’identité du « milieu ».

La situation économique de la Chine
Depuis son entrée dans l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001, la Chine est devenue la deuxième économie mondiale. Pourtant, sa croissance décélère depuis des mois et a atteint son rythme le plus faible depuis 25 ans. Alors quel est l'impact de la situation économique en Chine sur l'économie mondiale et sur les relations internationales ?

La Chine est-elle une économie de marché ?
La Chine, une économie de marché ? La question peut paraître saugrenue. La Chine est la deuxième économie mondiale par la taille, sa part du marché mondial est en croissance régulière, preuve de sa compétitivité. Du coup, on a qualifié de « capitalisme rouge » le régime créé par Deng Xiao Ping, quelle preuve supplémentaire faudrait-il pour la qualifier « d’économie de marché » ?
Le programme économique des Républicains, quelles idées pour 2016 ?
Les candidats républicains aux présidentielles de novembre prochain ont du mal à se démarquer les uns des autres sur les questions économiques. En effet, ils respectent tous les mêmes fondamentaux conservateurs en la matière : la réduction à tout prix du rôle de l’Etat au nom du libéralisme ; la réduction des impôts des plus riches en vertu de la théorie du ruissellement, déjà mise en œuvre à l’époque de Reagan.

Avantages et inconvénients de la baisse du prix du pétrole
C’est une courbe qui décline, par à-coups, depuis 2008. De 146 dollars le baril cette année-là – ce fut un pic –, le baril du pétrole a progressivement reculé, de 125 dollars en 2010-2011, à 112 dollars en juin 2014. Il est tombé à 55 dollars six mois plus tard, pour atteindre vendredi 34,7 dollars le baril à New York. Les pays producteurs pleurent, tandis que leurs clients, les consommateurs, se frottent les mains.
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