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"Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants"

11 janvier 2017
Accroche

La Russie serait en possession d’éléments compromettants, financiers et personnels, sur Donald Trump. On ne sait pas encore si ces documents sont authentifiés mais est-ce, selon vous, plausible ?

Il est tout à fait logique de supposer que la Russie prépare des dossiers compromettants sur différentes personnalités, en faisant l’arbitrage par la suite entre les dossiers qu’elle utilisera et ceux dont elle ne fera rien. Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants, on les appelle les “kompromat”. Comme on dit en Russie, tout le monde détient des “kompromat” contre tout le monde.

À quelles fins Vladimir Poutine pourrait-il avoir besoin d’un dossier sur Donald Trump ?

En l’état actuel des choses, il n’en a pas besoin. L’élection de Trump est vue comme une bonne chose pour la Russie. Les “kompromat”, dans la pratique russe, ne sont pas préparés pour utilisation immédiate. Ils sont mis dans un placard jusqu’au jour où l’on en aura besoin. Leur utilisation peut être aussi inattendue et anecdotique. Vladimir Poutine aurait fait venir un chien dans la pièce où il rencontrait Angela Merkel pour lui faire peur, sachant pertinemment qu’elle craignait ces animaux : cela figurait dans ses dossiers secrets.

En quoi l’élection de Donald Trump sert-elle les Russes, selon eux ?

Hillary Clinton est assez prévisible, pour Moscou. Elle et Vladimir Poutine se connaissent, on sait très bien quel est l’état de leurs relations : elles ont été émaillées d’incidents, dont un assez misogyne. Les deux dirigeants ne se vouent pas un amour immodéré. Face à cela, l’incertitude autour de Donald Trump, qui a eu des déclarations flatteuses vis-à-vis de Vladimir Poutine, a été interprétée en sa faveur. La Russie souhaitait sa victoire et, en même temps, donnait l’impression de ne pas y croire. Les propagandistes avaient préparé les discours, dans lesquels ils faisaient valoir que l’establishment américain avait tout fait pour voler l’élection de Donald Trump. Or, il a été élu, ce qui a constitué une surprise. Paradoxalement, la victoire de ce candidat, qui n’est pas issu de l’establishment, qui défend les classes moyennes contre l’élite corrompue, correspond au discours des opposants au régime de Vladimir Poutine. Sera-t-il un bon exemple ou jouera-t-il contre lui ? Il y a aujourd’hui beaucoup d’incertitudes. Les premiers pas compteront beaucoup, après des débuts extrêmement houleux, avec les scandales liés aux cyberattaques ou aux dossiers compromettants. Beaucoup va dépendre de la première rencontre entre les deux hommes.

La Russie en attend une baisse de l’activisme américain sur la scène internationale, qui lui donnerait plus de marge de manœuvre. En même temps, elle espère montrer au monde entier ce que vaut la démocratie américaine et qu’il ne faut pas l’exporter. L’objectif à atteindre est double.

Comment a-t-on accueilli, à Moscou, la nomination à la tête de la diplomatie de Rex Tillerson (qui a été décoré de l’ordre de l’Amitié par Vladimir Poutine en 2012), puis celle au renseignement national de Dan Coats (qui est interdit de séjour en Russie depuis 2014) ?

L’équipe de Trump n’a rien de cohérent, elle compte des gens de bords presque opposés par rapport à la Russie. On verra aussi quelle sera la réaction du parti républicain qui n’est pas du tout prorusse ; Trump n’est pas indépendant du parti. Sa politique ne s’inscrira pas dans les extrêmes, ni dans un sens ni dans l’autre, selon moi. Comment l’équilibre se fera-t-il ? On ne sait pas encore. Les réactions face à ces nominations sont en tout cas plus que retenues. Les Russes ne veulent pas du tout alimenter la thèse selon laquelle ils se sont ingérés dans les élections américaines. Si cela a été fait, cela a été fait, pas la peine de pousser plus loin. Le mieux est de se tenir à l’écart. Ils risqueraient de mettre en danger Donald Trump s’ils faisaient des déclarations spectaculaires qui pourraient porter atteinte à sa légitimité.

Quelles sont les attentes plus spécifiques de la Russie vis-à-vis des Etats-Unis dans les dossiers internationaux ?

Sur le dossier ukrainien, les Russes s’attendent à ce que Donald Trump mette la pression sur Kiev pour qu’il respecte les accords de Minsk. Sur la Syrie, ils escomptent une coopération plus renforcée dans la lutte contre Daech. Donald Trump a aussi fait des déclarations qui ne peuvent que plaire aux Russes sur la remise en question de l’utilité de l’Otan, qui est une de leurs bêtes noires. Même si le nouveau président ne démantèlera pas l’Alliance, la solidarité transatlantique, avec les nouveaux membres qui ont une histoire liée viscéralement à la peur de la Russie – je parle de la Pologne et des Etats baltes – en sortira affaiblie. Et cela ne peut qu’aller dans le sens des intérêts russes. Moscou nourrit également des attentes liées à l’abandon du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP), entre l’Europe et les Etats-Unis, qui laisse la Russie à la marge de la nouvelle répartition du monde.

À quelles confrontations pourrait-on s’attendre ?

Les deux précédentes administrations, de George W. Bush et de Barack Obama, ont tenté de faire un “reset” avec la Russie, mais on en revenait quand même à la confrontation. Je n’exclus pas qu’après des débuts prometteurs, on retombe dans une confrontation entre les deux pays au milieu ou à la fin du premier mandat. En tout cas, si Donald Trump fait ce qu’il a dit, la Russie devra redéfinir sa politique étrangère, qui a été beaucoup basée sur l’opposition aux Etats-Unis, sur la présentation d’un pôle alternatif au monde sous domination américaine. Au Moyen-Orient, l’Iran est allié de la Russie. Or, Trump a dit vouloir revoir l’accord sur le nucléaire. Quel positionnement pour Vladimir Poutine si son homologue va jusqu’au bout ? Donald Trump a l’air aussi plus obsédé par la Chine que par la Russie. Quelle place, dès lors, la Russie pourrait-elle trouver entre ces deux grands, elle qui ne représente qu’un peu plus de 2 % de la richesse mondiale ? Le roi ne sera-t-il pas finalement nu, ramené à sa juste valeur par une confrontation qui se dessine et qui le laissera à la marge ? La Russie ne sera-t-elle pas poussée à choisir son camp ? Lequel ? Cela risque d’être un moment de flottement pour elle.

Vladimir Poutine, qui a souffert d’un manque de considération de la part des Etats-Unis, met tout en œuvre pour réaffirmer sa grandeur. Donald Trump a promis de rendre l’Amérique “great again”. Y a-t-il de la place pour ces deux ambitions ?

La compréhension de la grandeur est très différente de part et d’autre. Pour les Russes, il s’agit de s’imposer sur les dossiers internationaux, tandis que, pour Trump, il est plutôt question d’isolationnisme et de rendre le pays grand en interne, en mettant l’accent sur la production, sur la fin des délocalisations, sur les moyens de rendre leur fierté aux classes moyennes. Cela ne correspond pas du tout à la compréhension russe de la grandeur. Il y a donc de la place pour les deux ego, en quelque sorte. Les deux “exceptionnalismes”, russe et américain, pourront coexister si l’Amérique se concentre plus sur elle-même. Mais si les Etats-Unis voient que la Russie commence à grappiller du terrain sur tous les dossiers et que, à un moment et à un autre, cela va à l’encontre de leurs intérêts, ils réagiront.

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Axe Paris-Moscou : vers un volte-face diplomatique français ?

26 décembre 2016
Accroche

2017 sera-t-elle l’année d’un nouvel axe Paris-Moscou ?

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“En presque six ans de guerre en Syrie, la Russie a toujours soufflé le chaud et le froid”

21 décembre 2016
Accroche

Après six veto, Moscou a voté lundi 19 décembre la résolution du Conseil de sécurité permettant l’envoi d’observateurs à Alep. Les “surprises” font partie de la stratégie russe, explique Julien Nocetti, chercheur au Centre Russie/NEI de l'Ifri.

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« Les Russes vont aider à la reprise en main de la Turquie  »

20 décembre 2016
Accroche

L'assassinat de l'ambassadeur de Russie en Turquie, Andreï Karlov, lundi 19 décembre 2016, n'a pas provoqué de crise diplomatique entre Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine. Au contraire, les deux chefs d'Etat prônent une collaboration encore plus étroite contre le terrorisme.

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Comment la cyberguerre froide a parasité la campagne

18 décembre 2016
Accroche

Des groupes de hackeurs russes sont visés par la CIA pour avoir pesé sur le processus électoral. A un mois de son départ, Barack Obama met la pression sur le Kremlin.

Jusqu’au bout, la pesante atmosphère de «cyberguerre froide» aura imprimé son tempo à la séquence électorale américaine. Vendredi soir - à un peu plus d’un mois de l’entrée en fonction de Donald Trump et à quelques jours du vote des grands électeurs -, Barack Obama a encore durci le ton lors de sa conférence de presse de fin d’année. S’il n’est pas allé jusqu’à accuser directement le président russe d’avoir ordonné les cyberattaques qui ont émaillé la campagne, c’est tout comme : selon lui, les «plus hauts niveaux» de l’exécutif sont impliqués, et «pas grand-chose ne se passe en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine»… Quelques heures avant, Hillary Clinton avait pris moins de gants, reprochant au maître du Kremlin d’avoir «une dent» contre elle et d’avoir commandité les piratages pour «saper» la démocratie américaine.

Pendant des mois, les «fuites» touchant principalement le camp démocrate ont en effet donné à la campagne, déjà particulièrement violente, une toile de fond digne d’un roman d’espionnage.

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Russie / États-Unis : les débuts d'une cyberguerre froide ?

13 décembre 2016
Accroche

Aujourd’hui la dissuasion n’est plus nucléaire mais informatique. Au point qu’aux États-Unis la CIA accuse Moscou d'avoir pesé dans la victoire de Donald Trump. Le sujet est à la une aux États-Unis : les agences de renseignement américaines disent avoir la certitude d’une ingérence de la Russie dans l’élection présidentielle qui a vu la victoire de Donald Trump.

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Le complexe de domination de Poutine

09 décembre 2016
Accroche

A juste titre, on ne cesse de souligner le retour de la Russie sur la scène internationale.

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« L’élection de Trump est une heureuse surprise mais représente aussi une incertitude » aux yeux de Poutine

15 novembre 2016
Accroche
Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des relations internationales, décrypte les jeux de pouvoir qui lient le président élu des Etats-Unis au président russe.
 
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Modernisation de l'économie russe : les quatre causes d'un échec

24 octobre 2016
Accroche

Des conditions de privatisation empêchant l'arrivée de nouveaux acteurs, une vision rétrograde, des entreprises publiques peu efficaces, et peu de soutien aux technologies de pointe : voilà les quatre causes majeures du retard de l'économie russe. Par Vladislav Inozemtsev, docteur ès sciences économiques, directeur du Centre de recherches des sociétés postindustrielles (Moscou).

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Forces et faiblesses du "système Poutine"

20 octobre 2016
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Depuis un an et demi, la Russie est entrée dans une récession. Pourtant, lors des élections de septembre la majorité gouvernementale a été réélue sans surprise. Mais la Russie n’est peut-être pas aussi forte qu’il n’y parait. Avec une chute de 3.7% du PIB en 2015 et des sanctions économiques qui pèsent, l’économie russe est en crise. Comment le parti Russie Unie parvient-il à garder le pouvoir malgré les difficultés économiques que traverse le pays ?

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"Le débat russe, un terrain glissant"

24 octobre 2014
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Interview. Tatiana Kastoueva-Jean, chercheuse à l’Ifri, pointe la «polarisation» des positions en France.

Pourquoi Poutine séduit-il autant en France ?

- Il passe pour un leader fort, capable de tenir tête aux Etats-Unis pour défendre ce qu’il estime être les intérêts nationaux. Ce type de leader trouvera toujours des adeptes en Europe. Par ailleurs, l’histoire pèse lourd dans la relation franco-russe, jouant un rôle trompeur. Des deux côtés, on cite Catherine la Grande, l’escadron de chasse Normandie-Niemen, Charles de Gaulle… Côté russe, surtout, on pioche dans l’histoire comme dans une boîte à outils pour faire croire que les deux pays ont toujours été du même côté, en omettant de mentionner la guerre de Crimée ou la guerre de 1812 sous Napoléon. On s’accroche à ces grands noms et périodes glorieuses pour ne pas parler des choses qui fâchent dans l’actualité. Ce qui est frappant, en France, c’est la très forte polarisation du débat sur la Russie. D’entrée, les gens sont classés en prorusses et antirusses, ou pro-Poutine et anti-Poutine. L’idéologie définit les discours : quand on voit la liste d’intervenants à un forum franco-russe, on a un avant-goût de ce qui sera dit. Cela appauvrit terriblement le débat intellectuel.

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Poutine et ses rêves de Nouvelle Russie

01 septembre 2014
Accroche

Pas un discours sans que le tsar du Kremlin, Vladimir Poutine, n'exalte la « Novorossia », Nouvelle Russie dans la langue de Tolstoï. D'où vient cette expression qui a fait son apparition dans les discours du président russe lorsqu'il a annexé la Crimée au nez et à la barbe d'autorités ukrainiennes impuissantes? II l'utilise pour la première fois en avril lors d'une allocution télévisée pour désigner les régions d'Ukraine susceptibles de revenir a la Russie.

"Poutine essaye de créer une nouvelle carte du monde où l'Occident n'est plus qu'un petit point"

18 juillet 2014
Accroche

Nous avons sollicité, hier, en début d’après-midi, Tatiana Kastouéva-Jean, spécialiste du monde russe à l’Ifri, pour nous éclairer sur les derniers développements autour de la Russie (nouvelles sanctions mais aussi création par les BRICS -Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud- d’une banque de développement). Depuis, le crash de la compagnie aérienne Malaysian Airlines à la frontière russo-ukrainienne a encore fait monter les tensions d’un cran.

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"Avec Poutine, tout peut arriver"

04 mai 2014
Accroche

En Ukraine, la guerre civile est-elle inévitable ?
- Il y a tous les éléments pour une guerre civile... mais aussi pour un conflit entre Etats. Car on devine bien sur le terrain la présence de forces internationales.

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L'influence que la crise ukrainienne pourrait avoir sur le conflit en Syrie

29 avril 2014
Accroche

Le rattachement de la Crimée à la Russie, les sanctions, les mouvements de troupes aux frontières, les sécessionnistes de l'est... Une nouvelle «guerre froide» oppose la Russie aux Occidentaux en Ukraine. Quel rôle peut-elle avoir dans d'autres foyers «chauds», et notamment la Syrie, où le conflit –dans lequel la Russie et les Etats-Unis ont un rôle majeur– est entré dans sa quatrième année?

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Ukraine : pourquoi Poutine se sent invincible

29 avril 2014
Accroche

Pour espérer freiner l'avancée des milices pro-russes, qui se sont emparées lundi d'une nouvelle ville (Kostiantynivka) dans l'est de l'Ukraine, l'Occident a décidé de déployer une nouvelle batterie de sanctions contre la Russie. Lundi, l'Union européenne a ajouté quinze noms de responsables russes et ukrainiens pro-russes à sa liste des personnalités visées par des gels d'avoirs et interdictions de visa pour l'UE tandis que les États-Unis ont sanctionné sept nouveaux responsables russes et dix-sept sociétés, tous jugés proches de Vladimir Poutine.

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Mais comment faire plier Poutine ?

28 avril 2014
Accroche

Rien ne semble en mesure d'arrêter Vladimir Poutine Les intentions du président russe en Ukraine sont loin d'être claires. La situation à l'est du pays, dont certaines villes souhaitent ardemment être rattachées au grand frère russe, ajoute au chaos. Les nouvelles autorités de Kiev, pro-européennes, l'accusent carrément de fomenter ces troubles dans l'Est et redoutent, comme nombre de pays de l'Ouest, que Poutine annexe ce pays comme il l'a fait en deux temps trois mouvements en Crimée.

 

Poutine réinvente-t-il la guerre froide ?

22 mars 2014
Accroche

Les USA et l'UE "sanctionnent" la Russie et renforcent leurs liens avec l'Ukraine. Poutine réinvente t'il la guerre froide ?

Ecouter l'émission

Russie : qui arrêtera Vladimir Poutine ?

21 mars 2014
Accroche

En Crimée, la russification n'a pas perdu de temps. Le drapeau de la Fédération flotte au-dessus du Parlement. Dans les porte-monnaie, la hryvnia ukrainienne cédera bientôt sa place au rouble. Et quoi de mieux que la construction d'un pont entre la Crimée et le territoire russe pour symboliser le traité de rattachement de la presqu'île ? Et pourtant, à Kiev, l'annexion russe ne passe toujours pas.

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"La crisi ucraïnesa beneficia Putin"

17 mars 2014
Accroche

Rússia denuncia que dins del nou govern ucraïnès hi ha militants filonazis. Efectivament, hi ha forces nacionalistes extremistes, que representen un cert perill i que a la Unió Europea serien condemnades.

 

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