Europe
L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.
Sujets liés
L'industrie solaire photovoltaïque européenne : ultime déclin ou espoir de renaissance ?
Alors que les installations solaires photovoltaïques sont en plein essor en Europe (et dans d'autres parties du monde), les industries locales mettent la clé sous la porte. Au cours des deux dernières années, la capacité solaire photovoltaïque installée en Europe a été multipliée par deux. De l’autre côté, les derniers fabricants européens de panneaux solaires photovoltaïques sont en train de disparaître.
Crise en Ukraine : l’Allemagne, la France et la Pologne ressuscitent le triangle de Weimar
Réactivant un format créé en 1991, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a invité les présidents français et polonais, Emmanuel Macron et Andrzej Duda, à Berlin, mardi 8 février, pour faire preuve de la solidarité européenne face à la Russie.
Espace Schengen : "La plupart des réformes annoncées par Macron sont déjà en cours"
Alors qu'Emmanuel Macron a dévoilé un arsenal de mesures, le spécialiste Matthieu Tardis insiste sur le fait que la pandémie a mis à mal l'espace de libre circulation.
UE-Chine : La fin de l'innocence
L’Union européenne (UE) a entamé une lente reconfiguration de ses relations avec la Chine ces dernières années, mais 2020 a constitué un accélérateur sans précédent dans la perte de naïveté européenne à l’égard de Pékin.
Sur l’immigration, Emmanuel Macron veut tirer profit de la présidence française de l’Union européenne
Le chef de l’Etat doit s’adresser ce mercredi aux ministres de l’intérieur de l’UE réunis à Tourcoing à l’occasion d’un conseil informel.
En Allemagne le « feu tricolore » passe au vert et s’apprête à prendre la succession d’Angela Merkel
Une coalition inédite qui vient de trouver un accord permettant au social-démocrate Olaf Scholz de devenir chancelier dans les prochains jours.
Une nouvelle coalition va prendre le pouvoir en Allemagne
Sociaux-démocrates, écologistes et Libéraux ont présenté hier leur accord de gouvernement. C'est le social-democrate Olaf Scholz qui dirigera cette allaince inédite baptisée "feu tricolore" en référence aux couleurs des partis qui la composent.
En Allemagne, la nouvelle coalition met l'écologie au coeur des priorités
Parmi les annonces faites hier, il y a la sortie du charbon dès 2030 et la création d'un ministère qui va regrouper économie et climat.
L'Europe dans la géopolitique de la 5G : une ligne de crête technologique ?
La survenue de vives tensions sino-américaines à partir de 2018 s’est doublée de controverses autour de la 5G. Celles-ci se sont concentrées sur l’équipementier chinois Huawei et les risques sécuritaires associés à son recours. Pour l’Europe, les enjeux de la 5G sur le plan international dessinent un paysage d’une grande complexité.
Crise en Ukraine, sanctions envisagées contre la Russie : Thierry de Montbrial livre son analyse
Invité dans le 23 heures de Franceinfo mardi 25 janvier, Thierry de Montbrial, président de l’Institut français des relations internationales (IFRI), détaille la stratégie de la Russie dans la crise qui a lieu en Ukraine.
La souveraineté au cœur de la vision pour l’Europe d’Emmanuel Macron
S’il ne s’est toujours pas officiellement déclaré candidat à sa réélection, le président sortant ne cache pas son « envie » de briguer un deuxième mandat – et de poursuivre sa vision de la « refondation » d’une Europe plus souveraine.
Quelles suites donner à l'Accord de partenariat et de coopération UE-Russie ?
L’après Poutine est-il possible ?
Compte-rendu réalisé par Pierre Bouygues, stagiaire, Ifri Bruxelles.
Bientôt 10 ans de PESD : Quel bilan et quel avenir ?
Compte-rendu du onzième séminaire du programme 'Quelle présidence française pour quelle Europe ?'Lire le compte rendu (Pdf)
Intégration européenne, désintégration des Etats ?
Compte-rendu réalisé par Séverine Neervoort, stagiaire, Ifri Bruxelles
La présidence française et la politique à l'Est de l'Union européenne
Compte-rendu réalisé par Louis Denisty, stagiaire, Ifri Bruxelles
L'Agence Europe - un observateur permanent de la construction européenne depuis ses origines
Compte-rendu réalisé par Louis Denisty, stagiaire, Ifri Bruxelles.
Organisation d'un espace énergétique européen : le rôle du couple franco-allemand
Juncker, l'optimiste
Sécurité, investissement, aide à l'Afrique: des annonces ont été faites par le président de la Commission européenne. Pour Hans Stark : Jean-Claude Juncker ne pratique pas la langue de bois et " plutôt que d'aller trop loin dans l'autoflagellation, Juncker a voulu donner de l'espoir aux Européens".
Discours sur l'état de l'union: "une tonalité assez grave"
Pour réagir au discours sur l‘état de l’Union de Jean-Claude Juncker, Euronews a interrogé Vivien Pertusot, responsable du bureau de Bruxelles de l’Ifri.
Face au chaos du monde, reprendre le chemin de la raison
"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"
Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.
Au-delà du cas Boris Johnson
Comment « amadouer » des partenaires que l'on a insultés pendant des mois et dont on recherche désormais la compréhension et la bonne volonté ? Tel est le défi auquel se trouvent confrontés le nouveau ministre des Affaires étrangères britannique Boris Johnson et son collègue David Davis, ministre directement en charge du Brexit.
Brexit : plus d'Allemagne en Europe
« Quand je veux parler à l'Euro-pe, qui dois-je appeler ? » se demandait l'ancien secrétaire d'État des États-Unis Henry Kissinger. « La question est désormais résolue, répondait après le référendum britannique, Nicholas Burns, un ancien diplomate américain de haut rang. Il faut appeler la Chancellerie d'Allemagne. ». Les conséquences du Brexit sont à terme plus importantes sans doute sur un plan géopolitique que strictement économique. Pour aller à l'essentiel, depuis le 23 juin 2016, il y a bien sûr moins de Grande-Bretagne en Europe, et probablement moins d'Europe dans le monde.
"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"
Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.
L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.
Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.
Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.
On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui.
Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous.
Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?
« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».
Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».
Mapping EU-China relations from the bottom up
La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe
« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.
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