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L'option libre-échangiste de l'Union européenne en Asie : dogme ou nécessité ?
La crise économique et financière internationale a fait émerger un certain nombre de critiques sur le fonctionnement du système économique libéral, en particulier le phénomène de dérégulation. L'ensemble des pays du monde sont aujourd'hui touchés à des degrés divers; et les pays émergents ou ré-émergents d'Asie ne sont pas épargnés, notamment en raison d'économies fondées en partie sur les exportations. La plupart des pays développés et émergents, notamment dans le cadre du G20, ont affiché une volonté de régulation plus grande des marchés financiers internationaux. Néanmoins, les négociations d'accords de libre-échange (ALE) de l'UE avec un certain nombre de pays tiers, dont l'Inde, la Corée du Sud et l'ASEAN en Asie, semblent suivre leur feuille de route comme si rien ne s'était produit. On ne peut que constater le peu de publicité qui entoure les négociations. Avec le maintien de M. Barroso à la tête de la Commission européenne qui se confirme et une majorité de pays et de députés conservateurs au sein de l'Union, se profile a priori une continuité dans la politique externe menée. Dans ce cadre, la question de la pertinence de l'option libre-échangiste de l'Union européenne en Asie dans le contexte de la crise économique internationale mérite d'être soulevée.
The Global Environment Facility: Managing the Transition
L'une des toutes premières structures de la gouvernance internationale de l'environnement, le Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM) est le seul outil ayant pour fonction première la protection de l'environnement mondial.
Najib Tun Razak : et si c'était lui, le Premier ministre malaysien de transition ?
L'Iran et le monde extérieur après les présidentielles : continuité et ouvertures
" Transformation " et contre-insurrection : Implications capacitaires pour les forces terrestres occidentales
Les élections présidentielles en Iran : quels enjeux ?
Dire que la campagne n'a pas été à la hauteur des problèmes du pays est un euphémisme. Des questions essentielles comme les conditions de validation des candidatures aux élections, le respect des droits de l'homme ou tout simplement les programmes concrets de gouvernement, n'ont pas été discutées. Une fois de plus, les grands principes éthiques et les grands mots ont tenu le haut du pavé. De ce point de vue, le scrutin du 12 juin promet d'être un non-événement.