Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
Pour lire l'article dans sa totalité, consulter le site d'Energie Plus
Gaz : de nouvelles opportunités pour l'UE
Alors que sa production gazière domestique s'essouffle, l'UE est toujours plus dépendante des importations, particulièrement russes. La Commission souhaite diversifier son approvisionnement. L'Europe dispose d'alternatives comme le GNL ou la construction de gazoducs vers de nouveaux gisements. Le 2 juin, l'AFG a fait le point sur ces possibilités.
Pour lire l'article dans sa totalité, consulter le site d'Energie Plus
Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pour
attirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).
Vers une nouvelle cartographie du gaz
Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pourattirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».
Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).
Le pétrole n'est pas près de s'éteindre
Si le XIXe siècle fut celui du charbon, le XXe a érigé le pétrole en ressource stratégique suprême. Mais la lutte contre le réchauffement climatique pourrait remettre en question son hégémonie. Premier volet de notre nouvelle série sur les énergies.
Risques politiques et géopolitiques : La gouvernance du gaz en Israël
Enerpresse reprend la Note de l'Ifri diffusée en décembre 2015 et rédigée par Maïté de Boncourt.
Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse)
Les principales voies d'exportation du gaz israélien sont régionales
Depuis la découverte du champ gazier Leviathan, Israël ambitionne de devenir un nouvel acteur gazier, malgré de fortes pressions internes qui privilégient la sécurité énergétique du pays. Avec un marché mondial du GNL devenu excédentaire, Israël aura bien du mal à diversifier ses options d'exportation. Les principales voies d'exportation du gaz israélien seront sans doute régionales. Toutefois, les risques géopolitiques de la région subsistent. "La diplomatie gazière sera certainement une variable clé en 2016 dans la géopolitique régionale".
Lire l'intégralité de l'article sur www.enerpresse.com (réservé aux abonnés du BIP)
La gouvernance du gaz en Israël
reprise de la deuxième partie de la Note sur la gouvernance du gaz en Israël de Maïté de Boncourt, publiée par l'ifri en décembre 2015
L’Europe se divise cette fois sur le gaz russe
Une nouvelle pierre d’achoppement, une de plus, vient s’ajouter à l’édifice de la discorde qui déchire l’Europe de toutes parts. Et celle-là, personne ne l’a vraiment vue venir. Outre la crise de l’asile et la perspective d’un "Brexit", le Conseil européen de ce 17 et 18 décembre a dû se saisir de la stratégie énergétique de l’Union. Au cœur de la controverse : le Nord Stream II, un gazoduc qui permettrait d’augmenter les livraisons de gaz russe vers l’UE.
L'Alaska déçoit, Shell arrête ses forages pétroliers
Comment expliquer la décision de Shell de mettre un terme à sa campagne d'exploration pétrolière et gazière au large de l'Alaska? Reportage dans l'émission Inter soir de France Inter.
L’Europe se divise cette fois sur le gaz russe
Une nouvelle pierre d’achoppement, une de plus, vient s’ajouter à l’édifice de la discorde qui déchire l’Europe de toutes parts. Et celle-là, personne ne l’a vraiment vue venir. Outre la crise de l’asile et la perspective d’un "Brexit", le Conseil européen de ce 17 et 18 décembre a dû se saisir de la stratégie énergétique de l’Union. Au cœur de la controverse : le Nord Stream II, un gazoduc qui permettrait d’augmenter les livraisons de gaz russe vers l’UE.
L'Alaska déçoit, Shell arrête ses forages pétroliers
Comment expliquer la décision de Shell de mettre un terme à sa campagne d'exploration pétrolière et gazière au large de l'Alaska? Reportage dans l'émission Inter soir de France Inter.
Nous ne sommes qu’au début de l’histoire pétrolière et gazière de l’Afrique de l’Est
Longtemps l’industrie du pétrole et du gaz a délaissé l’Afrique de l’Est au profit de l’Ouest du continent. Mais ces dernières années, des découvertes très prometteuses ont été réalisées dans cette zone qui bénéficie, en outre, d’un réel avantage : une situation géographique privilégiée par rapport au marché le plus porteur actuellement, l’Asie. Benjamin Augé, chercheur à l’IFRI, spécialiste de l’Afrique et des questions énergétiques, s’est penché sur ce cas.
L'entretien réalisé par Gabrielle Desanges pour le Bulletin de l'Industrie pétrolière(BIP) est disponible ci-dessous.
Despite Rising Tensions, Europe to Remain Russia's Main Gas Customer, Tatiana Mitrova, Head of Oil and Gas Department at Energy Research Insitute in Moscow in Views
Tatiana Mitrova, Head of the Oil & Gas Department at the Energy Research Institute in Moscow, joins Hughes Belin to analyse the consequences of troubled EU-Russia relations for energy trade.
Allô Bruxelles dans RFI
L’Union européenne veut diversifier ses ressources énergétiques et ses routes d’approvisionnement. Quelques jours après l’annonce par la Russie de la fin du projet de gazoduc South Stream, les 28 souhaitent développer ou relancer de nouvelles voies comme le Corridor sud. Il s’agit pour les Européens d’acheminer du gaz d’Azerbaïdjan, en passant par le Turquie, vers la Grèce et l’Italie. Une solution qui permettrait à l’Union de réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie. South Stream devait permettre de transporter 63 milliards de mètres cubes de gaz russe vers l’Europe, sans passer par l’Ukraine. Mais les tensions entre l’Union et Moscou ont mis fin au projet. Or, certains Etats membres dépendent fortement de l’approvisionnement en provenance de Russie.
" On ne pourra pas remplacer le gaz russe si facilement "
L'Europe pourrait-elle se passer du gaz russe ? Y a-t-il des pistes de diversification pour l'Europe ? Le gaz américain pourrait-il constituer une option ?
Propos recueillis par Elisabeth Salles
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.