Rechercher sur Ifri.org

À propos de l'Ifri

Recherches fréquentes

Suggestions

Donald Trump

 

Une troisième inculpation de l’ex-président Trump vient d’être prononcée mardi 1er août. Portant sur ses tentatives de renverser le résultat des élections de novembre 2020 et sa responsabilité dans les événements qui ont conduit à l’assaut contre le Capitole du 20 janvier 2021, elle s’inscrit dans les très nombreuses enquêtes, aussi bien civiles que pénales, politiques et privées, fédérales et locales, auxquelles D. Trump est confronté.

Ce développement intervient alors que Donald Trump part favori pour remporter l’investiture républicaine pour les élections présidentielles de 2024. 

Tout voir
Presse
Logo
lemonde.jpg

Donald Trump ou la diplomatie du chaos

03 novembre 2017
Accroche

Isolationniste, nationaliste, réaliste malgré lui et impulsif, le président des Etats-Unis secoue l'ordre mondial depuis son élection, il y a un an. Alors que son équipe est minée par les dissensions et les incohérences, ses Tweet intempestifs accetuent les effets de son imprévisibilité. 

Logo
radioclassique-329994.jpg

Donald Trump fustige le système d’immigration aux Etats-Unis

02 novembre 2017
Accroche

Donald Trump pointe du doigt le système d'immigration américain et réclame la peine de mort pour le terroriste Ouzbek installé aux Etats-Unis depuis 2010. Qu'a-t-on appris dans les jours suivant l'attentat meurtrier de New York le soir d'Halloween ? Que sait-on sur son processus de radicalisation ? Comment fonctionne et d'où vient le système de loterie pour l'immigration aux Etats-Unis ? Dans quelle mesure Donald Trump instrumentalise l'évènement ? 

Logo
radioclassique-329994.jpg

Que sait-on de l'attentat de Manhattan ?

01 novembre 2017
Accroche

L'attentat de New-York constitue un double symbole par le lieu et le moment de son exécution. Que peut-on dire sur le mode opératoire du terroriste ? Que sait-on de son profil et de ses motivations ? Comment réagit Donal Trump dans le contexte de l'affaire russe, et que peut-on interpréter ? 

 

Logo
France Culture

Attaque à New-York: le suspect a agi au nom de l'Etat islamique

01 novembre 2017
Accroche

Quelques heures après l'attentat de New York, la police new-yorkaise a confirmé que le suspect aurait agi au nom de l'Etat islamique. Le terroriste Ouzbek qui a tué 8 personnes et en a blessé 12 autres est arrivé légalement aux Etats-Unis en 2010. Cet évènement a immédiatement suscité la fureur de Donald Trump qui s'est empressé de faire part de son indignation sur Twitter. L'attentat intervient alors que le président est empêtré dans l'affaire russe, sous la menace du procureur Robert Mueller. 

Logo
le_monde_en_face.png
Image principale médiatique

Envers et contre Trump

01 novembre 2017
Accroche

Depuis qu’il est au pouvoir, Donald Trump s’emploie à mettre en place son programme controversé le plus rapidement et le plus violemment possible. Dans un pays, plus divisé que jamais, une grande partie de la population est entrée en résistance et s’oppose à ce président. Un an après son élection, et quelques jours après l’attentat terroriste de New York, Karim Rissouli reçoit un panel de spécialistes pour débattre des enjeux actuels avec au premier plan l’affaire russe et l'enquête du procureur Robert Mueller. 

 

Image principale

Trump, un an après. Un monde à l'état de nature ?

Date de publication
02 novembre 2017
Accroche

Dans la semaine qui avait suivi l’élection de Donald Trump, l’Ifri avait publié une étude destinée à identifier les probables changements de la politique étrangère des États-Unis. D’emblée, cette élection avait été présentée comme une bifurcation dans leur trajectoire avec des conséquences sur les rapports de puissance et sur le fonctionnement du système international.

Image principale médiatique

Quelles perspectives pour l'arsenal nucléaire américain ?

18 octobre 2017
Accroche

Entretien avec Jon WOLFSTHAL, chercheur associé au Carnergie Endowment for International Peace

Logo
franceinfo.jpg

Nucléaire iranien: le combat solitaire de Donald Trump

16 octobre 2017
Accroche

Laurence Nardon, de l'Institut français des relations internationales (Ifri) est revenu sur la menace du président américain de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. Hormis le soutien de l'Arabie saoudite et d'Israël, les Etats-Unis sont seuls dans ce combat, selon elle.

Logo
logo-reforme-journal.jpg
Image principale médiatique

Les Américains et les armes à feu: entre tradition et lobbying

12 octobre 2017
Accroche

Dix jours après la fusillade meurtrière de Las Vegas, Laurence Nardon revient sur l'histoire du contrôle des armes à feu aux Etats-Unis.

Logo
La Croix

Energie, l'administration Trump persiste et signe

11 octobre 2017
Accroche

En décidant d'abroger le "Clean Power Plan", (plan d'énergie propre), une mesure phare de la présidence Obama, Washington entend relancer le charbon, dont la production est en baisse. 

Image principale médiatique

"Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants"

11 janvier 2017
Accroche

La Russie serait en possession d’éléments compromettants, financiers et personnels, sur Donald Trump. On ne sait pas encore si ces documents sont authentifiés mais est-ce, selon vous, plausible ?

Il est tout à fait logique de supposer que la Russie prépare des dossiers compromettants sur différentes personnalités, en faisant l’arbitrage par la suite entre les dossiers qu’elle utilisera et ceux dont elle ne fera rien. Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants, on les appelle les “kompromat”. Comme on dit en Russie, tout le monde détient des “kompromat” contre tout le monde.

À quelles fins Vladimir Poutine pourrait-il avoir besoin d’un dossier sur Donald Trump ?

En l’état actuel des choses, il n’en a pas besoin. L’élection de Trump est vue comme une bonne chose pour la Russie. Les “kompromat”, dans la pratique russe, ne sont pas préparés pour utilisation immédiate. Ils sont mis dans un placard jusqu’au jour où l’on en aura besoin. Leur utilisation peut être aussi inattendue et anecdotique. Vladimir Poutine aurait fait venir un chien dans la pièce où il rencontrait Angela Merkel pour lui faire peur, sachant pertinemment qu’elle craignait ces animaux : cela figurait dans ses dossiers secrets.

En quoi l’élection de Donald Trump sert-elle les Russes, selon eux ?

Hillary Clinton est assez prévisible, pour Moscou. Elle et Vladimir Poutine se connaissent, on sait très bien quel est l’état de leurs relations : elles ont été émaillées d’incidents, dont un assez misogyne. Les deux dirigeants ne se vouent pas un amour immodéré. Face à cela, l’incertitude autour de Donald Trump, qui a eu des déclarations flatteuses vis-à-vis de Vladimir Poutine, a été interprétée en sa faveur. La Russie souhaitait sa victoire et, en même temps, donnait l’impression de ne pas y croire. Les propagandistes avaient préparé les discours, dans lesquels ils faisaient valoir que l’establishment américain avait tout fait pour voler l’élection de Donald Trump. Or, il a été élu, ce qui a constitué une surprise. Paradoxalement, la victoire de ce candidat, qui n’est pas issu de l’establishment, qui défend les classes moyennes contre l’élite corrompue, correspond au discours des opposants au régime de Vladimir Poutine. Sera-t-il un bon exemple ou jouera-t-il contre lui ? Il y a aujourd’hui beaucoup d’incertitudes. Les premiers pas compteront beaucoup, après des débuts extrêmement houleux, avec les scandales liés aux cyberattaques ou aux dossiers compromettants. Beaucoup va dépendre de la première rencontre entre les deux hommes.

La Russie en attend une baisse de l’activisme américain sur la scène internationale, qui lui donnerait plus de marge de manœuvre. En même temps, elle espère montrer au monde entier ce que vaut la démocratie américaine et qu’il ne faut pas l’exporter. L’objectif à atteindre est double.

Comment a-t-on accueilli, à Moscou, la nomination à la tête de la diplomatie de Rex Tillerson (qui a été décoré de l’ordre de l’Amitié par Vladimir Poutine en 2012), puis celle au renseignement national de Dan Coats (qui est interdit de séjour en Russie depuis 2014) ?

L’équipe de Trump n’a rien de cohérent, elle compte des gens de bords presque opposés par rapport à la Russie. On verra aussi quelle sera la réaction du parti républicain qui n’est pas du tout prorusse ; Trump n’est pas indépendant du parti. Sa politique ne s’inscrira pas dans les extrêmes, ni dans un sens ni dans l’autre, selon moi. Comment l’équilibre se fera-t-il ? On ne sait pas encore. Les réactions face à ces nominations sont en tout cas plus que retenues. Les Russes ne veulent pas du tout alimenter la thèse selon laquelle ils se sont ingérés dans les élections américaines. Si cela a été fait, cela a été fait, pas la peine de pousser plus loin. Le mieux est de se tenir à l’écart. Ils risqueraient de mettre en danger Donald Trump s’ils faisaient des déclarations spectaculaires qui pourraient porter atteinte à sa légitimité.

Quelles sont les attentes plus spécifiques de la Russie vis-à-vis des Etats-Unis dans les dossiers internationaux ?

Sur le dossier ukrainien, les Russes s’attendent à ce que Donald Trump mette la pression sur Kiev pour qu’il respecte les accords de Minsk. Sur la Syrie, ils escomptent une coopération plus renforcée dans la lutte contre Daech. Donald Trump a aussi fait des déclarations qui ne peuvent que plaire aux Russes sur la remise en question de l’utilité de l’Otan, qui est une de leurs bêtes noires. Même si le nouveau président ne démantèlera pas l’Alliance, la solidarité transatlantique, avec les nouveaux membres qui ont une histoire liée viscéralement à la peur de la Russie – je parle de la Pologne et des Etats baltes – en sortira affaiblie. Et cela ne peut qu’aller dans le sens des intérêts russes. Moscou nourrit également des attentes liées à l’abandon du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP), entre l’Europe et les Etats-Unis, qui laisse la Russie à la marge de la nouvelle répartition du monde.

À quelles confrontations pourrait-on s’attendre ?

Les deux précédentes administrations, de George W. Bush et de Barack Obama, ont tenté de faire un “reset” avec la Russie, mais on en revenait quand même à la confrontation. Je n’exclus pas qu’après des débuts prometteurs, on retombe dans une confrontation entre les deux pays au milieu ou à la fin du premier mandat. En tout cas, si Donald Trump fait ce qu’il a dit, la Russie devra redéfinir sa politique étrangère, qui a été beaucoup basée sur l’opposition aux Etats-Unis, sur la présentation d’un pôle alternatif au monde sous domination américaine. Au Moyen-Orient, l’Iran est allié de la Russie. Or, Trump a dit vouloir revoir l’accord sur le nucléaire. Quel positionnement pour Vladimir Poutine si son homologue va jusqu’au bout ? Donald Trump a l’air aussi plus obsédé par la Chine que par la Russie. Quelle place, dès lors, la Russie pourrait-elle trouver entre ces deux grands, elle qui ne représente qu’un peu plus de 2 % de la richesse mondiale ? Le roi ne sera-t-il pas finalement nu, ramené à sa juste valeur par une confrontation qui se dessine et qui le laissera à la marge ? La Russie ne sera-t-elle pas poussée à choisir son camp ? Lequel ? Cela risque d’être un moment de flottement pour elle.

Vladimir Poutine, qui a souffert d’un manque de considération de la part des Etats-Unis, met tout en œuvre pour réaffirmer sa grandeur. Donald Trump a promis de rendre l’Amérique “great again”. Y a-t-il de la place pour ces deux ambitions ?

La compréhension de la grandeur est très différente de part et d’autre. Pour les Russes, il s’agit de s’imposer sur les dossiers internationaux, tandis que, pour Trump, il est plutôt question d’isolationnisme et de rendre le pays grand en interne, en mettant l’accent sur la production, sur la fin des délocalisations, sur les moyens de rendre leur fierté aux classes moyennes. Cela ne correspond pas du tout à la compréhension russe de la grandeur. Il y a donc de la place pour les deux ego, en quelque sorte. Les deux “exceptionnalismes”, russe et américain, pourront coexister si l’Amérique se concentre plus sur elle-même. Mais si les Etats-Unis voient que la Russie commence à grappiller du terrain sur tous les dossiers et que, à un moment et à un autre, cela va à l’encontre de leurs intérêts, ils réagiront.

Logo
logo_france_culture.jpeg
Image principale médiatique

Trump: les hommes du président

15 décembre 2016
Accroche

La surprise de l'élection de Donald Trump en cache une autre : la composition de sa future administration. A en juger par les personnalités choisies, le gouvernement Trump ressemblera à son président : masculin, blanc, sexagénaire, riche, sans expérience politique, proche de la finance et de l’industrie américaine et perclus de conflits d’intérêts avec des Etats étrangers.

Logo
France Inter
Image principale médiatique

"L'administration Obama a une responsabilité terrible dans ce qu'il se passe en Syrie"

14 décembre 2016
Accroche

Alors que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Samantha Power, a tiré la sonnette d'alarme au Conseil de sécurité mardi soir quant à la situation humanitaire à Alep, des questions fondamentales se posent sur l'avenir de la crise syrienne et du Moyen-Orient au moment où Donald Trump pose les bases de sa future administration. Le tropisme russe du président-élu changera-t-il la donne en Syrie ?

Logo
logos_france24_rvb_2013.svg_.png
Image principale médiatique

États-Unis, Chine : Trump voit double, Pékin voit rouge

12 décembre 2016
Accroche

Le président américain élu est sur le point de provoquer une véritable crise diplomatique avec Pékin. Donald Trump a en effet remis en cause l'unicité de la Chine en laissant entendre qu'il pourrait reconnaître Taiwan... S'agit-il d'un tournant diplomatique dans les relations entre les deux pays ?

Logo
rfi_logo.png

"Juridiquement, rien n'empêche les grands électeurs de ne pas voter pour Trump"

07 décembre 2016
Accroche

L'onde de choc provoquée par l'élection de Donald Trump semble gagner en puissance, au point de soulever des questions fondamentales de droit constitutionnel et de science politique. En effet, à moins de deux semaines du vote du collège électoral, plusieurs grands électeurs républicains ont annoncé leur défection et leur refus, à contre-courant de la pratique politique traditionnelle, de voter pour le président-élu. Si cela ne suffira probablement pas à faire invalider l'élection du milliardaire, ce nouveau rebondissement pourrait ébranler durablement le statu quo de la politique en Amérique.

Logo
NEW_logo_lexpress.png

Avec la Chine, Donald Trump a opté pour l'imprévisibilité

05 décembre 2016
Accroche

En un coup de téléphone et quelques tweets, Donald Trump a confirmé qu'il comptait se lancer dans un bras de fer avec la Chine, qu'il accuse depuis longtemps de profiter des Etats-Unis.

Logo
logo_rcf.jpg
Image principale médiatique

Obama, et après ?

29 novembre 2016
Accroche

L'heure du bilan a sonné pour Barak Obama. Son bilan est-il à la hauteur de son charisme ?

Logo
La Croix

Les Etats-Unis et l'Europe face à la montagne chinoise

28 novembre 2016
Accroche

Comment contrer le dumping chinois ? De façon musclée, comme l’a promis Donald Trump ? Ou en finesse, comme le propose la Commission européenne ?

Logo
lesechos-182139.png

Pourquoi l’élection de Trump est une chance pour la Chine

28 novembre 2016
Accroche

Erigée en épouvantail durant la campagne américaine, menacée d’une guerre commerciale sans merci, la Chine pourrait avoir tout à craindre de l’élection de Donald Trump. Elle lui offre, en réalité, une opportunité historique d’étendre son influence.

Logo
les_echos_logo.svg_.png
Image principale médiatique

« Donald Trump est un "wake-up call" pour l'Europe »

18 novembre 2016
Accroche

Thierry de Montbrial ouvre dimanche 20 novembre la World Policy Conference, qui se tient pour trois jours à Doha. Elle rassemble 250 experts des relations internationales qui se retrouvent chaque année dans une ville différente.

 

Soutenez une recherche française indépendante

L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

Conférence Ramses 2024