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Europe : Back to the Future

Date de publication
05 septembre 2016
Accroche

Le Brexit est le symptôme d'une crise du projet européen. Les peuples européens ne se reconnaissent pas dans la bureaucratie bruxelloise et tendent à se replier sur leur pré carré national.

Repenser l'Europe

Date de publication
05 septembre 2016
Accroche

L'Europe est aujourd'hui menacée par trois « ismes » : le djihadisme, le poutinisme et le populisme. Face à l'ampleur de la crise, les dirigeants des pays membres de l'Union européenne font pâle figure et ont beau jeu de blâmer Bruxelles.

RAMSES 2017. Un Monde de ruptures

Date de publication
07 septembre 2016
Accroche

La 35e édition du RAMSES 2017, portée par l'équipe de l'Ifri et ses collaborateurs extérieurs, se place sous le triple signe de l'extension du terrorisme djihadiste, des dynamiques de décomposition du Moyen-Orient et du doute qui s'approfondit sur le projet européen. Les mois qui s'annoncent seront décisifs pour un monde où se redessinent les rapports entre puissances et les logiques économiques, un monde dont la diversité et la complexité nouvelle surprennent, et qui appelle à repenser analyses et moyens d'action.

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Face au chaos du monde, reprendre le chemin de la raison

30 août 2016
Accroche
Conflit syrien, burkini, Daech, populismes : face au chaos du monde, nous sommes confrontés à une perte de repères d'une intensité inquiétante. Face à la surmédiatisation de certains événements, il nous faut réapprendre à hiérarchiser les défis qui nous sont lancés afin de mieux les affronter. Tragédie syrienne, Turquie, Russie, Daech, débat sur la laïcité, réfugiés, brexit, Donald Trump et le populisme aux Etats-Unis - Dominique Moïsi, conseiller spécial à l'Ifri, revient sur les grands événements qui ont marqué l'été 2016.

 

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"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"

23 août 2016
Accroche

Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.

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Brexit : plus d'Allemagne en Europe

11 juillet 2016
Accroche

« Quand je veux parler à l'Euro-pe, qui dois-je appeler ? » se demandait l'ancien secrétaire d'État des États-Unis Henry Kissinger. « La question est désormais résolue, répondait après le référendum britannique, Nicholas Burns, un ancien diplomate américain de haut rang. Il faut appeler la Chancellerie d'Allemagne. ». Les conséquences du Brexit sont à terme plus importantes sans doute sur un plan géopolitique que strictement économique. Pour aller à l'essentiel, depuis le 23 juin 2016, il y a bien sûr moins de Grande-Bretagne en Europe, et probablement moins d'Europe dans le monde.

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"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
Accroche

Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

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Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?

06 juillet 2016
Accroche

« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».

Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».

Lire l'intégralité de l'article sur lacroix.fr

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Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
Accroche

"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
Accroche

“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

Lire l'article.

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