Ukraine: faut-il craindre une attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet, chercheur à l'IFRI spécialisée en dissuasion nucléaire essaie d'évaluer le risque d'attaque nucléaire de la Russie.
Kherson annexée : c'est quoi la suite ?
Avec: Anne-Sophie Warmont, envoyée spéciale de BFMTV à Kiev (Ukraine). Masha Kalina, conseillère en art ukrainienne. Le colonel Michel Goya, consultant défense pour BFMTV. Christian Makarian, éditorialiste au journal Le Point, spécialiste de politique internationale. Héloïse Fayet, chercheuse au centre des études de sécurité de l'Ifri, spécialiste du nucléaire. Et Sylvie Bermann, consultante diplomatie pour BFMTV, ancienne ambassadrice de France en Russie.
Guerre en Ukraine : des ingénieurs guident les frappes russes
Le média indépendant russe The Insider, le site Bellingcat et l’hebdomadaire allemand Der Spiegel ont enquêté pour savoir qui se cache derrière les frappes de missiles russes qui s’abattent sur des infrastructures civiles en Ukraine. Et ils ont réussi à identifier très précisément une cellule secrète d’une trentaine de personnes.
Macron excluant une riposte nucléaire en Ukraine : «C'est une chose de le penser, c'en est une autre de le dire à la télévision»
Pour Héloïse Fayet, chercheuse à l'Ifri, la sortie d'Emmanuel Macron sur la riposte française en cas d'attaque nucléaire russe en Ukraine est «hasardeuse» mais ne marque pas pour autant un changement de doctrine.
Face aux menaces russes, quelle peut être la réponse nucléaire américaine?
Stock d'armes, doctrine, «Nuclear Posture Review»... Le point sur la stratégie de Washington. En réponse aux difficultés que ses troupes rencontrent en Ukraine (et au-delà des tirs de missiles sur des cibles civiles observés depuis lundi), le président Poutine a plusieurs fois brandi la menace nucléaire.
« L’usage d’armes nucléaires aurait des conséquences effroyables pour tous »
Si la probabilité d’un recours à l’arme nucléaire par Poutine est faible, le risque existe, estime Jean-Louis Lozier, conseiller de l’Institut français des relations internationales. Face à la « sanctuarisation agressive » en Ukraine, l’Europe doit réapprendre le langage de la puissance. Jean-Louis Lozier est conseiller du Centre des études de sécurité à l’Institut français des relations internationales (Ifri). Officier de marine durant 39 ans, promu général en 2012, il a été chef de la division Forces nucléaires de l’état-major des armées (2012-2014), puis vice-amiral d’escadre et commandant de la zone maritime Atlantique (2018-2020).
Sommes-nous entrés dans un nouvel âge de la menace nucléaire ?
Ce soir, Un jour dans le monde accueille Jean-Louis Lozier, conseiller du Centre des études de sécurité de l'Ifri. Cet ancien chef de la division « forces nucléaires » de l’état-major des armées, constate “un changement d’ère nucléaire” depuis quelques années, confirmé par le début de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier.
Que ferait l'OTAN en cas d'attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet répond à une question portant sur les possibilités d'un recours à l'arme nucléaire par la Russie.
La guerre en Ukraine ravive les débats sur la dissuasion nucléaire
La menace sans cesse agitée par Vladimir Poutine d’employer l’arme nucléaire, notamment des armes « tactiques », inquiète, même si beaucoup d’experts continuent de relativiser ce risque.
Menace nucléaire : Vladimir Poutine au stade de l’escalade
Le président russe a de nouveau agité le spectre de l’arme atomique avec des menaces situées «un cran au-dessus» lors son allocution télévisée de mercredi matin, selon des spécialistes de la dissuasion.
Face aux menaces russes, quelle peut être la réponse nucléaire américaine?
Stock d'armes, doctrine, «Nuclear Posture Review»... Le point sur la stratégie de Washington. En réponse aux difficultés que ses troupes rencontrent en Ukraine (et au-delà des tirs de missiles sur des cibles civiles observés depuis lundi), le président Poutine a plusieurs fois brandi la menace nucléaire.
« L’usage d’armes nucléaires aurait des conséquences effroyables pour tous »
Si la probabilité d’un recours à l’arme nucléaire par Poutine est faible, le risque existe, estime Jean-Louis Lozier, conseiller de l’Institut français des relations internationales. Face à la « sanctuarisation agressive » en Ukraine, l’Europe doit réapprendre le langage de la puissance. Jean-Louis Lozier est conseiller du Centre des études de sécurité à l’Institut français des relations internationales (Ifri). Officier de marine durant 39 ans, promu général en 2012, il a été chef de la division Forces nucléaires de l’état-major des armées (2012-2014), puis vice-amiral d’escadre et commandant de la zone maritime Atlantique (2018-2020).
Sommes-nous entrés dans un nouvel âge de la menace nucléaire ?
Ce soir, Un jour dans le monde accueille Jean-Louis Lozier, conseiller du Centre des études de sécurité de l'Ifri. Cet ancien chef de la division « forces nucléaires » de l’état-major des armées, constate “un changement d’ère nucléaire” depuis quelques années, confirmé par le début de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier.
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La guerre en Ukraine ravive les débats sur la dissuasion nucléaire
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Menace nucléaire : Vladimir Poutine au stade de l’escalade
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Nucléaire : la Russie met en danger l’architecture de non-prolifération et de maîtrise des armements
Alors que Moscou a rejeté vendredi le document final rédigé lors de la 10e conférence de réexamen du Traité de non-prolifération, l’invasion de l’Ukraine fragilise les efforts pour le désarmement nucléaire international.
La menace nucléaire « permet de faire parler de la Russie et de faire peur aux Européens »
Une nouvelle fois depuis le début de la guerre en Ukraine, la Russie agite le chiffon nucléaire. Samedi, lors d'une réunion au cours de laquelle il recevait le chef d’État bélarusse Alexandre Loukachenko, Vladimir Poutine a annoncé que son pays allait livrer « dans les prochains mois » à la Biélorussie des missiles capables de transporter des charges nucléaires.
Et si Poutine appuyait sur le bouton ?
Le risque que le Kremlin, voulant sauver la face au risque de devenir paria, lance une bombe nucléaire tactique sur l'Ukraine est faible mais non nul. Ce qui ferait basculer l'humanité dans une ère incontrôlable. La riposte occidentale requerrait beaucoup de sang-froid.
Guerre en Ukraine : comment la Russie joue avec le feu nucléaire
Alors que les Occidentaux accentuent leur soutien militaire à Kiev, le président russe Vladimir Poutine menace de faire usage de ses nouveaux missiles hypersoniques. Il rend ainsi un peu plus concrète la menace d'une guerre nucléaire en Europe.
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