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Navalny Poisoning Raises Pressure on Merkel to Cancel Russian Pipeline

03 septembre 2020
Accroche

Evidence that the Russian opposition leader was attacked with a military-grade nerve agent has placed new pressures on the German chancellor.

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L'affaire Navalny, un coup dur pour le dialogue franco-russe

04 septembre 2020
Accroche

Paris (AFP) - Le président français Emmanuel Macron, qui avait pris ses partenaires de court en initiant un rapprochement avec Moscou, voit ses calculs contrariés par l'empoisonnement de l'opposant russe Alexeï Navalny.

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Tatiana Kastouéva-Jean dans l'émission C dans l'air_ 09 2020

Poutine, l'opposant et le poison

05 septembre 2020
Accroche

Après l’invasion de la Crimée en 2014 et son appui au séparatisme pro-russe en Ukraine, la Russie est à nouveau dans le viseur des Occidentaux.

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France Culture
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Navalny, Biélorussie : la méthode Poutine

05 septembre 2020
Accroche

En Russie, la longue liste des opposants empoisonnés s'est allongée avec le cas, emblématique, d'Alexeï Navalny la semaine dernière.

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Sur la scène politique russe, Navalny est incontournable

03 septembre 2020
Accroche

L'Allemagne a confirmé, hier, que l'opposant de Vladimir Poutine a bien été empoisonné. Qui est-il ? L'éclairage de Maxime Audinet.

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La justice et la force

Date de publication
01 septembre 2020
Accroche

En prenant un peu de distance vis-à-vis de l’activité des dernières semaines, une phrase célèbre de Goethe (dans sa relation du siège de Mayence, en 1793) m’est revenue en mémoire : « Je suis ainsi fait, j’aime mieux commettre une injustice que de souffrir un désordre. » Autrement dit : le désordre engendre davantage d’injustices que celles qu’il fait éventuellement disparaître. Or, s’il y a un mot qui caractérise le monde en cette fin d’été 2020, c’est bien le désordre.

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RAMSES 2021. Le grand basculement ?

Date de publication
01 septembre 2020
Accroche

Pour sa 38e édition, trois questions majeures sont abordées dans le RAMSES 2021. Santé/Climat : COVID-19, et maintenant ? : Le virus est emblématique de la mondialisation : nul ne contrôle ni ne maîtrise sa circulation. Qui gouverne ? Il n'y a pas de gouvernance spécifique du "transversal", des questions mondialisées : santé, environnement, techniques informationnelles... Europe : se refaire ou se défaire : Comme toujours, le bilan européen est en demi-teinte : pâle et décisif, inévitable. Se refaire ou se défaire, se penser comme projet politique ou vivoter comme simple filet de sécurité : voilà l’option qui est devant la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Monde arabe : 10 ans après le faux printemps : La décennie post-printemps et la crise du coronavirus vont dans le même sens : renforcement du contrôle sur les sociétés, aggravation du poids des régimes autoritaires, situation économique catastrophique, division profonde de sociétés en révolte.

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En Libye : ce grand jeu qui n'en finit plus

06 juillet 2020
Accroche

Plus d'un an après l'offensive du maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l'Est, le destin de la Libye apparaît plus que jamais semblable à celui de la Syrie. Négociations internationales ratées, interventions de puissances concurrentes et emploi de miliciens étrangers. Le spectre d'une crise humanitaire d'ampleur se profile, sur fond de crimes de guerre. 

Poutine jusqu'en 2036 vraiment?

10 juillet 2020
Accroche

Vladimir Poutine vient de remporter un référendum constitutionnel ouvrant la voie à son maintien au pouvoir jusqu’en 2036. Sans aucune surprise, le « oui » l’a emporté à 77,9% avec un taux de participation de 67%.

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Russie : Vladimir Poutine président à vie ?

02 juillet 2020
Accroche

Les Russes ont validé à 74,1%, le 1er juillet, la réforme de la Constitution qui permet à Vladimir Poutine de se maintenir au pouvoir jusqu’en 2036.

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"Poutine pourrait passer d'une guerre cagoulée à une guerre ouverte"

25 août 2014
Accroche

Comment expliquez vous les difficultés de l'Ukraine à reprendre le contrôle des zones détenues par les séparatistes ?
Il y a deux dynamiques contradictoires à l'oeuvre qui épaississent le brouillard de la guerre. D'un côté, vous avez une volonté affichée par Kiev de reprendre la partie orientale du pays au prix d'une mobilisation de ses forces conventionnelles en essayant de limiter les pertes civiles. Ce qui explique que cette reconquête se fasse avec une certaine lenteur. De l'autre, la résistance des séparatistes qui se traduit par des accrochages de plus en plus violents et une dégradation rapide de la situation humanitaire.

La Russie face au monde

11 août 2014
Accroche

La Russie face au monde : sous les sanctions et les menaces, quelles visions stratégiques sont-elles à l'oeuvre  ?
Avec :  Céline Bayou, chargée de cours à l'INALCO; Thomas Gomart, directeur du développement stratégique à l'IFRI; Arnaud Dubien, directeur de l'observatoire franco-russe à Moscou.

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"La Russie conçoit sa politique en termes de rapport de force"

29 juillet 2014
Accroche

Les sanctions ciblées décidées jusqu’ici par les Etats-Unis et l’UE à l’encontre de la Russie ont-elles eu des effets ?

- Oui et non. Oui au regard de la fuite des capitaux, estimée pour le premier semestre 2014 à plus de 75 milliards de dollars [56 milliards d’euros, ndlr], soit plus du double par rapport à la même période 2013. Cela traduit une incontestable fébrilité des milieux économiques russes. Non, au regard du discours politique qui se durcit, comme si le Kremlin se préparait à une crise de longue durée avec l’Occident.

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Pourquoi les sanctions américaines contre la Russie sont-elles plus dures que celles de l'Europe?

18 juillet 2014
Accroche

Lorsqu'il s'agit de la Russie, les intérêts américains et européens ne sont pas alignés. La Russie reste le principal fournisseur de l'Union européenne pour son pétrole, son gaz et son charbon. Par conséquent, le niveau d'interdépendance entre la Russie et l'UE est très supérieur à l'interaction existant entre les États-Unis et la Russie.

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Analyse de la crise Ukrainienne

11 juillet 2014
Accroche

Quelles sont les causes de la situation en Ukraine aujourd’hui ? Quels événements ont conduit à la crise que l’on connait aujourd’hui ?

- Afin de comprendre la situation actuelle, il faut remonter en 1991. C’est à cette date que le pays proclame son indépendance. Depuis lors, l’Ukraine a été gouvernée par son oligarchie, tout en entretenant des relations ambivalentes avec la Russie. En 2004, à la suite de la « révolution orange », le couple Viktor Ioutchenko – Ioulia Tymochenko accède au pouvoir contre Viktor Ianoukovytch. Ce dernier sera élu plus tard en 2010. Le pays a connu une évolution chaotique au cours de laquelle le pouvoir central a toujours peiné à imposer son autorité par rapport aux grandes régions.

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Ukraine. Le coût d'une victoire

10 juillet 2014
Accroche

Avec la prise de Slaviansk, la crise du Donbass est-elle finie ? Depuis le 5 juillet, le drapeau ukrainien flotte à nouveau sur ce bastion séparatiste de l’est du pays. Or c’est ici, dans cette ville de 110 000 habitants, que la rébellion contre Kiev avait commencé, il y a trois mois. Tout un symbole. La veille, c’est Kramatorsk, autre fief rebelle, qui rebasculait côté pro-ukrainien. Depuis la fin du cessez-le-feu, décrétée fin juin, l’armée régulière marque des points, malgré ses hommes mal armés, sous-équipés, mal entraînés. La crise ukrainienne n’est pas pour autant terminée.

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Le vent mauvais des Mistral

02 juillet 2014
Accroche

Dans les prochains mois, Paris devrait livrer à Moscou deux navires de guerre qui permettraient à la marine russe de retrouver de sa puissance. Ce contrat signé en 2011, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, est devenu un casse-tête diplomatique à l'heure où le Kremlin multiplie les gestes belliqueux, en Ukraine et ailleurs.

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Le monde vu de Moscou

29 mai 2014
Accroche

La situation actuelle doit être analysée en fonction d’une culture stratégique qui plonge ses racines dans les héritages impérial et soviétique. Dans cette optique, l’Ukraine a toujours occupé une position singulière, en raison non seulement des liens historiques entre Kiev et Moscou, mais surtout de l’importance géostratégique de son territoire. La Russie se conçoit comme une organisation politico-militaire construite sur la durée dans une opposition aux forces venant de l’Ouest. Au cœur de cette culture, se trouvent les notions de glacis et de profondeur stratégique, impossibles à concevoir sans l’Ukraine. 

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Ukraine-Russie : Vers une vraie guerre ?

27 mai 2014
Accroche

1989 : le mur de Berlin s'effondre. 1991 : le bloc soviétique se désagrège. L'Occident sourit devant le spectacle d'un tel triomphe : l'URSS a perdu la bataille ; sa force militaire, son économie, ses valeurs sont réduites à néant. En face, l'Amérique jubile et consolide son rôle de superpuissance. Un nouvel ordre mondial se dessine dans les esprits : on ne pense plus en mode bipolaire mais multipolaire ; on sonne l'heure de la mondialisation heureuse ; une ère démocratique s'ouvre. Fort de ces belles perspectives, la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) signe la charte de Paris le 21 novembre 1990. De quoi s'agit-il ? D'améliorer les liens Est-Ouest en attirant les ex-pays communistes. Les accords d'Helsinki (1975) avaient déjà amorcé un dialogue multilatéral ; la charte veut le renforcer en déployant des coopérations économique, militaire et humaine. La CSCE devient alors l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

Le 5 décembre 1994, les États-Unis, la Russie, l'Ukraine et le Royaume-Uni paraphent le mémorandum de Budapest : dans le cadre du traité sur la nonprolifération des armes nucléaires, l'Ukraine accepte de confier son arsenal à la Russie, qui le démantèlera ; en échange, Bill Clinton, Boris Eltsine et John Major s'engagent, devant le président ukrainien Leonid Koutchma, à respecter l'indépendance, la souveraineté et les frontières existantes de l'Ukraine (article 1).

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Le pari risqué de Vladimir Poutine

26 mai 2014
Accroche

A la faveur de la crise ukrainienne, le repositionnement de la Russie prend un tour paradoxal. Moscou conçoit désormais ses relations avec l'Europe (55 % de son commerce exterieur) en termes de sécurité et celles avec la Chine (11 % de son commerce exterieur) en termes diplomatiques : la première désarme, alors que la seconde s'arme.

L'annexion de la Crimée a entraîné un isolement diplomatique que Moscou entend rompre grâce à Pékin. La récente visite de Vladimir Poutine en Chine symboliserait le changement de portage géopolitique de la Russie. Cette lecture est confirmée par plusieurs points. La Chine est devenue le premier partenaire de la Russie avec un volume d'échange de 90 milliards de dollars annuels. Dans le domaine énergétique, Moscou et Pékin viennent d'annoncer un mégacontrat gazier estimé a 400 milliards de dollars sur trente ans.

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