Risques politiques et géopolitiques : La gouvernance du gaz en Israël
Enerpresse reprend la Note de l'Ifri diffusée en décembre 2015 et rédigée par Maïté de Boncourt.
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Les principales voies d'exportation du gaz israélien sont régionales
Depuis la découverte du champ gazier Leviathan, Israël ambitionne de devenir un nouvel acteur gazier, malgré de fortes pressions internes qui privilégient la sécurité énergétique du pays. Avec un marché mondial du GNL devenu excédentaire, Israël aura bien du mal à diversifier ses options d'exportation. Les principales voies d'exportation du gaz israélien seront sans doute régionales. Toutefois, les risques géopolitiques de la région subsistent. "La diplomatie gazière sera certainement une variable clé en 2016 dans la géopolitique régionale".
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La francophonie, une mine d’or ?
Face au « marché en devenir » qu’est la francophonie, les chaînes d’informations étrangères commencent à placer leurs pions. La Russie, l'Israël, et la Chine se sont déjà lancés dans la course à l’information. Julien Nocetti décrypte la stratégie de la chaîne russe Russia Today.
La gouvernance du gaz en Israël
reprise de la deuxième partie de la Note sur la gouvernance du gaz en Israël de Maïté de Boncourt, publiée par l'ifri en décembre 2015
"Netanyahou s'est finalement ressaisi"
Ce mercredi 20 mai, le ministre de la Défense israélien avait prévu de mettre en place un projet pilote, qui visait à interdire aux Palestiniens d'emprunter les mêmes bus que les Israéliens pour rentrer en Cisjordanie. Moshé Yaalon avait prévu de tester ce dispositif pendant trois mois avant de le mettre définitivement en place. Un dispositif qui lui sembait raisonnable mais qui s'apparente pourtant à une mesure digne de l'apartheid. Devant le tollé suscité, le Premier ministre Netanyahou a immédiatement gelé le projet. Une semaine après la formation du gouvernement, c'est donc le premier signe de désaccord au sein de la coalition formée par Netanyahou. Preuve aussi que les ultra-nationalistes - dont Moshé Yaalon fait partie - n'ont peur de rien depuis qu'ils ont fait une entrée fracassante dans le gouvernement.
Interview avec Dominique Moïsi, conseiller spécial auprès de l'IFRI et grand connaisseur de la politique israélienne.
Paris - Jérusalem : les raisons de l’alya
L’annonce du nombre de Français juifs migrant en Israël est devenue, depuis quelques années, un moment de l’actualité politique française, précisément depuis 2000 et le début de la deuxième Intifada. Alors que l’alya de juifs de France n’est pas un phénomène nouveau - il aurait concerné plus de 90 000 personnes depuis la création d’Israël en 1948 - l’augmentation nette des violences antisémites a donné aux départs une signification nouvelle. Pouvoirs publics et médias scrutent, avec inquiétude, des chiffres passés d’environ 2 500, en 2004, à plus du double dix ans plus tard. 2014 s’annonce comme une année record.
Russie. Visite du président Poutine en Israël et dans le reste du Proche-Orient : les intérêts de Moscou dans la région
La visite de Poutine au Moyen-Orient s'inscrit dans un contexte délicat. En effet, le soutien russe à la Syrie suscite une réprobation croissante de la communauté internationale, sans pour autant infléchir la position de Moscou. Il y a également la tentation de conférer un rôle accru à Téhéran sur la scène régionale, tout en procédant à un rapprochement avec Israël. Moscou fut le premier état à reconnaître l'existence de l'état hébreu en 1948, et il semble aujourd'hui que Poutine rejoigne un peu la positon d'Obama qui, après avoir soutenu les révolutions arabes, préfère désormais se rapprocher du plus stable et du plus ancien allié qu'il a dans la région.
Après la mort de Nasrallah, quelle stratégie régionale pour l’Iran ?
Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, a été tué dans une frappe israélienne à Beyrouth le 27 septembre. La milice et son dirigeant étaient considérés comme le fer de lance de l’Axe de la Résistance, cette coalition de groupes miliciens majoritairement chiites qui sont au coeur de la stratégie régionale de l’Iran.
Un Moyen-Orient entre guerres et recomposition
Dans un Moyen-Orient chaotique, la date du 7 octobre 2023 marque un tournant majeur qui peut conduire à un embrasement de toute la zone. La guerre à Gaza intervient dans une situation déjà en pleine évolution caractérisée par l’affirmation de l’autonomie stratégique de plusieurs puissances régionales de même que par un basculement géopolitique au profit de la Russie et de la Chine.
Iran et Israël : meilleurs ennemis
L’attaque de missiles iraniens sur le sol israélien le 13 avril 2024, suivie par une riposte d’Israël visant une base militaire proche d’un des principaux sites nucléaires iraniens, fut le point d’orgue d’une guerre multiforme qui oppose les deux pays depuis plusieurs décennies. Alors qu’Israël entretenait les meilleures relations, diplomatiques et même militaires, avec l’Iran du Shah Mohammad Reza Pahlavi, il est apparu très vite qu’il n’en serait pas de même avec la République islamique.
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