Interventions médiatiques
Nos chercheurs interviennent dans le débat public et apportent leur lumière dans les médias français et internationaux. Retrouvez toutes leurs interventions médiatiques.
Syrie/G20: Y aura t-il une victoire diplomatique pour le président Poutine ?
Après une poignée de mains diplomatique entre le président Poutine et le président Obama, à l’arrivée de ce dernier à Saint-Pétersbourg hier, le G20 s’est ouvert dans un climat russo-américain plombé par le dossier syrien.
Syrie, Snowden, homophobie... à quoi joue Vladimir Poutine avant le G20?
À Saint-Pétersbourg, l'ambiance sera tendue pour la photo de famille du G20 qui s'ouvre ce jeudi 5 septembre. Les sorties du président russe ont effectivement le don d'irriter les autres pays, et en particulier les États-Unis, compte-tenu du lourd passif entre les deux nations. A tel point que Barack Obama a "sévi" début août: il a annulé sa rencontre avec Poutine, initialement prévue en marge du sommet. Du jamais vu depuis plusieurs dizaines d'années.
A quoi joue Poutine ?
A quoi joue Poutine?
Avec: La journaliste Russe Ioulia Kapoustina; Thomas Gomart, directeur du centre Russie à l'Ifri (Institut français des relations internationales); Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde"; et Ksenia Bolchakova, correspondante d’Europe 1 en Russe.
Pourquoi la Russie ne lâchera pas la Syrie
Pas d'infidélité en vue entre Moscou et Damas. Alors que des enquêteurs de l'ONU se sont rendus, lundi 26 août, sur les lieux d'une attaque chimique présumée, le chef de la diplomatie russe a redit son inquiétude quant à une possible intervention armée en Syrie. "C'est un terrain glissant et très dangereux" et "une grossière violation du droit international", a prévenu Sergueï Lavrov, au cours d'une conférence de presse convoquée en urgence. Deux ans après le début du conflit, les Russes restent toujours le meilleur allié du régime syrien. Pour quelles raisons ? Eléments de réponse.
Russie-Etats-Unis : climat de Guerre froide entre les deux grands
C’est à se demander si certains ne seraient pas finalement un peu nostalgiques de la seconde moitié du XXème siècle : “au bon temps” de la guerre froide.
Depuis quelques jours, depuis que le président américain Barack Obama a parlé de relents de Guerre froide entre son pays et la Russie de Vladimir Poutine, l’expression, le concept, est de toutes les discussions, et de tous les éditoriaux.
"Le boycott du sommet de Moscou par Obama renforce la popularité de Poutine en Russie"
Les faits - Thomas Gomart, 40 ans, est directeur du centre Russie à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Pour L'Opinion, il décrypte l'attitude russe, après la décision de Barack Obama d'annuler sa participation à un sommet avec Vladimir Poutine, début septembre à Moscou, à la suite de l'affaire Edward Snowden, ce défecteur de l'agence de renseignements américaine NSA à qui le pouvoir russe a accordé l'asile.
Edward Snowden and democratization through the web
Why did Edward Snowden decide to disclose information related to U.S. secret services?
- Edward Snowden belongs to that generation of militants who do believe in the web as a tool for democratization, and do think that, to some extent, intelligence services of big states intend to monitor and to control the web at the expense of civil societies. This generation of militants believes in democratization through the web, and they want to fight against the "raison d'Etat". In that sense, there will be certainly other people like Snowden who will be ready to defend that cause of transparency. We'll see what is going to happen, but I definitely think he will become more and more a sort of a symbol of this cause, as Julian Assange is.
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