Sécurité - Défense
Sous l’effet de la compétition stratégique mondiale, les enjeux de sécurité et de défense sont marqués par le retour des guerres majeures et de la dissuasion nucléaire, la transformation du terrorisme et la course aux technologies militaires.
Sujets liés

Pologne, première armée d'Europe en 2035 ? Perspectives et limites d'un réarmement

Cette étude cherche à éclairer le public français sur l’évolution de la politique de sécurité et de défense de la Pologne depuis la fin de la guerre froide, puis à évaluer l’importance et la crédibilité du renforcement capacitaire amorcé en 2022, avant de proposer une série de recommandations sur l’évolution de la coopération franco-polonaise.
Événements à venir
Un nouvel environnement de sécurité dans le Grand Nord : construire la coopération franco-finlandaise
Les Etats-Unis et les négociations avec l’Iran 1/2 : How does each side understand nuclear diplomacy?
Robert Litwak, du Wilson Center, était l’invité de l’Ifri le 22 avril 2015, pour un séminaire sur "Les Etats-Unis et les négociations nucléaires avec l'Iran". Dans cette vidéo, il explique comment les Etats-Unis et l'Iran cherchent en réalité à régler des questions politiques plus larges au travers de ces négociations.
Robert Litwak is the Vice President for Scholars and Director of International Security Studies at the Woodrow Wilson International Center for Scholars.
La surprise stratégique
Pour plus d'informations concernant l'ouvrage complet, veuillez cliquer sur ce lien.
L’union ou la force ? Les défis des opérations multinationales contemporaines
Les opérations multinationales contemporaines interviennent dans un contexte stratégique caractérisé par la prévalence des conflits limités pour les Etats occidentaux. De ce fait, elles sont marquées par une tension entre la logique militaire de l’intégration des forces armées comme condition de l’efficacité, et la logique politique de l’autonomie d’action des Etats.
Japon : sous les volcans, le nucléaire
Le Japon a connu au début de l’automne 2014 l’éruption la plus meurtrière sur son territoire depuis près d’un siècle. L’imprévisibilité de l’événement a ravivé la crainte d’effets liés aux centrales nucléaires.
États-Unis / Corée du Sud, l'alliance militaire en question
L’alliance née de la guerre de Corée échange une assurance de sécurité pour Séoul contre un certain alignement avec Washington : elle est aujourd’hui l’une des plus fortes qui existe dans le monde.
Australie, une nouvelle stratégie de puissance moyenne
La nouvelle configuration asiatique suggère à Canberra de faire de sa stratégie extérieure de puissance moyenne un instrument nouveau au service de sa sécurité et de la stabilité régionale.
Armée et transition démocratique en Tunisie
Réputée avoir aidé au renversement du président Ben Ali, l’armée tunisienne jouit d’un important capital sympathie au sein de la population.
La difficile transition afghane
Une transition politique plus lente que prévue ; une transition militaire difficile alors que les talibans multiplient leurs attaques dans de nombreuses provinces, compromettant l’hypothèse d’un dialogue avec le nouveau pouvoir ; une transition diplomatique où les partenaires, voisins inclus, passent difficilement aux actes : à l’heure où les Afghans prennent une part plus que jamais décisive aux efforts de stabilisation de leur pays, il ne faut pas oublier l’Afghanistan.
Le porte-avions Charles de Gaulle : quels objectifs pour l’armée française ?
France Culture reçoit Dominique Moïsi, politologue spécialiste des questions internationales, conseiller spécial de l'IFRI, Yvan Stefanovitch, journaliste d’investigation, auteur notamment de "Défense française, le devoir d'inventaire : enquête sur les faiblesses de l'armée et les milliards gaspillés par l'Etat" (Editions du Moment) et Joseph Henrotin, chargé de recherches au Centre d’Analyse et de Prévision des Risques Internationaux (CAPRI - Paris), auteur notamment de "Les fondements de la stratégie navale au XXIème siècle" (Economica).
Le désordre libyen : trois questions à Florence Gaub
L'article que vous avez écrit dans le numéro d’automne 2012 de Politique étrangère, soit un an après la chute de Mouammar Kadhafi, était intitulé « Libye, le rêve de Kadhafi devient-il réalité ? ». Qu'entendiez-vous par là ?
Kadhafi rêvait d’une société déhiérarchisée, sans institutions étatiques. Dans sa vision politique, les questions relevant de la vie commune devaient être réglées par un accord au plus bas niveau, dans les comités et commissions. Son rêve n’est pas devenu une réalité de son vivant, car la sécurité et la production du pétrole étaient restées entre les mains du régime. En 2012, après la chute de Kadhafi, non seulement les Libyens ont tout de suite formé plusieurs comités et commissions, mais une gestion locale de la sécurité et de la production pétrolière s’est mise en place. Voilà pourquoi j’ai écrit que la vision politique de Kadhafi est finalement devenue une réalité, bien que ce soit une réalité bien triste.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.
