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Discours sur l'état de l'union: "une tonalité assez grave"

14 septembre 2016
Accroche

Pour réagir au discours sur l‘état de l’Union de Jean-Claude Juncker, Euronews a interrogé Vivien Pertusot, responsable du bureau de Bruxelles de l’Ifri. 

Europe : Back to the Future

Date de publication
05 septembre 2016
Accroche

Le Brexit est le symptôme d'une crise du projet européen. Les peuples européens ne se reconnaissent pas dans la bureaucratie bruxelloise et tendent à se replier sur leur pré carré national.

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"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"

23 août 2016
Accroche

Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.

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Malgré le départ du Royaume-Uni, la frontière reste à Calais

05 juillet 2016
Accroche

Malgré les voix qui s’élèvent en France pour un rétablissement du contrôle aux frontières en Angleterre, il n’y aura pas de retour sur les accords bilatéraux entre la France et la Grande-Bretagne. Paris plaide plutôt pour l’organisation de l’immigration légale entre les deux pays.

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Le secteur énergétique exposé à la cyber-menace

Date de publication
12 juillet 2016
Accroche

La directive sur la Sécurité des Réseaux et de l'Information (SRI) a été adoptée le 6 juillet 2016 par le Parlement Européen. Celle-ci vient en partie combler un manque législatif en matière de cyber-sécurité au sein de l'Union Européenne, particulièrement en ce qui concerne les opérateurs critiques comme l'industrie énergétique, de plus en plus exposée aux cyber-attaques. Cet Edito Energie revient sur les outils que propose cette directive pour protéger les infrastructures énergétiques européennes.

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"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
Accroche

Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

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Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?

06 juillet 2016
Accroche

« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».

Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».

Lire l'intégralité de l'article sur lacroix.fr

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La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe

27 juin 2016
Accroche

« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
Accroche

"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
Accroche

“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

Lire l'article.

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