Chaînes de valeur des technologies bas-carbone
Les technologies bas-carbone et la transformation des industries posent des défis clés en terme d’innovation, de compétitivité et de maîtrise des chaines de valeur. Les politiques industrielles sont désormais centrales.
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Le Bade-Wurtemberg sous la direction des Verts – Bilan des deux mandats de Winfried Kretschmann à la tête du Land
La structure économique et sociale du Land de Bade-Wurtemberg a offert dès ses origines de bonnes conditions d’implantation pour les partis conservateurs. L’Union chrétienne-démocrate (Christlich Demokratische Union - CDU) a su mettre ces avantages à son profit, de 1953 à 2011, le Ministre-président du Land a été sans interruption un chrétien-démocrate. En 2011, les Verts et le parti social-démocrate (Sozialdemokratische Partei Deutschlands - SPD) ont remporté une élection historique au détriment de la CDU. Pour la première fois, un Land allemand a élu un Ministre-président écologiste, en la personne de Winfried Kretschmann.
Les Verts allemands, un nouveau parti de rassemblement ?
Dans le contexte de prise de conscience accrue de la crise climatique, les élections européennes en mai 2019 ont vu les formations écologistes obtenir des résultats élevés dans de nombreux pays – 20,5 % en Allemagne, 17,5 % en Irlande, 16,0 % en Finlande ou encore 13,5 % en France – alors que, dans le même temps, la progression des partis d’extrême droite et nationaux-populistes se confirmait.
Russie : Entre prise de conscience et nouvelles opportunités
Le pouvoir russe tient un discours plus qu'ambivalent concernant le changement climatique, préférant appeler à s’y adapter. Comment expliquer le discours aux accents climatosceptiques de Vladimir Poutine, alors que son pays est l’un des premiers concernés par le réchauffement climatique ?
Les bases de la puissance. Enjeux géopolitiques et stratégiques des bases militaires avancées
À travers l’histoire, les grandes puissances se sont appuyées sur des bases militaires avancées pour intervenir dans une zone d’intérêt, assurer la sécurité d’un allié ou contrôler un territoire.

Pourquoi les États-Unis de Trump font la guerre à l'écologie?
C’est fait. Lundi 4 novembre, l’administration Trump a officiellement engagé auprès de l’ONU le retrait des États-Unis de l’accord de Paris de 2015. Retrait que le président américain avait annoncé en juin 2017.
Les mouvements environnementaux en République démocratique allemande - La naissance d’une écologie politique dans l’Allemagne communiste des années 1980
La République démocratique allemande (RDA) a été l’un des premiers pays en Europe à légiférer sur la question de la protection de l’environnement à la fin des années 1960. Cependant, moins de deux décennies plus tard, elle était considérée comme l’un des pays les plus pollués du continent.
Laurent Fabius - Après la COP23, quelles perspectives pour l'environnement ?
Entretien vidéo mené par l'Ifri, dans le cadre d'un dîner-débat autour de Laurent Fabius (président du Conseil constitutionnel), présidé par Thierry de Montbrial (fondateur et président de l'Ifri), le 23 novembre 2017 au Cercle de l'Union interalliée (Paris).
Introduction : les dynamiques géopolitiques de l'Arctique
L'Arctique, qui englobe le pôle Nord, l’océan glacial Arctique et les territoires situés au nord du cercle polaire (soit le 66e parallèle), peut paraître lointain et exotique.
Accord de Paris : « rester optimiste au lendemain du retrait américain »
Laurence Nardon, responsable du Programme Etats-Unis de l'Ifri et Nicolas Bouzou, réagissent au retrait des Etats-Unis de l'Accord de Paris sur le Climat, annoncé par Donald Trump.
Twitter, une arme diplomatique non-conventionnelle
Quelques mots souvent, quelques phrases parfois, pour faire savoir son opinion au monde entier : c’est la force du réseau social Twitter. L’un des plus célèbres de ses utilisateurs s’appelle Donald Trump. Jusqu’à présent, le président américain en a privilégié une utilisation compulsive et souvent vindicative. Twitter lui permet de contourner les médias traditionnels qu’il aime abhorrer, tout en s’adressant directement à des audiences étrangères – peuples comme chefs d’État.
Souvent agressifs et sarcastiques, toujours ponctués de points d’exclamation, les tweets du nouveau président bouleversent les codes diplomatiques habituels. Sans nuances, ces messages d’un maximum de 140 caractères lui permettent de dicter le rythme de l’actualité.
En politique internationale, la provocation permanente de ces tweets a des effets immédiats. On pense à la récente remise en cause de la « Chine unique ». Ils viennent remettre au goût du jour ce qu’on appelle la « diplomatie numérique », souvent présentée comme un avatar de la diplomatie publique, c’est-à-dire comme un moyen d’entrer directement en contact avec les sociétés civiles en utilisant les réseaux sociaux afin de mettre en oeuvre des stratégies d’influence.
Là n’est pas le moindre des paradoxes de Twitter : le site, qui n’est jamais parvenu à trouver un modèle économique viable depuis son lancement en 2006, est devenu un puissant mégaphone dans les relations internationales. Indissociable de ses hashtags – ces mots-dièses permettant de classer les sujets de discussion – comme les mobilisateurs #BringBackOurGirls (rendez-nous nos filles) ou #BlackLivesMatter (les vies des Noirs comptent), Twitter est aujourd’hui incontournable de la pratique diplomatique.
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