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Europe

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L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.

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Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
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Date de publication
avril 2024

L'industrie solaire photovoltaïque européenne : ultime déclin ou espoir de renaissance ?

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Chaine de fabrication de panneaux solaires
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Chaine de fabrication de panneaux solaires
Credits : © IM Imagery/Shutterstock.com
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Alors que les installations solaires photovoltaïques sont en plein essor en Europe (et dans d'autres parties du monde), les industries locales mettent la clé sous la porte. Au cours des deux dernières années, la capacité solaire photovoltaïque installée en Europe a été multipliée par deux. De l’autre côté, les derniers fabricants européens de panneaux solaires photovoltaïques sont en train de disparaître.

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Régionales en Allemagne : le parti d'Angela Merkel battu par les populistes (2/2)

04 septembre 2016
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La CDU de la chancelière donnée troisième derrière les populistes dans le Nord-Est de l'Allemagne. C'est une claque pour la CDU d'Angela Merkel à un an des législatives. Le parti anti-migrants allemand AfD est arrivé en deuxième position avec environ 21% des voix lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale, selon des sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote.

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Face au chaos du monde, reprendre le chemin de la raison

30 août 2016
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Conflit syrien, burkini, Daech, populismes : face au chaos du monde, nous sommes confrontés à une perte de repères d'une intensité inquiétante. Face à la surmédiatisation de certains événements, il nous faut réapprendre à hiérarchiser les défis qui nous sont lancés afin de mieux les affronter. Tragédie syrienne, Turquie, Russie, Daech, débat sur la laïcité, réfugiés, brexit, Donald Trump et le populisme aux Etats-Unis - Dominique Moïsi, conseiller spécial à l'Ifri, revient sur les grands événements qui ont marqué l'été 2016.

 

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"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"

23 août 2016
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Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.

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Au-delà du cas Boris Johnson

20 juillet 2016
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Comment « amadouer » des partenaires que l'on a insultés pendant des mois et dont on recherche désormais la compréhension et la bonne volonté ? Tel est le défi auquel se trouvent confrontés le nouveau ministre des Affaires étrangères britannique Boris Johnson et son collègue David Davis, ministre directement en charge du Brexit.

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Brexit : plus d'Allemagne en Europe

11 juillet 2016
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« Quand je veux parler à l'Euro-pe, qui dois-je appeler ? » se demandait l'ancien secrétaire d'État des États-Unis Henry Kissinger. « La question est désormais résolue, répondait après le référendum britannique, Nicholas Burns, un ancien diplomate américain de haut rang. Il faut appeler la Chancellerie d'Allemagne. ». Les conséquences du Brexit sont à terme plus importantes sans doute sur un plan géopolitique que strictement économique. Pour aller à l'essentiel, depuis le 23 juin 2016, il y a bien sûr moins de Grande-Bretagne en Europe, et probablement moins d'Europe dans le monde.

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Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?

06 juillet 2016
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« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».

Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».

Lire l'intégralité de l'article sur lacroix.fr

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Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
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"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe

27 juin 2016
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« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
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Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

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Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
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“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

Lire l'article.

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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

Conférence Ramses 2024
Centres et programmes liés
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Drapeaux France, Autriche, Union Européenne
Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA)
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Le Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA/ÖFZ) est une organisation intergouvernementale franco-autrichienne, initiée en 1976 par le Premier ministre Jacques Chirac et le chancelier fédéral Bruno Kreisky, afin de développer les relations économiques entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est, et contribuer à créer une Europe de la paix.

 

Après la chute du Mur de Berlin, le CFA a recentré son action sur les problèmes de l’élargissement de l’Union européenne (UE) et intégré dans son champ d’activité le Hongrie et la Pologne, les Républiques tchèque et slovaque, la Slovénie, les Pays baltes, ainsi que la Roumanie et la Bulgarie. La vocation du CFA comme espace de réflexion et d’échange se trouve en effet renforcée par le besoin d’accompagnement des nouveaux pays membres de l’Union dans leur processus d’intégration. Depuis 2004, le CFA se tourne également vers les nouveaux voisins de l’Union, en particulier vers les pays des Balkans de l’ouest, qui envisagent leur avenir dans une perspective européenne.

 

Le CFA s’efforce d’inscrire l’ensemble de ses échanges dans une perspective globale concernant l’avenir de notre continent. Il centre aujourd’hui ses activités autour de trois directions : le dialogue bilatéral franco-autrichien, l’avenir de l’UE, la future recomposition du continent.

 

Les comptes rendus de toutes les manifestations organisées par le CFA sont disponibles sur son site (http://oefz.at). Le budget du CFA est assuré par les ministères des Affaires étrangères français et autrichien. En fonction des thèmes abordés, le CFA fait appel à des institutions publiques et privées européennes pour contribuer au financement de ses rencontres.

 

Les orientations du CFA bénéficient des préconisations d’un Conseil d’orientation, approuvées par un Conseil de direction, qui élit parmi ses membres un président et un secrétaire général. 

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La Pariser Platz (place de Paris), du côté est de la porte de Brandebourg à Berlin, Allemagne
Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
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Le Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) a été créé en 1954 par un accord intergouvernemental entre la République fédérale d’Allemagne et la France, afin de mieux faire connaître l'Allemagne en France et analyser les relations franco-allemandes y compris dans leurs dimensions européennes et internationales. Dans ses conférences et séminaires, qui réunissent experts, responsables politiques, hauts décideurs et représentants de la société civile des deux pays, le Cerfa développe le débat franco-allemand et suscite les propositions politiques. Il publie régulièrement des études à travers deux collections : les « Notes du Cerfa » et les « Visions franco-allemandes ». 

Le Cerfa entretient des relations étroites avec le réseau des fondations et des think tanks allemands. En plus de ses activités de recherche et de débat, le Cerfa promeut l’émergence d’une nouvelle génération franco-allemande à travers des programmes de coopération originaux. C'est ainsi qu'en 2021-2022, le Cerfa a conduit un programme sur le multilatéralisme avec la Fondation Konrad Adenauer de Paris. Ce programme s'adresse à des jeunes professionnels des deux pays intéressés par les enjeux du multilatéralisme dans le contexte de leurs activités. Il a couvert une large gamme de thèmes relatifs au multilatéralisme, tel que le commerce international, la santé, les droits de l’homme et la migration, la non-prolifération et le désarmement. Auparavant, le Cerfa avait participé au dialogue d’avenir franco-allemand, co-piloté de 2007 à 2020 avec la Deutsche Gesellschaft für auswärtige Politik (DGAP) et soutenu par la Fondation Robert Bosch, ou encore le groupe Daniel Vernet (anciennement Groupe de réflexion franco-allemand) qui avait été fondé en 2014 à l’initiative de la Fondation Genshagen.

Crédits image de la page
Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
symbiot/Shutterstock