La très active politique étrangère de la Turquie est souvent assimilée à la seule volonté de Recep Tayyip Erdoğan, président de la République (depuis 2014) et chef incontesté de l’AKP (Adalet ve Kalkınma Partisi, Parti de la Justice et du Développement), parti conservateur d’inspiration islamique au pouvoir depuis 2002. Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi.

S'il est assurément au centre de l'histoire et de la construction européenne de l'après-guerre, l'UE ne se réduit pas au tandem franco-allemand.

À l'occasion de la sortie de son dernier livre, Thomas Gomart s'est entretenu avec Florian Louis. « J’ai conçu Guerres invisibles comme une sorte de réponse à La guerre hors limite dans laquelle je voulais montrer que si les militaires n’ont plus le monopole de la guerre, cela ne signifie nullement qu’ils perdent leur raison d’être. »

La “New Southern Policy” (NSP) de la République de Corée repose avant tout sur la recherche d’une diversification de ses partenariats. Dans le domaine économique, le besoin apparaît certes moins pressant que dans la sphère diplomatique et de sécurité, où la domination des quatre grands acteurs que sont les Etats-Unis, la Chine, le Japon et la Russie est écrasante.   

Les Tanzaniens se sont rendus aux urnes à partir du 27 octobre 2020 afin d’élire les conseillers de district, les membres du Parlement et le président. Les résultats officiels reflètent une victoire écrasante du parti au pouvoir de longue date le Chama Cha Mapinduzi. 

Une vingtaine de personnalités internationales issues de plusieurs sensibilités et horizons différents ont réfléchi à la question de l’impact de la présidence Biden sur le futur de l’autonomie stratégique européenne.

Dans cet article Paul Maurice livre un bilan exhaustif de la présidence allemande du Conseil de l’Union européenne (UE). 

En septembre 2020, le Centre Asie de l'Ifri a organisé une discussion en ligne sur la stratégie de cybersécurité du Japon.