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L'intégration différenciée peut-elle débloquer la PSDC ?
L’intégration différenciée, qui réunit quelques États membres autour de stratégies et de moyens communs, peut être vue comme la seule voie possible pour contourner les blocages d’une Politique de sécurité et de défense commune (PSDC) à 28.
Le « minilatéralisme » : une nouvelle forme de coopération de défense
Le multilatéralisme a joué un rôle capital en matière de coopération internationale. Il semble pourtant s’essouffler, en matière de défense européenne, à travers ses grandes institutions (Organisation du traité de l’Atlantique nord, Union européenne).
Le partage des capacités militaires : impasse ou avenir ?
Le « concept de nation cadre », élaboré en Allemagne, a été retenu par le sommet de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) du Pays de Galles en 2014. Il tente d’organiser la coopération de défense entre un nombre limité de pays partageant une certaine proximité culturelle.
La difficile transition afghane
Une transition politique plus lente que prévue ; une transition militaire difficile alors que les talibans multiplient leurs attaques dans de nombreuses provinces, compromettant l’hypothèse d’un dialogue avec le nouveau pouvoir ; une transition diplomatique où les partenaires, voisins inclus, passent difficilement aux actes : à l’heure où les Afghans prennent une part plus que jamais décisive aux efforts de stabilisation de leur pays, il ne faut pas oublier l’Afghanistan.
Armée et transition démocratique en Tunisie
Réputée avoir aidé au renversement du président Ben Ali, l’armée tunisienne jouit d’un important capital sympathie au sein de la population.
Australie, une nouvelle stratégie de puissance moyenne
La nouvelle configuration asiatique suggère à Canberra de faire de sa stratégie extérieure de puissance moyenne un instrument nouveau au service de sa sécurité et de la stabilité régionale.
États-Unis / Corée du Sud, l'alliance militaire en question
L’alliance née de la guerre de Corée échange une assurance de sécurité pour Séoul contre un certain alignement avec Washington : elle est aujourd’hui l’une des plus fortes qui existe dans le monde.
Crimée : les contradictions du discours russe
Après avoir nié l’intervention russe en Crimée, le président Poutine a fini par la reconnaître et par employer des arguments fallacieux pour la justifier.