Dans leurs écrits, les élites militaires russes s'accordent sur la nature et le double objectif de l'« opération militaire spéciale » : une action préventive visant à contrôler l'Ukraine et affaiblir un Occident belliqueux. 

Le sommet franco-britannique du 10 mars 2023 marquera une remise à zéro nécessaire de la coopération bilatérale, après des années de relations tendues. Avec un président français récemment réélu et un nouveau Premier ministre britannique, les deux parties s'engagent à faire de ce sommet un succès et à relancer un agenda positif pour la coopération bilatérale. Le sommet, le premier depuis Sandhurst en 2018, se concentrera sur trois sujets clés : la migration, l'énergie et la politique étrangère.

La résistance ukrainienne s'inscrit dans un temps long, ouvert par l'indépendance de 1991 et confirmé en 2014. Une tendance continue a rapproché très largement l'opinion du pays de l'Union européenne (UE) puis de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN), la conduisant à chercher une véritable séparation avec la Russie et surtout avec son héritage historique soviétique.

La population russe, abreuvée par la propagande du Kremlin depuis des années, approuve très majoritairement la guerre en Ukraine. Les voix critiques ou dissidentes existent, mais elles s'expriment d'autant moins publiquement que la contestation est passible de lourdes peines.

Dans un contexte économique et sécuritaire très difficile, les élections générales (présidentielles, législatives, sénatoriales…) se dérouleront le 25 février dans la fédération du Nigéria. Il s'agit de la septième élection présidentielle organisée depuis le retour du pays à la démocratie en 1999.  Le successeur du Président Muhammadu Buhari sera-t-il issu des deux partis phares de ces dernières décennies, le All Progressives Congress (APC) et le People's Democratic Party (PDP) ?  Que prévoient les candidats pour répondre aux défis du pays ?

Avec 51,17 % et 3,2 millions de voix, le président angolais sortant João Lourenço a remporté le 24 août 2022 un nouveau quinquennat. 

En tant que fabricant clé de composants technologiques haut de gamme essentiels à la durabilité de la quatrième révolution industrielle, la Corée du Sud est incontournable dans tout effort visant pour reconstruire une chaîne d'approvisionnement mondiale résiliente, mais aussi pour la promotion d'une économie propre. La Corée du Sud peut ainsi contribuer à deux des piliers de l'IPEF (Indo-Pacific Economic Framework), en particulier aux piliers II et III (résilience de la chaîne d'approvisionnement et économie propre).

Cruciales pour la souveraineté des États, les technologies critiques ont toujours été l’objet d’affrontements géopolitiques pour leur appropriation. Dans la guerre des capitalismes politiques, la régulation de leur développement et de leur transfert devient une question de sécurité. Dans ce domaine — où l’Union et les États-Unis pourraient se retrouver concurrents — un consensus reste à trouver.