La COP 28 à Dubaï - Le monde de Poincaré
Ce lundi 4 décembre, Marc Lomazzi, journaliste, Sébastien Julian, rédacteur en chef adjoint climat et transitions de L'Express, Thibaud Voïta, chercheur associé au Centre Énergie & Climat de l'Ifri, Michel Frédeau, directeur associé senior au BCG, Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste BFM Business, et Joséphine Staron, directrice des études et des relations internationales du think tank Synopia, étaient les invités dans l'émission Le monde de Poincaré présentée par Nicolas Poincaré. Le monde de Poincaré est à voir ou écouter le lundi sur BFM Business.
À la une cette semaine : la COP 28 à Dubaï. Était-ce bien raisonnable de choisir un émirat pétrolier pour discuter de l'après-pétrole ? Faut-il attendre des décisions sur cette question de la fin des énergies fossiles ? Et surtout, quel est le point de vue des BRICS - ces cinq pays qui représentent désormais la moitié des émissions de gaz à effet de serre? La Chine et l'Inde peuvent-elles infléchir leur trajectoire ?
Al-Jaber est réputé pour être un excellent diplomate. Les négociateurs qui l'ont côtoyé ont généralement des retours très positifs. Dès la première journée, il a réussi à lancer le sujet du Fonds pertes et préjudices - un fonds destiné à réparer tous les désastres subis par différents pays. Ce sujet était discuté depuis une trentaine d'années, et il a finalement émergé à Glasgow de manière plus prometteuse, puis a été repris de manière encourageante à Charm el-Cheikh.
Al-Jaber a également commis une énorme bévue en remettant en question le rôle des énergies fossiles dans le réchauffement climatique.
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