Politique industrielle ou politique de la compétitivité ? Discours et approches en Allemagne

Depuis l'été 2007, il est régulièrement question de différends franco-allemands dans le domaine de la politique industrielle, traditionnelle pomme de discorde entre la France et l'Allemagne. Après avoir évoqué les différentes dimensions de la politique industrielle, l'auteur analyse la manière dont celle-ci est conçue outre-Rhin : " Pourquoi la notion de politique industrielle n'a-t-elle pas fait recette dans l'Allemagne de l'après-guerre ? Comment fonctionne cette étrange alchimie entre un référentiel libéral, des pratiques corporatives, voire interventionnistes, et un système d'acteurs diversifiés ? Le débat actuel sur la protection des entreprises allemandes contre les "fonds souverains" marque-t-il une inflexion de la politique allemande ? Enfin, quels sont les enseignements pour le dialogue franco-allemand ? "
Henrik Uterwedde est directeur adjoint du Deutsch-französisches Institut (dfi) de Ludwigsburg.
Contenu disponible en :
Régions et thématiques
Utilisation
Comment citer cette publicationPartager
Téléchargez l'analyse complète
Cette page ne contient qu'un résumé de notre travail. Si vous souhaitez avoir accès à toutes les informations de notre recherche sur le sujet, vous pouvez télécharger la version complète au format PDF.
Politique industrielle ou politique de la compétitivité ? Discours et approches en Allemagne
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesFriedrich Merz et la Zeitenwende 2.0. Une « nouvelle ère » pour les relations transatlantiques ?
Le 23 février 2025, près de 60 millions d’électeurs ont été appelés à élire un nouveau Bundestag. Ces élections donneront également naissance à un nouveau gouvernement dans la première économie d’Europe.
Après les élections : l’Allemagne en quête d’une stabilité ébranlée ?
Avec 82,5 % de participation, l’Allemagne a enregistré un taux de mobilisation inédit depuis 1987, une hausse de 6,1 points par rapport à 2021. Comme en 2021, cette forte participation a profité à l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui a su mobiliser un grand nombre d’anciens abstentionnistes.
Ce passé qui oblige
Les relations germano-polonaises ne sont pas au beau fixe. L’absence de Donald Tusk à la rencontre du 18 octobre dernier à Berlin en est certainement l’une des meilleures illustrations. L’Allemagne a pourtant une responsabilité historique à l’égard de la Pologne. Hans Stark explique.
La France attend-elle Friedrich Merz ?
En appelant à un « renouvellement et un approfondissement » des relations avec la France, Friedrich Merz entend insuffler un nouvel élan à la relation bilatérale.