Rechercher sur Ifri.org

À propos de l'Ifri

Recherches fréquentes

Suggestions

La modernisation nucléaire russe et les "supermissiles" de Vladimir Poutine. Vraies questions et fausse posture

Notes
|
Date de publication
|
Référence taxonomie collections
Russie.Eurasie.Visions
Image de couverture de la publication
couv_rnv115_fr_page_1.jpg
Accroche

L’abandon imminent du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI, 1987) a renforcé les préoccupations politiques et publiques au sujet de l’échec de la maîtrise des armements et d’une éventuelle relance de la course aux armements nucléaires.

Image principale
Tir d'essai du nouveau système de missile Avangard, le 26 décembre 2018
avangard_0_0.jpg
© Kremlin.ru
Corps analyses

Le départ de celle-ci a été donné par le président Vladimir Poutine dans son discours de mars 2018 au Parlement, dans lequel il a évoqué plusieurs nouveaux systèmes d’armes. Les investissements massifs et soutenus de la Russie dans la modernisation de son arsenal nucléaire questionnent le concept de stabilité stratégique, dont les paramètres clés doivent être repensés pour permettre de réformer la maîtrise des armements, en premier lieu en Europe. Cette modernisation coûteuse et globale a eu un impact significatif et potentiellement grave sur l’architecture de la sécurité européenne, et les annonces de Poutine concernant de nouveaux systèmes d’armes rendent la menace encore plus concrète.

Pavel Baev est professeur à l’Institut de recherche sur la paix d’Oslo (Peace Research Institute, Oslo, PRIO). Il est également chercheur senior indépendant à la Brookings Institution (Washington, DC) et chercheur associé à l’Ifri.

Decoration

Contenu disponible en :

Régions et thématiques

ISBN / ISSN

979-10-373-0010-2

Partager

Téléchargez l'analyse complète

Cette page ne contient qu'un résumé de notre travail. Si vous souhaitez avoir accès à toutes les informations de notre recherche sur le sujet, vous pouvez télécharger la version complète au format PDF.

La modernisation nucléaire russe et les "supermissiles" de Vladimir Poutine. Vraies questions et fausse posture

Decoration
Auteur(s)
Photo
Pavel BAEV

Pavel BAEV

Intitulé du poste

Chercheur associé, Centre Russie/Eurasie de l'Ifri

Image principale
Russie, Eurasie, Carte
Centre Russie/Eurasie
Accroche centre

Fondé en 2005 au sein de l’Ifri, le Centre Russie/Eurasie produit de la recherche et organise des débats sur la Russie, l’Europe orientale, l’Asie centrale et le Caucase du Sud. Il a pour objectif de comprendre et d'anticiper l'évolution de cette zone géographique complexe en pleine mutation pour enrichir le débat public en France et en Europe, et pour aider à la décision stratégique, politique et économique.

Image principale

Les commandants russes de la guerre en Ukraine : purges, remaniements et mécontentements

Date de publication
10 décembre 2024
Accroche

Les remaniements du haut commandement militaire russe au cours de la guerre en Ukraine ont eu lieu de manière inégale, aussi bien dans le temps que dans les structures des forces armées. Les motifs et le calendrier des décisions prises par Vladimir Poutine concernant les cadres de l’armée défient souvent toute logique.

Image principale

Les effectifs de l'armée russe après deux ans et demi de guerre en Ukraine

Date de publication
25 novembre 2024
Accroche

En plus d’une victoire militaire en Ukraine, les dirigeants russes souhaitent constituer d’importants effectifs militaires en vue d’un éventuel conflit avec l’OTAN dans l’espace Baltique et la péninsule de Kola. Les prévisions actuelles comptent sur une augmentation des effectifs militaires russes d’environ 350 000 hommes, pour atteindre un total de 1,5 million de soldats et d’officiers. Dans le contexte du conflit qui se déroule actuellement en Ukraine, cet objectif ne peut être atteint sans une nouvelle vague de mobilisation massive. 

Image principale

La relation russo-iranienne à l'épreuve de l'escalade militaire au Moyen-Orient

Date de publication
14 novembre 2024
Accroche

Les relations entre Téhéran et Moscou ont connu un nouvel élan depuis le début de la guerre en Ukraine, passant d'une relation transactionnelle et asymétrique depuis 1991 à la construction d'un véritable partenariat stratégique. Néanmoins, malgré l’approfondissement des coopérations militaire, spatiale, cyber, policière et nucléaire civile, Moscou se montre réticent à s’engager directement aux côtés de Téhéran contre les États-Unis et leurs alliés au Moyen-Orient. Des différences de statut et d’approches freinent ainsi toujours la construction d’une alliance anti-occidentale entre la Russie et l’Iran.

Image principale

La Russie a-t-elle des alliés ? Chine, Iran, Corée du Nord

Date de publication
04 septembre 2024
Accroche

Depuis son agression en Ukraine, la Russie développe ses liens avec trois États qui l’accompagnent dans sa contestation de l’ordre occidental. Le partenariat avec la Chine, inégal, est cependant destiné à durer. Avec l’Iran fonctionne une solidarité de sanctionnés. Et la relation avec Pyongyang est essentiellement opportuniste.

Crédits image de la page
avangard_0_0.jpg
© Kremlin.ru

Comment citer cette étude ?

Image de couverture de la publication
couv_rnv115_fr_page_1.jpg
La modernisation nucléaire russe et les "supermissiles" de Vladimir Poutine. Vraies questions et fausse posture, de L'Ifri par
Copier
Image de couverture de la publication
couv_rnv115_fr_page_1.jpg

La modernisation nucléaire russe et les "supermissiles" de Vladimir Poutine. Vraies questions et fausse posture