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Ferdinand Marcos Jr, dit « Bongbong », investi président des Philippines
La cérémonie, devant l’imposant Musée national des beaux-arts, au cœur de Manille, est hautement symbolique : le nouveau chef de l’Etat exauce les rêves de retour au pouvoir de sa famille, trente-six ans après l’effondrement de la dictature, en février 1986.
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Aux Philippines, le sulfureux ticket Marcos-Duterte à l’épreuve du pouvoir
Ferdinand Marcos Jr, fils du dictateur du même nom, a prêté serment ce jeudi 30 juin à Manille, un mois après avoir été largement élu président. Le singulier tandem politique qu’il forme avec sa vice-présidente Sara Duterte, fille du président populiste sortant, est annonciateur de rivalités et de frictions. Au détriment des Philippins.
Élections aux Philippines : les enjeux d’un retour du clan Marcos
Le lundi 9 mai, les Philippins ont voté pour une série d’élections (présidentielle, législative et sénatoriale, municipales, gouverneurs de province) qui ont abouti au choix – sous forme de plébiscite – de Ferdinand Marcos Junior (dit Bongbong Marcos – BBM), le fils de l’ancien dictateur déchu, comme 17e président des Philippines.
Élections aux Philippines : les enjeux d’un retour du clan Marcos
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