Terrorisme : existe-t-il un profil type du jihadiste français ?
C'est une étude inédite de l'Ifri sur 137 terroristes passés à l'acte en France, des jihadistes condamnés ou tués. Ont-ils des caractéristiques communes ? Selon l'Ifri, l'âge moyen des terroristes est de 26 ans. 58% sont au chômage ou en emploi précaire et 40% d'entre eux sont issus d'un quartier défavorisé.
INFOGRAPHIE - La connaissance des terroristes s’affine
Une nouvelle étude portant sur 137 personnes jugées pour terrorisme permet de dégager des « tendances lourdes » dans les profils et parcours des djihadistes.
Après Manchester, comment déjouer de nouveaux attentats ?
Deux mois après l'attaque de Londres qui avait fait 5 morts, l'attentat de Manchester survenu le soir du lundi 22 mai 2017 est le plus meurtrier au Royaume-Uni depuis la série d'attaques suicide qui avait fait 56 morts et 700 blessés dans la capitale britannique en juillet 2005.
« Belmokhtar est certainement aujourd'hui le cadre d'Al-Qaeda le plus influent du Sahel »
Dans une étude mise en ligne ce vendredi, le chercheur Marc Mémier revient sur l'organisation Al-Mourabitoune et la tectonique des groupes jihadistes actifs dans le Sahara.
Les déroutes de l’EI, une aubaine pour l’alliance AQMI/Al-Mourabitoune ?
Une étude de l’Ifri parue le 6 janvier révèle les dessous du ralliement d’Al-Mourabitoune, le groupe de Mokhtar Belmokhtar, à AQMI en décembre 2015. L’occasion de faire le point sur les différentes composantes de la mouvance jihadiste au Sahel.
Syrie : "Il y a à la fois une victoire et un affaiblissement de Bachar el-Assad"
Le régime de Bachar el-Assad est sur le point de reprendre la ville d'Alep, quelles en seront les conséquences ? Pour analyser la situation, Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l'Ifri était invité de l'émission "On va plus loin", présentée par Sonia Mabrouk sur Public Sénat.
Multiplication des attentats : signe d’un affaiblissement de l’Etat Islamique ?
Bruxelles cette semaine, Grand-Bassam en Côte d’Ivoire quelques jours plus tôt, Istanbul, Ouagadougou, San Bernardino aux USA, Bamako, Beyrouth, Egypte, Sousse, et Paris bien sûr... Ces derniers mois les attentats à l’extérieur du territoire du groupe de l’Etat Islamique se sont multipliés.
Si l'on a beaucoup dit que l’attentat de Bruxelles était le signe que les djihadistes disposent de moyens humains, financiers et matériels de grande envergure (ce qui est le cas bien sûr), et qu’il était crucial d’unir nos forces pour les combattre, nous allons nous demander ce matin, si, paradoxalement, la recrudescence de ces attaques kamikazes ne seraient pas aussi le signe d’un affaiblissement de Daech sur son propre territoire, en Irak et en Syrie.
En effet, depuis quelques mois, les territoires et villes perdus par les djihadistes sont nombreux : Ramadi, Tikrit, Tall Abyad, Hassaké, Kobané… Par ailleurs, la grande offensive sur Mossoul a été annoncée hier par les forces irakiennes.
De l’autre côté, en Syrie, l’armée syrienne est aux portes de la ville de Palmyre, qui pourrait bien tomber dans les prochaines heures.
Cette émission vise à tenter de comprendre comment le rapport de force est en train d’évoluer sur le terrain.
Julien Nocetti répond aux questions de « Télématin » sur l’entrepreneur russe Pavel Durov
Julien Nocetti répond aux questions de « Télématin » sur l’entrepreneur russe Pavel Durov, co-fondateur du réseau social VK et de la messagerie instantanée cryptée Telegram, laquelle se trouve actuellement accusée d’être un havre pour les communications des terroristes.
La double revendication de l'attaque de Bamako illustre la nébuleuse djihadiste malienne
La prise d'otages sanglante de l'hôtel Radisson Blu à Bamako le 20 novembre a été revendiqué par deux groupes djihadistes différents. Cette double revendication prend ses racines dans une nébuleuse de groupes différents et qui peut s'expliquer de plusieurs manières.
Combattre le terrorisme de quatrième génération
Les attentats de Daech nous confrontent à un nouveau terrorisme. La proclamation d’un califat a créé un appel d’air inédit. Environ 25.000 combattants étrangers ont afflué vers la Syrie et l’Irak, dont plus de 5.000 Occidentaux.
La double revendication de l'attaque de Bamako illustre la nébuleuse djihadiste malienne
La prise d'otages sanglante de l'hôtel Radisson Blu à Bamako le 20 novembre a été revendiqué par deux groupes djihadistes différents. Cette double revendication prend ses racines dans une nébuleuse de groupes différents et qui peut s'expliquer de plusieurs manières.
Combattre le terrorisme de quatrième génération
Les attentats de Daech nous confrontent à un nouveau terrorisme. La proclamation d’un califat a créé un appel d’air inédit. Environ 25.000 combattants étrangers ont afflué vers la Syrie et l’Irak, dont plus de 5.000 Occidentaux.
En Syrie, la Russie veut contenir ses djihadistes
Le directeur de l'Institut français des relations internationales (Ifri) expose les raisons qui conduisent le Kremlin au renforcement de sa présence militaire sur le littoral syrien.
L'annonce d'une intensification des rotations russes en Syrie a suscité des réactions contradictoires. Pour les uns, cette implication supplémentaire compliquerait davantage la recherche d'une hypothétique solution politique. Pour les autres, elle annoncerait une convergence d'intérêts contre Daech entre les parrains du régime syrien (Iran et Russie), ceux des insurgés (Turquie et pays du Golfe) et les puissances occidentales.
Lire l'article sur LeFigaro.fr
La bataille médiatique face à l'organisation Etat islamique
L'organisation Etat islamique utilise Internet et les réseaux sociaux de manière très habile. Face à la propagande de Daech, les Etats occidentaux cherchent à la fois à bloquer les contenus radicaux et à produire des contre-discours susceptibles de décrédibiliser la rhétorique djihadiste.
Comment lutter contre le djihad 2.0 et sa propagande sur Internet ?
Depuis la prise de Mossoul, en Irak, il y a un an par les djihadistes de l’Etat islamique (EI), leurs vidéos de propagande ont déferlé sur Internet. Par leur réalisation léchée inspirée des canons hollywoodiens et leur incroyable barbarie, elles interrogent et inquiètent. Dans cette guerre de l’information, les démocraties occidentales cherchent la bonne réponse. Alors que des milliers d’Européens sont partis combattre en Syrie, la recherche d’un équilibre entre efficacité et préservation de la liberté du réseau est une tâche compliquée.
«La réponse anti-jihadiste doit être militaire et politique»
Denis Bauchard, ancien ambassadeur, diplomate et conseiller pour le Moyen-Orient à l'Institut français des relations internationales (IFRI), est notre invité du Matin sur RFI. Il réagit au micro d'Arnaud Pontus sur le Sommet international contre le terrorisme à Washington et l'instabilité au Moyen-Orient.
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