Le gaz du Turkménistan au centre de toutes les convoitises
Plusieurs délégations européennes se sont rendues dans le pays ces derniers mois, dans l'objectif de sécuriser davantage d'approvisionnements. Mais la Chine, la Russie, l'Iran et les Etats-Unis restent mieux placés.
L’heure de l'Asie centrale est-elle arrivée ?
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d’Asie centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d’anciennes Républiques soviétiques -aujourd’hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe.
En Asie centrale, l’influence de la Chine est-elle en train de dépasser celle de la Russie ?
Les pays d’Asie centrale sont au cœur d’une région stratégique disputée. Pour autant, il ne faut pas la résumer seulement à une zone « co-gérée » par la Russie et la Chine.
Comment la guerre en Ukraine rebat les cartes en Asie centrale
Traditionnellement, ils sont alliés de la Russie. Le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, le Turkménistan et le Tadjikistan adoptent une position d’équilibriste depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, entre prises de position pro-Kiev et neutralité diplomatique affichée. Une chose semble certaine : le conflit a de nombreuses répercutions dans la région qu’elles soient politiques, économiques voire sociales. Que se joue-t-il en Asie centrale ?
Vladimir Poutine en Asie centrale chez deux de ses plus proches alliés dans la région
C'est son premier déplacement depuis le début de la guerre en Ukraine, depuis plus de quatre mois. Vladimir Poutine est pour deux jours en Asie centrale, tour à tour chez deux de ses plus proches alliés dans la région. Avant un sommet ce 29 juin au Turkménistan, Vladimir Poutine a fait escale, mardi, au Tadjikistan.
Au Turkménistan, le pouvoir se transmet de père en fils
En Asie centrale, à l'est de la mer Caspienne, à l'ouest de l'Afghanistan, un changement de régime est passé inaperçu en mars dernier. Et pour cause, il a eu lieu dans le pays le plus fermé, le plus autoritaire de la région et qui se revendique le plus neutre, aussi : le Turkménistan.
Russie et Asie centrale à la croisée des chemins. Des survivances soviétiques à l’épreuve de la mondialisation
Les destins de la Russie et de l’Asie centrale, cette région s’étirant de la Volga à la Mongolie qu’on appelait encore au XIXe siècle le Turkestan, ont été étroitement mêlés durant trois siècles. Trente ans après l’indépendance, l’alliance entre Moscou et le Kazakhstan traverse une zone de turbulences inédites.
L’heure de l'Asie centrale est-elle arrivée ?
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d’Asie centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d’anciennes Républiques soviétiques -aujourd’hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.