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Présidentielle 2020 : y a-t-il un.e démocrate pour vaincre Trump ?

17 janvier 2020
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Alors que les primaires démocrates débuteront le 3 février prochain, nous allons nous tourner vers la présidentielle américaine qui se tiendra dans un peu plus de 10 mois maintenant. La course est déjà bien lancée, et le calendrier s’accélère, avec une procédure de destitution qui pourrait bien avoir des conséquences, pour Donald Trump mais aussi pour le camp démocrate puisque certains de ses représentants en lice devront assister au procès en destitution qui s’ouvrira la semaine prochaine au Sénat.

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Que réserve l'année électorale américaine?

14 janvier 2020
Accroche

Actualité politique chargée aux États-Unis cette semaine, et même dès ce soir (14 janvier 2020), avec le dernier débat démocrate avant la première primaire, les caucus de l'Iowa, le 3 février 2020.

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Conflit Iran / Etats-Unis : comment l'Irak est devenu un champ de bataille

13 janvier 2020
Accroche

Pays déjà ravagé par les guerres conduites sur son territoire, aussi bien par des puissances étrangères que par des terroristes islamistes, l'Irak est devenu ces dernières années le théâtre d'un conflit par procuration entre l'Iran et les Etats-Unis.

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Technologies du numérique: les enjeux géopolitiques

12 janvier 2020
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Plus que jamais, l’attention se porte sur la bataille que se livrent la Chine et les États-Unis qui prend des allures, non plus de bras de fer, mais de guerre froide avec la technologie comme nouveau terrain d’affrontement. Un terrain sur lequel l’Europe est à la traîne alors même qu’il s’agit d’un enjeu majeur de compétitivité.

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Table ronde d'actualité internationale : Washington / Téhéran : l'Irak pris en étau

10 janvier 2020
Accroche

Alors que les tensions continuent de monter entre Washington et Téhéran, l'Irak se retrouve pris en tenaille entre les milliers de soldats américains menacés d'expulsion du pays, et le mécontement de la rue et de ses alliés iraniens. 

 

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Trump contre l'Iran, réaction nationaliste ou tentative de diversion ?

09 janvier 2020
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Ce vendredi 3 janvier, Donald Trump a ordonné l'assassinat du général Qassem Soleimani, au cours d'une frappe par drone. Dans la nuit du 7 au 8 janvier, Téhéran a riposté en frappant deux bases militaires américaines en Irak. Après ces représailles, le président américain s'est exprimé sur Twitter : « Tout va bien. [...] Nous avons l'armée la plus puissante et la mieux équipée au monde, de loin. [...] Je ferai une déclaration demain matin. ».

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Dans le high-tech, la démondialisation est lancée

05 janvier 2020
Accroche

Face aux menaces de Donald Trump de taxer toujours plus les produits importés de Chine et donc tous les équipements électroniques et informatiques, les grands du numérique ont entrepris de réorganiser leur chaîne de production mondiale.

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Frappes américaines à Bagdad : "Rien n'empêche désormais l'Iran de pratiquer la politique de la terre brûlée en Irak"

03 janvier 2020
Accroche

Le puissant général iranien Qassem Soleimani et un dirigeant pro-iranien ont été tués tôt vendredi dans un raid américain à Bagdad. Cette attaque pourrait provoquer un embrasement dans la région, comme l'explique à LCI le chercheur Adel Bakawan.

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Trump et les Démocrates

01 janvier 2020
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Alors que le Parti démocrate est en pleine recomposition au lendemain de l’ère Clinton, le président Trump constitue un adversaire formidable dans le contexte de la campagne pour l’élection de 2020. 

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Trump sera-t-il destitué ou réélu ?

19 décembre 2019
Accroche

La Chambre des représentants américaine s’est prononcée en faveur de "l’impeachment" du président américain, alors que Donald Trump entre en campagne pour sa réélection. En janvier, le Sénat se prononcera sur une disculpation ou non du président.

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On a très peu de visibilité sur le programme énergétique de Donald Trump

14 novembre 2016
Accroche

On sait que Donald Trump est pro-pétrole et pro-charbon et qu’il veut dénoncer l’Accord de Paris pour le climat. Mais de nombreuses inconnues demeurent quant à son programme énergétique pour les États-Unis, souligne Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, interrogée par le BIP.

Quelle politique énergétique peut-on attendre de Donald Trump qui succédera en janvier à Barack Obama à la présidence des États-Unis ?

Donald Trump a annoncé énormément de choses, notamment sur l'énergie, pas toujours cohérentes. On a peu de visibilité sur son programme, alors qu'Hillary Clinton aurait largement été dans la continuité d'Obama. On a beaucoup de mal à voir ce qu'il va mettre en place et à analyser les conséquences de son élection. Mais si l'on suit les signaux qu'il a donnés pendant sa campagne, ce n'est pas de bon augure pour la COP22. La principale « victime » de ce changement, ce sera l'environnement qui ne sera plus une priorité. ll va peut-être chercher à en faire un symbole avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Au plan domestique, Obama, surtout pendant son dernier mandat, avait pris des mesures de réduction des émissions de CO2. Trump a annoncé qu'il allait détricoter tout cela mais, dans les faits, la politique environnementale américaine est menée bien plus au niveau des États qu'au niveau fédéral. Au plan fédéral, la grande mesure a été la prolongation en 2016 pour cinq ans du crédit d'impôt sur l'investissement dans le solaire et l'éolien.

L'Accord de Paris pour le climat, signé fin 2015 à la COP21, est entré en vigueur le 4 novembre. Quelles seraient les conséquences du retrait des États-Unis ?

L'article 28 de l'accord prévoit que le retrait n'est possible qu'après quatre ans en tout. Donald Trump ne pourra donc en sortir qu'en 2020, presque à la fin de son mandat. ll a déjà dit que les États-Unis ne participeraient plus aux financements climatiques. L'accord n'a été possible qu'avec le soutien des États-Unis et de la Chine. C'était plus un accord politique censé donner le signal pour que les investissements bas-carbone suivent. Si l'on perd le leadership américain, on risque de perdre cette impulsion politique et cela remet beaucoup de choses en question. ll va falloir trouver un nouveau leader. Les regards se tournent vers la Chine.

Donald Trump veut supprimer l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et le Clean Power Plan en faveur d'une électricité décarbonée. Quelles seraient les conséquences ?

L'EPA est I'organisme de contrôle de la politique climatique au niveau fédéral. Sachant qu'il n'y aura plus de contre-pouvoir au Congrès, à majorité républicaine, Donald Trump va clairement essayer de déssaisir l'agence de ses prérogatives. ll va aussi essayer de détricoter le Clean Power Plan, déjà très mal en point. Mais l'analyse de l'IFRI a montré qu'il fallait plutôt voir ce programme comme venant confirmer la tendance de transition énergétique, qui est déjà là. C'était surtout censé apporter plus de stabilité réglementaire pour les acteurs.

Le président élu peut-il relancer le charbon, comme il l'a promis, alors que le gaz et les énergies renouvelables ont beaucoup progressé aux États-Unis ces dernières années ?

On ne s'attend pas a un virage complet en faveur du charbon parce que les fondamentaux économiques d'aujourd'hui penchent plus en faveur de la transition énergétique qu'il y a quelques années. Les politiques de transition énergétique mises en place aux États-Unis dernièrement s'appuyaient beaucoup sur les fondamentaux du marché qui ne vont pas changer. Or la politique de sortie progressive du charbon est liée au fait que le charbon a perdu en compétitivité face au gaz naturel, grâce au développement des gaz de schiste. Il y aura donc peut-être moins d'obligations au niveau politique mais, dans le fond, le système énergétique américain s'est déjà transformé, avec plus de gaz et plus de renouvelables, parce que les renouvelables sont devenues plus compétitives. De grandes entreprises américaines fleurissent dans le secteur et créent des emplois. La dynamique du marché est favorable aux renouvelables. Trump est pro-fossiles, pro-charbon. ll dit qu'il va de nouveau créer des emplois, mais l'industrie des renouvelables, en particulier le solaire, crée énormément d'emplois aux États-Unis, peut-être même plus que le charbon. Donald Trump a un discours un peu contradictoire sur les renouvelables : à la fois, il voit dans les ENR un outil de promotion de l'indépendance énergétique et une source d'emploi et, de l'autre côté, il veut supprimer les subventions. Mais il pourrait ne plus mettre en place des mesures de l'EPA, par exemple, et ce serait à chaque État de décider de sa politique environnementale, de ses subventions.

Donald Trump veut augmenter la production de pétrole des États-Unis. Que peut-il faire ?

Donald Trump a très peu de marge de manœuvre dans le pétrole. C'est un marché international. Il n'aura aucun impact sur les prix car ce sont les cours du brut qui décident comment les producteurs de schistes vont exploiter leurs ressources. Je vois peu d'impact direct. En revanche, il pourrait renoncer à l'accord de mars dernier avec le Canada sur la réduction des émissions de méthane de l'industrie pétrolière et gazière. Des grands projets d'infrastructure, comme le pipeline transfrontalier Keystone XL, avec le Canada aussi, vont clairement revenir. Dans les faits, le secteur du pétrole et du gaz est déjà dans une position très favorable par rapport au secteur charbonnier. Trump veut favoriser la production par le biais de réduction d'impôts, mais s'il prend des mesures de soutien beaucoup plus agressives pour augmenter la production de pétrole de schiste, les cours vont baisser. La dynamique est très internationale. Les États-Unis ont très peu de marge de manœuvre pour faire remonter les prix, au contraire.

Drump va-t-il révoquer l'accord nucléaire avec l'Iran, comme il l'a promis ?

Il me semble tout à fait possible qu'il dénonce l'accord nucléaire avec l'Iran. Mais, encore une fois, on a très peu de visibilité car il a eu un discours très peu cohérent, vu de l'extérieur, sur l'Iran, sur l'OPEP. ll avait un discours très anti-OPEP et très vigoureux à l'égard de l'Arabie saoudite, mais, de l'autre côté, son expert pétrole a demandé à la Russie et à l'OPEP de s'entendre pour baisser la production. Remettre en cause l'accord avec l'Iran aurait un impact sur ses relations avec la Russie et avec l'Arabie saoudite, ainsi que sur la situation au Moyen-Orient. L'élection de Donald Trump est une nouvelle donne dans les relations internationales et dans la politique américaine de ces dernières années par rapport à la Russie, à l'Iran, à l'Arabie saoudite, à la Syrie...

 

 

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"Le jour où Trump a sidéré le monde"

12 novembre 2016
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Après la stupeur provoquée par l'élection de Donald Trump, il paraît nécessaire de revenir sur les dynamiques et les acteurs qui ont marqué la campagne. Les sondeurs et les journalistes soulèvent des interrogations - comment ont-ils pu se tromper à ce point sur l'issue de l'élection ? - au même titre que les électeurs eux-mêmes. En effet, si Hillary Clinton a remporté le vote populaire, Donald Trump semble avoir séduit au-delà de sa base - les classes populaires et moyennes blanches -, s'attachant le soutien inattendu des minorités et des femmes.

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Politique internationale : les habits neufs du président Trump

11 novembre 2016
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Le contraste est saisissant entre les propos outranciers du candidat Trump et le premier discours du président élu. Donald Trump s’est montré étonnamment prudent pour célébrer sa victoire comme si les exigences de sa charge le contraignaient déjà. Une culture stratégique comme celle des Etats-Unis ne peut changer du jour au lendemain. 

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Quelle sera la politique étrangère de Trump ?

10 novembre 2016
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Thierry de Montbrial, président de l'Institut français des relations internationales, revient sur la politique de Trump au Proche-Orient et ses futures relations avec la France. La politique étrangère de Donald Trump sera-t-elle marqué par l'isolationnisme ? L'Amérique sous l'ère Trump risque-t-elle de se couper du monde ? Y aura-t-il un décrochage des Etats-Unis vis à vis de l'Europe ?

 

 

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"On ne peut pas mettre dans le même panier un Trump, une Le Pen ou un Orban"

10 novembre 2016
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"Dans les mois qui viennent, on s'apercevra que Trump ne correspond pas à sa caricature. "L'élection de Trump va clairement encourager les mouvements populistes européens à court terme. "Brexit et Trump doivent nous pousser à reprendre au plus vite la construction européenne."

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"Trump, peut-être surpris de sa propre victoire"

09 novembre 2016
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L'élection de Donald Trump crée la stupeur. De nombreuses interrogations sont soulevées par ce phénomène inattendu, elles concernent notamment les médias. Incapables de prédire, via les sondages, le succès électoral du milliardaire, ils ont aussi involontairement servi sa popularité tout au long de la campagne. Une popularité qui s'appuyait déjà sur un succès médiatique, celui de son émission de télé-réalité, The Apprentice, il y a dix ans.

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Pas de femme à la Maison Blanche

09 novembre 2016
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Donald Trump, en remportant l'élection du 8 novembre, a déjoué les pronostics et les sondages. Ces derniers prévoyaient une élection historique qui enverrait pour la première fois une femme à la Maison Blanche.
 

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Victoire de D. Trump : séisme politique aux Etats-Unis

09 novembre 2016
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A l'issue d'une campagne mouvementée, Donald Trump, le candidat républicain, déjoue les pronostics et les sondages en s'imposant dans la course à la Maison Blanche.

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Cette autre Union européenne désirée par la Russie

09 novembre 2016
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Lors d'un discours en 1985, Mikhaïl Gorbatchev, numéro un soviétique, lance le concept de Maison commune européenne pour manifester sa volonté de réchauffer les relations avec l'Europe de l'Ouest. Plus de 30 ans plus tard, les relations russo-européennes ne cessent pourtant de se dégrader.
Depuis l'annexion de la Crimée en mars 2014, l'Union européenne (UE) a imposé une série de sanctions contre la Russie. Les bombardements effectués par l'aviation russe en Syrie ont déterminé leur prorogation en juillet 2016. Au dernier sommet européen, les 20 et 21 octobre dernier, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a déclaré : « Il est clair que la Russie cherche à affaiblir l'Union européenne. » Il a accusé Moscou entre autres de violer les espaces aériens européens et d'interférer dans les décisions politiques européennes. L'Europe s'est d'ailleurs divisée au sujet d'éventuelles sanctions supplémentaires à imposer au Kremlin, ce qui accrédite, pour certains, la thèse de la déstabilisation.

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Trump ou Clinton: Les Américains n'avaient-ils que ce choix ?

08 novembre 2016
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Le marathon électoral des deux principaux candidats à la présidence des Etats-Unis est sur le point de prendre fin. La campagne, très mouvementée et polarisante, a révélé des failles profondes dans l'électorat américain. Les candidatures de Donald Trump et Hillary Clinton, candidats singuliers dans la haine et la méfiance qu'ils inspirent, posent ainsi cette problématique : les Américains n'avaient-ils pas d'autres choix ?

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