Rechercher sur Ifri.org

À propos de l'Ifri

Recherches fréquentes

Suggestions

Maîtriser la puissance de feu. Un défi pour les forces terrestres

Études
|
Date de publication
|
Référence taxonomie collections
Focus Stratégique
Image de couverture de la publication
fs61.jpg
Accroche

En vue de réduire les risques de dommages collatéraux, la maîtrise des effets de la puissance de feu est devenue, au cours des dernières décennies, une préoccupation centrale des armées occidentales.

Image principale
Exercices de tirs de lance-roquettes multiple
Exercices de tirs de lance-roquettes multiple
Forces Armées de la République de Corée.
Corps analyses

Pour autant, cet impératif n’a pas les mêmes implications pour les différentes armées. L’emploi de la puissance de feu par les forces terrestres comporte ainsi nombre de spécificités liées au terrain, aux missions, à la diversité des moyens et des effets à générer. Il convient donc de s’interroger sur la façon dont les forces terrestres, et notamment l’armée de Terre française, envisagent la maîtrise des effets. L’étude s’intéresse ainsi aux besoins et capacités des forces terrestres en termes de maîtrise des effets, selon la nature des opérations ou du milieu, et aux opportunités et risques que présente un recours accru aux feux de précision.

 

Decoration

Contenu aussi disponible en :

Régions et thématiques

Thématiques analyses

ISBN / ISSN

978-2-36567-446-1

Partager

Téléchargez l'analyse complète

Cette page ne contient qu'un résumé de notre travail. Si vous souhaitez avoir accès à toutes les informations de notre recherche sur le sujet, vous pouvez télécharger la version complète au format PDF.

Maîtriser la puissance de feu. Un défi pour les forces terrestres

Decoration
Auteur(s)
Photo
corentin_couleur.jpg

Corentin BRUSTLEIN

Intitulé du poste

Ancien Directeur du Centre des études de sécurité de l'Ifri

Image principale
Un soldat contemplant un coucher de soleil sur un véhicule blindé de combat d’infanterie
Centre des études de sécurité
Accroche centre

Héritier d’une tradition remontant à la fondation de l’Ifri, le Centre des études de sécurité de l'Ifri fournit aux décideurs publics et privés ainsi qu’au grand public les clefs de compréhension des rapports de force et des modes de conflictualité contemporains et à venir. Par son positionnement à la jointure du politique et de l’opérationnel, la crédibilité de son équipe civilo-militaire et la diffusion large de ses publications en français et en anglais, le Centre des études de sécurité constitue dans le paysage français des think tanks un pôle unique de recherche et d’influence sur le débat de défense national et international.

Image principale

Devenir secrétaire général de l'OTAN. Entre critères objectifs, coutumes et homogénéité

Date de publication
26 septembre 2024
Accroche

Après dix ans à la tête de l’OTAN de 2014 à 2024, un record de longévité dû au contexte particulier de la guerre en Ukraine, le Norvégien Jens Stoltenberg quitte ses fonctions de secrétaire général. Son successeur, choisi par les chefs d’État et de gouvernement des États membres, sera Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas pendant près de quatorze ans. Cette nomination invite à questionner les critères et les logiques de sélection des secrétaires généraux, alors que de nombreuses études démontrent l’importance significative du secrétariat international et le rôle croissant du secrétaire général dans le fonctionnement interne de l’Alliance. 

Image principale

EUDIS, HEDI, DIANA : que se cache-t-il derrière trois acronymes de l'innovation de défense ?

Date de publication
25 septembre 2024
Accroche

En Europe, alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine montre peu de signes d'apaisement, un écart persistant subsiste entre les besoins en matière de sécurité et les dépenses de défense. Conformément à un engagement de 2006, inscrit lors du sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014, les membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) doivent consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut (PIB) national à la défense, dont 20 % doivent être investis dans l'équipement ainsi que la recherche et le développement. En 2024, seuls 23 Alliés sur 32 devraient atteindre ou dépasser cet objectif, bien qu'il s'agisse d'une amélioration notable par rapport aux trois pays en 2014. Ce total inclut les États-Unis (US), qui consacrent 3,38 % de leur PIB à la défense, représentant près de 70 % de l'ensemble des dépenses de défense des membres de l'OTAN.

Image principale

De l'Ukraine à Gaza : l'Intelligence artificielle en guerre

Date de publication
10 septembre 2024
Accroche

Les guerres en Ukraine et à Gaza témoignent d'une forte pénétration de l'Intelligence artificielle (IA) sur le champ de bataille. 

Image principale

Essaims et combat collaboratif. La saturation à l’ère de l’Intelligence artificielle

Date de publication
16 juillet 2024
Accroche

L'attaque de l'Iran sur Israël le 13 avril 2024, les attaques des Houthis au Yémen et la guerre en Ukraine ont révélé l'importance des essaims sur le champ de bataille.

Crédits image de la page
Exercices de tirs de lance-roquettes multiple
Forces Armées de la République de Corée.
Sujets liés

Comment citer cette étude ?

Image de couverture de la publication
fs61.jpg
Maîtriser la puissance de feu. Un défi pour les forces terrestres, de L'Ifri par
Copier
Image de couverture de la publication
fs61.jpg

Maîtriser la puissance de feu. Un défi pour les forces terrestres