Désarmement nucléaire : l'ambition empêchée d'Obama
Le président Obama est arrivé à la Maison Blanche en portant un agenda extrêmement ambitieux dans le domaine nucléaire, symbolisé par le discours prononcé à Prague en 2009 et récompensé par le prix Nobel de la Paix.
Toutefois, la mise en œuvre de cet agenda s’est heurtée à nombre de difficultés, internes et externes. Tout en libérant des espoirs à l’échelle nationale comme internationale, le discours très volontariste du président se sera heurté jusqu’à la fin du mandat aux réalités internationales et aux contraintes internes, aboutissant non pas à une révision profonde de la posture américaine réduisant l’importance des armes nucléaires, mais à une série d’ajustements destinés à re-crédibiliser une doctrine face aux nouvelles menaces.
Pour consulter l'article dans sa totalité, merci de cliquer sur ce lien.
Contenu disponible en :
Régions et thématiques
Utilisation
Comment citer cette publicationPartager
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesLa frappe dans la profondeur : un nouvel outil pour la compétition stratégique ?
Atteindre la profondeur du dispositif ennemi pour l’affaiblir et faciliter l’obtention d’un résultat opérationnel ou stratégique est un objectif majeur des armées. Quels sont les moyens nécessaires pour mener des frappes dans la profondeur dans un double contexte de haute intensité et de renforcement des défenses adverses ?
Entre ambitions industrielles et contribution à l'OTAN, les défis de la European Sky Shield Initiative
La guerre en Ukraine et la reconnaissance de la Russie comme principale menace pour la sécurité européenne poussent les Alliés à réinvestir dans leur défense sol-air et antibalistique.
Les mots, armes d'une nouvelle guerre ?
Les Mots armes d’une nouvelle guerre rappelle une vérité souvent oubliée : les mots tuent. Ils préparent l’action militaire et lui donnent un sens. Alors que chaque événement retentit désormais dans le monde entier, répercuté de smartphone en smartphone ou d’ordinateur en ordinateur, tout acte de guerre tend à devenir un acte de communication, et inversement. Les états-majors l’ont aujourd’hui bien compris et se saisissent de cette guerre des récits faite d’armes immatérielles pour intimider des ennemis, rassurer ou galvaniser des opinions publiques chauffées à blanc par le flot d’images reçues sur les réseaux sociaux.
Après la mort de Nasrallah, quelle stratégie régionale pour l’Iran ?
Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, a été tué dans une frappe israélienne à Beyrouth le 27 septembre. La milice et son dirigeant étaient considérés comme le fer de lance de l’Axe de la Résistance, cette coalition de groupes miliciens majoritairement chiites qui sont au coeur de la stratégie régionale de l’Iran.