Transition énergétique : quels horizons ?
Informations pratiques
Événement sur invitation uniquement
Déjeuner débat réservé aux entreprises membres de l'Ifri, sur invitation personnelle.
Avec Maïté Jauréguy-Naudin, directeur du Centre Énergie, Ifri
Pour le dernier sondage de Greenpeace, plus de 80 % des Français considèrent que la part du nucléaire dans la production d'électricité française est trop importante. Mais lorsqu'on parle de transition énergétique, les horizons de temps sont capitaux pour s'inscrire dans une démarche acceptable économiquement et socialement. Le rythme de développement des énergies renouvelables, l'expansion du réseau électrique, la durée de vie des capacités de production d'électricité renvoient à des horizons différents. La lutte contre le changement climatique exige des actions immédiates mais s'inscrivant dans la durée. Quant au débat sur le bouquet énergétique, il demeure pour l'essentiel national, alors que seules des actions coordonnées de l'UE et des États membres pourraient faire émerger un système électrique faiblement carbonné à l'échelle européenne.
Déjeuner organisé avec le soutien de la
Intervenants
Autres événements
Déjeuner-débat avec Winston Peters, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Nouvelle-Zélande
Discussion co-présidée par Thierry de Montbrial, président de l'Ifri, membre de l'académie des Sciences morales et politiques, et Marc Hecker, directeur adjoint de l'Ifri (en anglais sans traduction).
Dîner-débat avec Dominique Senequier, Fondatrice et Présidente d'Ardian, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques
Thème du débat : Le rôle économique des fonds d'investissement dans le monde d'aujourd'hui et de demain.
La Corée du Nord au-delà de la question nucléaire : focus sur le défi des droits humains
Les débats autour de la Corée du Nord sont principalement centrés sur les questions de sécurité, nucléaires et balistiques, reléguant au second plan la situation critique de la population nord-coréenne et les violations des droits humains. Le manque de d’information sur les conditions de vie réelles des Nord-coréens contribue à l'absence d'attention et de discussion sur cette question cruciale.