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L’Afrique de l’Est face à la gestion du COVID-19. Un enchevêtrement de crises ?
Lorsque le COVID-19 a atteint l’Afrique subsaharienne[1], des experts ont pronostiqué une situation catastrophique avec une flambée rapide et exponentielle du nombre de malades. Néanmoins, le virus s’est propagé plus lentement que prévu et la plupart des pays ne semblent pas (encore) avoir atteint le point culminant de la pandémie.
Quelle politique étrangère américaine après 2020 ?
Les résultats de l'élection présidentielle américaine de novembre 2020 sont très incertains.
Le COVID-19 et la fin de l'innocence technologique
Le COVID-19 agit comme un catalyseur dans les relations internationales.
Le bien public mondial, au-delà des mots
Au moment où j’écris ces lignes, l’évolution de la pandémie de COVID-19 semble donner raison à ceux des épidémiologistes ou virologues qui nous annoncent depuis un certain temps que la vague est en train de passer.
Mutations, ambitions et limites de la culture stratégique russe contemporaine
Malgré le raidissement idéologique d’un régime qui prend un tour de plus en plus conservateur, la culture stratégique de la Russie connaît une évolution rapide.
L’énergie solaire en Afrique subsaharienne après le COVID-19 : guérir un secteur malade
L’électrification de l’Afrique subsaharienne est l’un des grands défis du XXIe siècle. Elle est indispensable pour parvenir à créer chaque année les 20 millions d’emplois nécessaires pour absorber l’accroissement démographique de la région, qui devrait compter 2,1 milliards d’habitants en 2050, contre 1,1 milliard aujourd’hui.
Le Japon de retour sur la scène internationale ?
Fort de sa stabilité au pouvoir depuis 2012 - soit la longévité la plus importante pour un Premier ministre dans l'Histoire du Japon - Shinzo Abe mène depuis son arrivée au pouvoir une diplomatie jugée proactive et pragmatique.
L'Arabie Saoudite face au COVID-19 : l'ambition contrariée
Comptabilisant 59 854 cas officiels et 329 décès dus au COVID-19 en date du 20 mai 2020, l’Arabie Saoudite se place au troisième rang des plus grands foyers d’infection au Moyen-Orient après la Turquie et l’Iran. Comme ses voisins du Golfe, le Royaume enregistre cependant l’un des taux de mortalité les plus faibles de la région, malgré l’exposition du pays aux risques de contagion.