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Climat : l'injustice faite au Sud
Alors que le réchauffement climatique produit déjà des effets délétères, les négociations sur le climat ont jusqu’à présent largement échoué.
La Russie, une puissance révisionniste ?
Du raid sur Pristina (1999) à l’annexion de la Crimée (2014), Moscou entend montrer qu’elle ne se résigne pas à être une puissance de second rang se ralliant à des règles définies par d’autres.
Russie : de la « grande stratégie » à la « guerre limitée »
Au service d’une « grande stratégie », Moscou dispose d’abord de l’arme énergétique : mais l’effondrement des cours du pétrole et le conflit avec l’Ukraine la relativisent fortement. La dimension militaire, traditionnelle, est aujourd’hui limitée à la capacité de mener de « petites guerres » localisées. Reste la volonté d’ériger la Russie en puissance de valeurs contestant la primauté occidentale. Moscou joue ses cartes, mais il s’agit des cartes d’une puissance faible.
La logique non économique de Vladimir Poutine
La crise économique russe ne découle pas des décisions occidentales suite au conflit russo-ukrainien. Cette crise était prévue et annoncée.
COP21 : quelles chances de succès ?
Depuis la Conférence de Copenhague en 2009, la négociation climatique internationale fait du surplace. Elle ne pourrait être débloquée qu’en mettant au coeur des discussions la question de la tarification internationale du carbone.
Les enjeux du chaos libyen
Clivages géographiques, ethniques, économiques, religieux, dessinent une Libye en plein chaos, disputée par deux gouvernements soutenus par des milices en compétition pour la manne pétrolière.
Israël-Hezbollah : la nouvelle équation stratégique
Après la guerre de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah, une logique de dissuasion s’est établie entre ces deux acteurs. Les crises sporadiques ont ainsi été contenues et n’ont pas évolué vers des affrontements de grande ampleur.
Défaire Daech : une guerre tant financière que militaire
L’État islamique dispose de revenus importants tirés notamment de sa prise de contrôle de banques, de sa maîtrise des réseaux de contrebande, en particulier d’hydrocarbures, et de soutiens externes.