Poutine prépare-t-il une attaque chimique ?
"Plus que des armes de guerre tactiques, il s’agit d'armes de terreur à fort impact psychologique : l'effet de sidération et de dénuement face à ces gaz qui atteignent les systèmes nerveux ou respiratoire est immense", détaille Léo Péria, chercheur spécialisé en armement à l'Institut français de relations internationales (Ifri).
"II faut déterrniner quel type de gaz a été utilisé par prélèvements sur les victimes, et via quels vecteurs (obus d'artillerie, grenades par hélicoptère...)", précise Léo Péria.
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"L'armée russe avance peu, subit des pertes : face à cette situation bloquée, la tentation du recours à une arme disruptive est réelle", avance le chercheur.
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