Namibia’s Fair-Weather Friends and One All-Weather Friend
Depuis l’indépendance de la Namibie, les relations avec ses partenaires historiques ont évolué. Comme nombre d’États, la Namibie s’est transformée sous l’influence du processus de mondialisation, qui a créé un nouvel ensemble de défis géopolitiques et ouvert de nouvelles opportunités pour l’économie namibienne, peu diversifiée et très dépendante du secteur minier.
L’économie namibienne est maintenant largement dépendante du commerce de ses ressources naturelles et le gouvernement pratique une politique de la « porte ouverte » pour les affaires. Tout en reconnaissant l’importance de la coopération régionale et la spécificité de sa relation avec l’Allemagne, la Namibie a intensifié ses collaborations avec un acteur clé : la Chine. Le partenariat Chine-Namibie se fonde sur le besoin en infrastructures de cette dernière et l’intérêt pour les minéraux de la première. L’équilibrage du gouvernement namibien entre nouveaux et anciens partenaires souligne à quel point la politique de la « porte ouverte » s’accompagne à la fois d’opportunités de développement et de risques, tels que des carences de transparence dans les affaires, une plus grande dépendance au commerce international et à l’industrie extractive.
Ce contenu est disponible en anglais : Namibia’s Fair-Weather Friends and One All-Weather Friend.
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Créé en 2007, le centre Afrique subsaharienne de l’Ifri produit une analyse approfondie du continent africain, de ses dynamiques sécuritaires, géopolitiques, politiques et socio-économiques (en particulier le phénomène d’urbanisation). Le Centre se veut à la fois, via les différentes publications et conférences, un espace de diffusion d’analyses à destination des médias et du public mais aussi un outil d'aide à la décision des acteurs politiques et économiques à l'égard du continent.
Le centre produit des analyses pour différents organismes tels que le ministère des Armées, le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’Agence française de développement (AFD) ou encore pour différents soutiens privés. Ses chercheurs sont régulièrement auditionnés par les commissions parlementaires.
L’organisation d’événements de divers formats complète la production d’analyses en amenant les différentes sphères de l’espace public (académique, politique, médiatique, économique et société civile) à se rencontrer et à échanger outils d’analyse et visions du continent. Le Centre Afrique subsaharienne accueille régulièrement des responsables politiques de différents pays d’Afrique subsaharienne.
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