La MONUSCO tenterait de faire intervenir l'UA en RDC pour ne pas porter seule la responsabilité de son échec
Dans une note publiée par l’Institut Français des relations internationales (Ifri), le principal centre indépendant de recherche, d’information et de débat sur les grandes questions internationales, les chercheurs Marc-André Lagrange et Thierry Vircoulon, ont dressé un bilan sombre de la présence onusienne en RDC.
Grand entretien. Thierry Vircoulon : "La MONUSCO et les Nations unies sont discréditées en RDC"
Petit rappel des faits. Avec la résolution 1 279, le Conseil de sécurité de l’ONU établit le 30 novembre 1999 la Mission des Nations Unies (MONUC) avec le rôle de superviser l’application du cessez-le-feu de Lusaka. De 550 observateurs la mission, qui entre-temps changera de nom et d’objectifs comprend en 2016 plus 22 000 personnels en uniforme, ce qui en fait la mission de maintien de la paix la plus chère de l’histoire des Nations Unies. Qu’est-ce qui aujourd’hui justifie la présence en RDC d’une telle mission ?
A quoi sert l'ONU ?
Née en 1945 l'ONU célèbre cette année ses soixante-dix ans, sept décennies au cours desquelles les rapports de forces est-ouest, nord-sud n'ont cessé d'évoluer. Sept décennies où les guerres, les crises, les catastrophes humanitaires ont mis à l'épreuves des institituons et des mecanismes, certes imparfaits. A quoi sert l'ONU aujourd'hui, quel est son bilan ? Un tel système qui repose sur la volonté des Etats est-il perfectible ? Est-il remplaçable ?
À la recherche de la paix en Centrafrique. Médiations communautaires, religieuses et politiques
Cette note présente un panorama des différents types de médiation qui ont accompagné la dernière crise centrafricaine depuis son commencement fin 2012 jusqu’au début de l’année 2017 et ont abouti à une architecture de dialogue ad hoc et à un processus de médiation multidimensionnel toujours en cours.
La MONUSCO tenterait de faire intervenir l'UA en RDC pour ne pas porter seule la responsabilité de son échec
Dans une note publiée par l’Institut Français des relations internationales (Ifri), le principal centre indépendant de recherche, d’information et de débat sur les grandes questions internationales, les chercheurs Marc-André Lagrange et Thierry Vircoulon, ont dressé un bilan sombre de la présence onusienne en RDC.
Grand entretien. Thierry Vircoulon : "La MONUSCO et les Nations unies sont discréditées en RDC"
Petit rappel des faits. Avec la résolution 1 279, le Conseil de sécurité de l’ONU établit le 30 novembre 1999 la Mission des Nations Unies (MONUC) avec le rôle de superviser l’application du cessez-le-feu de Lusaka. De 550 observateurs la mission, qui entre-temps changera de nom et d’objectifs comprend en 2016 plus 22 000 personnels en uniforme, ce qui en fait la mission de maintien de la paix la plus chère de l’histoire des Nations Unies. Qu’est-ce qui aujourd’hui justifie la présence en RDC d’une telle mission ?
A quoi sert l'ONU ?
Née en 1945 l'ONU célèbre cette année ses soixante-dix ans, sept décennies au cours desquelles les rapports de forces est-ouest, nord-sud n'ont cessé d'évoluer. Sept décennies où les guerres, les crises, les catastrophes humanitaires ont mis à l'épreuves des institituons et des mecanismes, certes imparfaits. A quoi sert l'ONU aujourd'hui, quel est son bilan ? Un tel système qui repose sur la volonté des Etats est-il perfectible ? Est-il remplaçable ?
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