
Facebook révèle les plus gros annonceurs politiques sur son réseau
Facebook a livré un rapport consacré à la pratique du ciblage politique. 250 millions ont été investi ces six derniers mois aux Etats-Unis. Interview de Laurence Nardon, directrice du programme Amérique du Nord de l'IFRI.
Laure MANDEVILLE - Trump : un an après
Les contre-pouvoirs fonctionnent-ils dans l'Amérique de Trump ? Le parti démocrate a-t-il su tirer les leçons de son échec ? Un an après son élection, comment voyez-vous le président Trump ?
Quand la Russie "trolle" les démocratie
Que dire des supposées tentatives de déstabilisations politiques venues de Russie ? Le Kremlin a-t-il trouvé dans cette nouvelle stratégie, un moyen pour peser sur le destin du monde ? Que veut la Russie et d'où lui viennent ses moyens techniques lui permettant d'effectuer ces attaques?

Comment la cyberguerre froide a parasité la campagne
Des groupes de hackeurs russes sont visés par la CIA pour avoir pesé sur le processus électoral. A un mois de son départ, Barack Obama met la pression sur le Kremlin.
Jusqu’au bout, la pesante atmosphère de «cyberguerre froide» aura imprimé son tempo à la séquence électorale américaine. Vendredi soir - à un peu plus d’un mois de l’entrée en fonction de Donald Trump et à quelques jours du vote des grands électeurs -, Barack Obama a encore durci le ton lors de sa conférence de presse de fin d’année. S’il n’est pas allé jusqu’à accuser directement le président russe d’avoir ordonné les cyberattaques qui ont émaillé la campagne, c’est tout comme : selon lui, les «plus hauts niveaux» de l’exécutif sont impliqués, et «pas grand-chose ne se passe en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine»… Quelques heures avant, Hillary Clinton avait pris moins de gants, reprochant au maître du Kremlin d’avoir «une dent» contre elle et d’avoir commandité les piratages pour «saper» la démocratie américaine.
Pendant des mois, les «fuites» touchant principalement le camp démocrate ont en effet donné à la campagne, déjà particulièrement violente, une toile de fond digne d’un roman d’espionnage.
Trump: les hommes du président
La surprise de l'élection de Donald Trump en cache une autre : la composition de sa future administration. A en juger par les personnalités choisies, le gouvernement Trump ressemblera à son président : masculin, blanc, sexagénaire, riche, sans expérience politique, proche de la finance et de l’industrie américaine et perclus de conflits d’intérêts avec des Etats étrangers.
Obama, et après ?
L'heure du bilan a sonné pour Barak Obama. Son bilan est-il à la hauteur de son charisme ?
Victoire de D. Trump : séisme politique aux Etats-Unis
A l'issue d'une campagne mouvementée, Donald Trump, le candidat républicain, déjoue les pronostics et les sondages en s'imposant dans la course à la Maison Blanche.
"Trump, peut-être surpris de sa propre victoire"
L'élection de Donald Trump crée la stupeur. De nombreuses interrogations sont soulevées par ce phénomène inattendu, elles concernent notamment les médias. Incapables de prédire, via les sondages, le succès électoral du milliardaire, ils ont aussi involontairement servi sa popularité tout au long de la campagne. Une popularité qui s'appuyait déjà sur un succès médiatique, celui de son émission de télé-réalité, The Apprentice, il y a dix ans.
Pas de femme à la Maison Blanche
Donald Trump, en remportant l'élection du 8 novembre, a déjoué les pronostics et les sondages. Ces derniers prévoyaient une élection historique qui enverrait pour la première fois une femme à la Maison Blanche.
Trump-Clinton : Le FBI rebat les cartes
L'annonce par le FBI du lancement d'un supplément d'enquête concernant les emails d'Hillary Clinton lorsqu'elle était secrétaire d'État (de 2009 à 2013) est la dernière des "October surprises". Elle fait l'effet d'une bombe dans une campagne qui semblait maîtrisée par la candidate démocrate et augurait sa victoire le 8 novembre. Désormais, certains sondages replacent même Donald Trump devant Hillary Clinton.

Donald Trump répond aux angoisses de la classe moyenne
Contre toute attente, Donald Trump est aujourd’hui le candidat du Parti républicain et il a donc des chances d’être élu. Laurence Nardon, chargée du programme Amérique du Nord à l’Ifri, parle de sa stratégie et de son message.

Une Amérique fasciste ?
Les États-Unis risquent-ils de céder à une dérive totalitaire incarnée par Donald Trump ?

USA : les enjeux du « Super Tuesday »
Les primaires américaines se poursuivent alors que les électeurs s'acheminent vers les bureaux de votes dans 12 états.
Les Américains peuvent-ils éviter Donald Trump?
C’est une étape-clé dans la course à la Maison Blanche qui a lieu le 1er mars 2016. Il s’agit du Super Tuesday, jour où des primaires vont être organisées simultanément dans douze Etats américains.

USA : Bernie Sanders, nouvelle icône des démocrates ? Pourquoi il ne faut pas s'emballer
Laurence Nardon fournit à Henri Rouiller des éléments d'explication sur les résultats du second tour des primaires américaines.

« Dans cette primaire, le champ républicain n’est toujours pas éclairci »
Pour Laurence Nardon, aucun candidat n’émerge côté républicain derrière Donald Trump. La politique américaine est faite de surprises et de rebondissements, et le fonctionnement si particulier des primaires produit souvent des résultats en contradiction avec les sondages d'opinion.
Lire l'interview.
Course à la Maison-Blanche: le panorama
Après les surprises de l'Iowa, la primaire du 9 février dans le New Hampshire pourrait donner des indications sur la suite de la campagne.

Retour sur le caucus de l'Iowa à quelques jours des élections dans le New Hampshire
Que nous réserve la suite des primaires américaines après les résultats de l'Iowa?

Primaires US : les surprises de l’Iowa
Le dépouillement des suffrages du caucus de l'Iowa est sur le point d'être finalisé et il réserve quelques surprises.

Les Américains ont-ils envie de rupture ?
C'est parti pour les primaires américaines ! Rien ne s’est passé comme prévu. En 2015, les outsiders comme Donald Trump ou Bernie Sanders seraient vite marginalisés, un duel entre Jeb Bush et Hillary Clinton était inévitable et Ted Cruz n’avait aucune chance. Mais la donne a changé.
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