Les enseignements à tirer aujourd'hui de la crise financière russe des années 90
Informations pratiques
Les inscriptions pour cet événement sont closes.
En savoir plus sur nos programmes de soutienAvec la participation de Martin Gilman, Former Representative of IFM in Moscow, Director, Centre for Advances Studies, National Research University Higher School of Economics Moscow, Russian Federation, et de Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI.
Modérateur : Jacques Mistral, directeur des Études économiques, Ifri.
La présentation que fera le professeur Gilman sera basée sur son livre "No precedent, no plan: inside Russia's 1998 default", récemment publié aux États-Unis par MIT Press. Il décrira le cheminement qui a marqué les premières années de l'ère post-soviétique et conduit au défaut en 1998 ; il examinera le rôle du FMI dans la gestion de la crise et discutera l'évolution ultérieure de la Russie après cet événement qui a constitué un tournant important dans son histoire contemporaine.
Après cette présentation, le dialogue s'engagera avec Michel Camdessus, ancien directeur du FMI.
Autres événements
Déjeuner-débat avec Winston Peters, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Nouvelle-Zélande
Discussion co-présidée par Thierry de Montbrial, président de l'Ifri, membre de l'académie des Sciences morales et politiques, et Marc Hecker, directeur adjoint de l'Ifri (en anglais sans traduction).
Dîner-débat avec Dominique Senequier, Fondatrice et Présidente d'Ardian, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques
Thème du débat : Le rôle économique des fonds d'investissement dans le monde d'aujourd'hui et de demain.
La Corée du Nord au-delà de la question nucléaire : focus sur le défi des droits humains
Les débats autour de la Corée du Nord sont principalement centrés sur les questions de sécurité, nucléaires et balistiques, reléguant au second plan la situation critique de la population nord-coréenne et les violations des droits humains. Le manque de d’information sur les conditions de vie réelles des Nord-coréens contribue à l'absence d'attention et de discussion sur cette question cruciale.