The Next Wave of Global LNG Investment Is Coming
Avec une croissance annuelle de 10 % en 2017 et de 8,3 % pour la première moitié de 2018, la demande de gaz naturel liquéfié (GNL) augmente plus rapidement que prévu.
Comptabilisant 44 % de la croissance de la demande mondiale, la Chine en est le moteur principal, son gouvernement ayant fait un choix politique clé en faveur du gaz naturel pour réduire la pollution de l’air et restructurer son bouquet énergétique jugé trop carboné. La demande provenant des économies émergentes a, elle aussi, très fortement augmenté ces dernières années. Les prix du GNL sont montés en flèche depuis le quatrième trimestre de 2017 avec des livraisons ponctuelles supérieures à 10 dollars par million d'unités thermiques britanniques (MBtu) durant l'été 2018 et des prévisions supérieures à 12 dollars par MBtu pour les livraisons durant l'hiver prochain.
Cet Edito est disponible en anglais uniquement : The Next Wave of Global LNG Investment Is Coming
Contenu disponible en :
ISBN / ISSN
Utilisation
Comment citer cette publicationPartager
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesNouvelles géopolitiques de l'énergie - Politique étrangère, vol. 89, n° 4, hiver 2024
Après le drame de Valence et alors que s’ouvre la COP29, le dérèglement climatique oblige à examiner de très près le rythme et les impasses de la transition énergétique.
Les marchés du carbone peuvent-ils faire une percée à la COP29 ?
Les marchés volontaires du carbone (MVC) ont un potentiel élevé, notamment pour réduire le déficit de financement de la lutte contre le changement climatique, en particulier en Afrique.
Le secteur électrique indien à la croisée des chemins : relever les défis des distributeurs d'électricité
Le secteur électrique indien a besoin d’une réforme urgente.
L’approvisionnement énergétique de Taïwan : talon d’Achille de la sécurité nationale
Faire de Taïwan une « île morte » à travers « un blocus » et une « rupture de l’approvisionnement énergétique » qui mènerait à un « effondrement économique ». C’est ainsi que le colonel de l’Armée populaire de libération et professeur à l’université de défense nationale de Pékin, Zhang Chi, décrivait en mai 2024 l’objectif des exercices militaires chinois organisés au lendemain de l’investiture du nouveau président taïwanais Lai Ching-te. Comme lors des exercices ayant suivi la visite de Nancy Pelosi à Taipei en août 2022, la Chine avait défini des zones d’exercice faisant face aux principaux ports taïwanais, simulant de fait un embargo militaire de Taïwan. Ces manœuvres illustrent la pression grandissante de Pékin envers l’archipel qu’elle entend conquérir et poussent Taïwan à interroger sa capacité de résilience.