De nouvelles nominations éclairent la politique européenne de Donald Trump : Wess Mitchell vient d'être nommé Secrétaire d'Etat adjoint pour l'Europe et l'Eurasie
Benjamin Haddad, chercheur au Hudson Institute à Washington, revient sur la nomination de Wess Mitchell au poste de Secrétaire d'Etat adjoint pour l'Europe et l'Eurasie. Le président Donald Trump rencontre des difficultés pour désigner les responsables de son administration et Wess Mitchell, qui doit encore être confirmé par le Sénat, pourrait être un choix judicieux.
Ce contenu est uniquement disponible en langue anglaise: New Appointments Give Clues on Trump's European Policy: Wess Mitchell nominated for Assistant Secretary of State for European and Eurasian Affairs
Contenu aussi disponible en :
Régions et thématiques
Utilisation
Comment citer cette étudePartager
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesLe programme économique de Kamala Harris
Depuis qu’elle a reçu la nomination démocrate suite à la décision du président Joe Biden de se retirer de la course présidentielle américaine de 2024, la vice-présidente Kamala Harris s’efforce de définir sa propre plateforme politique pour attirer les électeurs dans le temps limité qui reste avant l’élection du 5 novembre. Étant donné que l’économie est un enjeu central pour les électeurs américains, Harris a élaboré plusieurs propositions dans ce domaine.
Géopolitique de la puissance américaine
Qu’est devenue la puissance américaine ? Si les États-Unis veulent encore diriger le monde, en sont-ils toujours capables ?
DOSSIER RAMSES 2025 N° 2 – États-Unis : l'empire inquiète...
La puissance américaine reste dominante. Mais ses échecs extérieurs et l'effervescence des crises la brident dans les redéploiements stratégiques annoncés. Plus grave : les divisions minent la société américaine : extrémisme, inégalités, drogues, guerres culturelles...
Iran : quelle stratégie pour les États-Unis à l’heure de l’embrasement proche-oriental ?
Le 15 octobre 2023, interrogé sur le risque de recrudescence des tensions à la frontière israélo-libanaise, Joe Biden en appelle à la raison : « Don’t ! Don’t ! Don’t ! ». Le propos intervient une semaine après une série d’attaques terroristes en territoire israélien coordonnées par le Hamas, qui cause la mort de 1 200 personnes.