Déjeuner-débat avec Elie Barnavi, ancien ambassadeur d'Israël en France, historien, écrivain
Événements de la Présidence
Informations pratiques
Ceci est un événement réservé.
En savoir plus sur nos programmes de soutienHistorien, écrivain, diplomate, Elie Barnavi a dirigé le Centre d’études internationales de l’Université de Tel Aviv, a été directeur d’études à l’Institut de Défense nationale d’Israël. Il a créé le musée de l’Europe à Bruxelles, et est membre du Conseil international du Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) de Marseille.
Débat présidé par Thierry de Montbrial, Président de l'Ifri, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques.
Sur invitation uniquement.
Entretien vidéo réalisé à l'issue du déjeuner-débat.
Autres événements
Renforcer les liens Afrique-Corée-France : Le rôle clé des start-ups
En juin 2024, la République de Corée accueillait son tout premier Sommet Afrique, marquant une étape importante dans son engagement avec le continent. L'objectif principal de ce sommet est de permettre à la Corée de renforcer son rôle dans le soutien au développement et à l’avancement économique des pays africains. Tirant parti de son parcours unique, du statut de pays en développement à celui de puissance industrielle et technologique, la Corée entend partager son expérience avec ses partenaires africains.
2025-2028 : ce que prépare l'administration Trump 2
La réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche est un événement hors norme qui rebat les cartes du paysage politique américain.
La 23e édition de la Conférence annuelle de l'Ifri sur les États-Unis cherchera à mieux cerner la signification et les conséquences de cette élection en ce qui concerne la politique économique et commerciale du pays, la refonte de ses équilibres politiques intérieurs, ainsi que sa politique étrangère et les relations transatlantiques.
La privatisation de la sécurité en Afrique Centrale et de l'Est
De nombreux États en Afrique subsaharienne sont dans des situations de fragilité qui les ont conduits à se désengager de certaines de leurs attributions, y compris dans leurs fonctions les plus régaliennes. Ce désengagement s’effectue au profit d’une pluralité d’acteurs nationaux ou internationaux à la fois pour les financements et pour les actions (ONG, associations, entreprises privées, organisations internationales…). Cette tendance, qui prend des formes et des intensités différentes selon les pays, n’a pas épargné le secteur de la sécurité.