Informations pratiques
Les inscriptions pour cet événement sont closes.
En savoir plus sur nos programmes de soutienLa 14e édition de la World Policy Conference (WPC), organisée par l’Ifri et présidée par son fondateur Thierry de Montbrial, se réunira à Abou Dabi du 1 au 3 octobre prochain. Depuis sa première édition en 2008, la WPC s’est donné pour mission de contribuer à promouvoir un monde plus ouvert, plus prospère et plus juste. Unique par son format au nombre restreint de participants, elle offre un espace de réflexion et de dialogue essentiel autour des grands enjeux de la gouvernance mondiale, tout en permettant à ses participants de développer des liens durables.
Elle rassemble des personnalités de haut niveau, originaires des cinq continents – dirigeants politiques et économiques, chercheurs et journalistes – assurant ainsi une diversité et une pluralité des débats.
Comme les éditions précédentes, cette 14e édition abordera les grandes questions de la gouvernance mondiale du point de vue des puissances moyennes.
Plus de 200 personnalités de haut niveau se réuniront à Abou Dabi. Parmi les intervenants, figurent :
Patrick Achi, Premier ministre de la République de Côte d'Ivoire ; Khalifa Shaheen Almarar, ministre d'État au ministère des Affaires étrangères, Émirats arabes unis ; Mariam Al Mheiri, ministre d'État chargée de la sécurité alimentaire et de l'eau, Émirats arabes unis ; Khaldoon Al Mubarak, président de la Executive Affairs Authority, président-directeur général du groupe Mubadala ; Cheikh Shakhbut Bin Nahyan Bin Mubarak Al Nahyan, ministre d'État, Émirats arabes unis ; Prince Faisal bin Farhan Al Saud, ministre des Affaires étrangères d'Arabie saoudite ; Salem Al Zaabi, directeur du département de la coopération internationale en matière de sécurité au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Émirats arabes unis ; Bartholomée Ier, archevêque de Constantinople - Nouvelle Rome et patriarche œcuménique ; Josep Borrell Fontelles, Haut Représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, vice-président de la Commission européenne ; Josefa Leonel Correia Sacko, commissaire à l'économie rurale et à l'agriculture de la Commission de l'Union africaine ; Tsakhiagiin Elbegdorj, ancien président de la Mongolie, parrain du World Sustainable Development Forum ; Nabil Fahmy, doyen fondateur de la School of Global Affairs and Public Policy à l'Université américaine du Caire, ancien ministre des Affaires étrangères d'Égypte ; Serge Ekué, président de la Banque ouest-africaine de développement ; Anwar Mohammed Gargash, conseiller diplomatique du président, Émirats arabes unis ; Paul Kagame, Président de la République du Rwanda ; Gilles Kepel, professeur à l’Université Paris Sciences & Lettres, directeur de la chaire Moyen-Orient Méditerranée à l’École normale supérieure ; Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie ; Qiao Yide, vice-président et secrétaire général de la Shanghai Development Research Foundation ; Edi Rama, Premier ministre de la République d'Albanie ; Didier Reynders, Commissaire à la Justice en charge de l'État de droit et de la protection des consommateurs à la Commission européenne ; Kevin Rudd, président de l’Asia Society Policy Institute, ancien Premier ministre d’Australie ; Jean-Claude Trichet, président de la Commission trilatérale pour l’Europe, ancien président de la BCE ; Hubert Védrine, fondateur d’Hubert Védrine Conseil, président de l’Institut François Mitterrand, ancien ministre des Affaires étrangères de France ; Wang Jisi, président de l’Institut des études stratégiques et internationales de l’Université de Pékin ; Lionel Zinsou, coprésident de SouthBridge, président du think tank Terra Nova, ancien Premier ministre du Bénin...
Suivez les débats en direct :
Session du 1er octobre 2021
Session du 2 octobre 2021
Session du 3 octobre 2021
Les travaux de cette quatorzième édition porteront notamment sur les mutations de la mondialisation, les perspectives économiques et politiques mondiales après la pandémie, les relations transatlantiques à l’ère de Joe Biden, le positionnement de l’Europe dans un contexte de rivalité entre les États-Unis et la Chine, les enjeux de la digitalisation du monde suite à la pandémie, la gouvernance de la santé en tant que nouveau défi mondial, les questions liées aux matières premières, l'énergie, l’environnement et le climat, le système monétaire international, la sécurité alimentaire, la conquête de l’espace, la gouvernance des technologies...
Seront également abordés les régions et les thèmes suivants : l'Europe ; le Moyen-Orient face aux puissances mondiales et les perspectives de développement à l’horizon 2030 ; l’Afghanistan et le Sahel ; la Russie ; la Chine et les nouvelles tendances de politiques étrangères en Asie de l’Est et dans l’Indo-Pacifique ; l'Afrique et notamment l'Afrique du Nord et de l'Ouest et bien d'autres sujets.
Information - www.worldpolicyconference.com
Contact avec les organisateurs : [email protected]
Sujets liés
Autres événements
La compétitivité européenne à l’épreuve des relations franco-allemandes
Un déjeuner-débat autour de Paul Maurice, Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri et Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri.
Alliés et alignés ? Les alliances dans l'Indopacifique après les élections américaines
Le système d'alliances en Asie de l’Est, centré sur les États-Unis, est depuis longtemps le pivot de l'architecture de sécurité de la région. Alors que la rivalité stratégique entre Washington et Pékin s’accroit, les alliés et partenaires des États-Unis doivent s'adapter aux conséquences de la montée en puissance chinoise et aux transformations de la stratégie américaine.
Des villes informelles ? Questionner la catégorisation des économies urbaines en Afrique
Dans les débats sur la croissance urbaine en Afrique, l’informalité apparait comme un défi central. Ainsi, les experts estiment qu’environ 80 % des emplois dans les villes africaines sont issus du secteur informel. Ce taux serait encore plus élevé chez les jeunes et les femmes. L’informalité représente également un enjeu au cœur des politiques foncières et du logement : ainsi, dans la plupart des villes africaines, plus de la moitié des citadins vivent dans des conditions informelles, manquent d’un accès régulier aux services de bases et sont exposés à des risques d'expropriation.