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Dossier RAMSES 2017 : Sécurité : combattre la terreur

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Sous la direction de Corentin Brustlein, responsable du Centre des Études de sécurité de l'Ifri.

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Paris, N'Djamena, Raqqa quelle stratégie française? 

Par Corentin Brustlein

Confrontée à une guerre imposée contre le terrorisme, la France doit d'abord prouver sa résilience, tout en intervenant à l'extérieur, dans une perspective multilatérale, et sur plusieurs fronts. L'étendue du terrain de l'affrontement oblige à user de moyens très divers...

L'état de la menace terroriste

Par Marc Hecker

Les attentats terroristes de 2015 et 2016 font entendre l'écho du conflit entre Al-Qaïda et l'État islamique. Rivalités personnelles et divergences théologiques débouchent sur une bataille des allégeances au Moyen-Orient et en Afrique...

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La société française est-elle résiliente ?

Par Joseph Henrotin

La société française a montré face aux attentats de 2015 de bonnes capacités de résilience. Les décisions politiques doivent cependant venir renforcer cette résilience...

L'antiterrorisme
sur le territoire national

Par Élie Tenenbaum

Les attentats de 2015 ont installé en France l'idée d'une menace de nature guerrière, appelant une réponse militaire. En dehors des armée mobilisées, tous les services concourant à la sécurité sont concernés...

 

 

« La stratégie française traduit au fond une grande prudence. Tout en faisant le pari que la dynamique d'affaiblissement des groupes terroristes imprimée par les opérations militaires pourrait prendre appui sur de nouveaux équilibres locaux, la France met en place au Sahel un dispositif avancé [...] pour interdire un enracinement des groupes adverses. » (C. Brustlein, p. 46)

 

« L'enjeu de l'antiterrorisme français est aujourd'hui d'accepter la durabilité de la menace sans accroître les tensions internes d'une société déjà fragilisée par la violence. Seule une politique nationale de résilience, encore difficile à discerner à l'heure actuelle, permettra à terme d'y parvenir. » (É. Tenenbaum, p. 65)

 

Quelle solidarité européenne après
les attentats du
13 novembre ?

Par Vivien Pertusot

Le soutien demandé par la France à ses partenaires européens s'est largement manifesté, mais de manière hétérogène. Le 13 novembre n'a pas constitué une occasion de progrès vers une possible défense commune...

Les opérations aériennes
en Syrie et en Irak

Par Corentin Brustlein
et Rémy Hémez

En Irak puis en Syrie, la coalition occidentale conduit une guerre aérienne de précision pour soutenir les forces irakiennes et combattre l'État islamique. L'intervention de Moscou cherche au contraire à redonner un espace stratégique au régime syrien...

Combattre l'État islamique au sol
en Syrie et en Irak

Par Rémy Hémez

Équipement, entraînement, accompagnement au combat des forces locales, aide aux diverses milices, action des forces spéciales : les États extérieurs interviennent en Irak et en Syrie avec tous les moyens de la guerre par procuration...

Les armées africaines et la lutte contre le terrorisme

Par Aline Leboeuf

L'Afrique subsaharienne est durement frappée par les attaques terroristes. Les efforts internationaux pour renforcer les armées africaines sont essentiels. Mais au-delà, c'est une approche globale de la lutte antiterroriste qu'il faut mettre en oeuvre...

 

« En privilégiant le soutien à un acteur pour en affaiblir un autre, la guerre par procuration souffre souvent d'une vision de trop court terme, négligeant les effets de déstabilisation politique et stratégique d'un renforcement artificiel d'acteurs jusqu'alors marginaux. » (R. Hémez, p. 83)

 

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Dossier RAMSES 2017 : Sécurité : combattre la terreur

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Auteur(s)
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Corentin BRUSTLEIN

Intitulé du poste

Ancien Directeur du Centre des études de sécurité de l'Ifri

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Marc HECKER

Marc HECKER

Intitulé du poste

Directeur adjoint de l'Ifri, rédacteur en chef de Politique étrangère et chercheur au Centre des études de sécurité de l'Ifri

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Élie TENENBAUM

Élie TENENBAUM

Intitulé du poste

Directeur du Centre des études de sécurité de l'Ifri

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Vivien PERTUSOT

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Rémy HEMEZ

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Aline LEBOEUF

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Un soldat contemplant un coucher de soleil sur un véhicule blindé de combat d’infanterie
Centre des études de sécurité
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Héritier d’une tradition remontant à la fondation de l’Ifri, le Centre des études de sécurité de l'Ifri fournit aux décideurs publics et privés ainsi qu’au grand public les clefs de compréhension des rapports de force et des modes de conflictualité contemporains et à venir. Par son positionnement à la jointure du politique et de l’opérationnel, la crédibilité de son équipe civilo-militaire et la diffusion large de ses publications en français et en anglais, le Centre des études de sécurité constitue dans le paysage français des think tanks un pôle unique de recherche et d’influence sur le débat de défense national et international.

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Devenir secrétaire général de l'OTAN. Entre critères objectifs, coutumes et homogénéité

Date de publication
26 septembre 2024
Accroche

Après dix ans à la tête de l’OTAN de 2014 à 2024, un record de longévité dû au contexte particulier de la guerre en Ukraine, le Norvégien Jens Stoltenberg quitte ses fonctions de secrétaire général. Son successeur, choisi par les chefs d’État et de gouvernement des États membres, sera Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas pendant près de quatorze ans. Cette nomination invite à questionner les critères et les logiques de sélection des secrétaires généraux, alors que de nombreuses études démontrent l’importance significative du secrétariat international et le rôle croissant du secrétaire général dans le fonctionnement interne de l’Alliance. 

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EUDIS, HEDI, DIANA : que se cache-t-il derrière trois acronymes de l'innovation de défense ?

Date de publication
25 septembre 2024
Accroche

En Europe, alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine montre peu de signes d'apaisement, un écart persistant subsiste entre les besoins en matière de sécurité et les dépenses de défense. Conformément à un engagement de 2006, inscrit lors du sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014, les membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) doivent consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut (PIB) national à la défense, dont 20 % doivent être investis dans l'équipement ainsi que la recherche et le développement. En 2024, seuls 23 Alliés sur 32 devraient atteindre ou dépasser cet objectif, bien qu'il s'agisse d'une amélioration notable par rapport aux trois pays en 2014. Ce total inclut les États-Unis (US), qui consacrent 3,38 % de leur PIB à la défense, représentant près de 70 % de l'ensemble des dépenses de défense des membres de l'OTAN.

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De l'Ukraine à Gaza : l'Intelligence artificielle en guerre

Date de publication
10 septembre 2024
Accroche

Les guerres en Ukraine et à Gaza témoignent d'une forte pénétration de l'Intelligence artificielle (IA) sur le champ de bataille. 

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Essaims et combat collaboratif. La saturation à l’ère de l’Intelligence artificielle

Date de publication
16 juillet 2024
Accroche

L'attaque de l'Iran sur Israël le 13 avril 2024, les attaques des Houthis au Yémen et la guerre en Ukraine ont révélé l'importance des essaims sur le champ de bataille.

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Dossier RAMSES 2017 : Sécurité : combattre la terreur , de L'Ifri par
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Dossier RAMSES 2017 : Sécurité : combattre la terreur